Le (cul)te du corps !

La rédaction 14 mars 2021

Pendant le confinement, Christian, 31 ans, se reprend en main et part faire du sport. C’est la qu’il rencontre une petite coquine, les deux finiront par une séance de sport en chambre.

Je m’appelle Christian, j’ai 31 ans et voici mon histoire de sexe.

Pendant le confinement, je ne savais pas quoi faire alors, je me suis dit : autant bosser sur mon physique. Je suis un trentenaire que le quotidien d’informaticien a un peu ramolli, si vous voyez ce que je veux dire. Avec le ventre à bière qui commençait à pointer le bout de son nez, c’était plus possible. Je me suis donc mis à fond dans le “work out”. Dans mon quartier, il y a dans un parc un endroit en plein air, avec des barres de traction et autres installations publiques où on peut s’entraîner.

Je me suis retrouvé au milieu de mecs super bien bâtis et je faisais un peu pitié à côté d’eux. Mais au fil des semaines, à force de pratique quotidienne, mes muscles se sont redessinés plus joliment. Je regardais souvent les joggeuses qui couraient à côté de l’espace d’exercice investi par les hommes. Elles avaient souvent un œil qui se baladait vers les mecs les mieux gaulés, pour les dévorer du regard en pensant être discrètes. Elles étaient en chien, les meufs ! Leurs yeux s’arrêtaient rarement sur moi, mais ce jour-là, une fille m’a maté sans vergogne. Ça m’a flatté !

Elle était mignonne, petite brune bien en chair avec des sourcils fins et un air de sacrée coquine. Je lui ai souri. Elle est repassée un peu plus tard, sur le retour de son footing, en marchant et en soufflant. Elle s’est arrêtée à ma hauteur en faisant mine de s’étirer les jambes, posant les mains contre une barre verticale qui se dressait juste à côté de moi. Elle me facilitait la tâche ! J’étais content de la voir de plus près, avec sa jolie gueule rougie par l’effort et la pellicule de sueur sur son décolleté, sur lequel il était impossible de ne pas loucher ! Elle m’a grave branché direct en me posant des questions sur le sport : “A quel rythme tu t’entraînes ? Tu viens souvent ?” J’ai discuté et je l’ai laissé loucher elle aussi sur mon torse transpirant. Ça me faisait marrer, de voir l’audace de cette belle gosse qui n’avait peur de rien. Elle savait ce qu’elle voulait celle-là. Ça change des chichiteuses ! “Tu veux faire tes étirements chez moi ?” “Ouais, grave.” Ben quoi, je ne pouvais pas passer à côté d’une occasion pareille !

Nous sommes rentrés chez elle en courant pour ne pas éveiller le soupçon chez les flics. Une fois dans son petit studio, elle m’a donné de l’eau. Elle m’a dit de m’asseoir en face d’elle sur le tapis et de lui étirer les jambes. J’ai attrapé sa patte en sueur, mais appétissante, que j’ai tirée délicatement, puis j’ai continué avec ses bras, à l’étirer en douceur, et à l’aider à se coucher sur ses jambes en appuyant dans son dos. J’en profitais à fond pour la peloter discrètement, laissant mes mains se balader sur le bas du dos à la limite des fesses… J’avais hâte de mordre dedans. La jeune femme, qui s’appelait Magalie, s’est retournée sur le tapis en décrétant qu’elle avait chaud. Belle excuse pour se foutre en sous-vêtements ! J’ai découvert avec joie ses jolies formes rondes. A genoux sur le sol, elle s’est rapprochée de moi et a déboutonné mon pantalon pour se mettre à me sucer ! Ah ouais, la go avait vraiment la dalle ! Je n’allais pas m’en plaindre ! Sa bouche était délicieuse à remplir…

Elle m’a pompé jusqu’à ce que je sois au bord de craquer, puis elle a lâché ma queue pour aller s’étendre sur son canapé et se caresser. Elle était bonne ! Ses seins tremblotaient tandis qu’elle se doigtait et se frottait gaillardement. Sans résister plus longtemps, je me suis approché. Je l’ai prise en photo, ça l’a amusée et elle fixait l’objectif avec sa mine de chaudasse qui avait le don de me rendre ouf.

Je me suis avancé à sa demande et me suis installé sur elle. Je l’ai pénétrée sans prendre de pincettes. Elle voulait du cul, elle allait en avoir ! Sa petite chatte amortissait mes vaillants coups de trique et elle se mettait à gémir et à en redemander. Qu’est-ce qu’elle était bandante, celle-là ! J’étais bien chanceux de l’avoir croisée sur mon chemin. Elle prenait encore ma bite dans sa fente savoureuse jusqu’à la déraison, puis elle m’a dit de venir entre ses seins. Ma bite a fini entre ses loches et a baisé l’espace moelleux entre eux. Elle tenait ses seins autour de mon membre et je me stimulais dans ce recoin de son corps, à en perdre la tête. Je baisais cet espace de peau aussi fort que sa chatte. J’ai approché ma bite de son visage et je lui ai fait une faciale bien méritée, qui achevait ma transe. Elle m’avait trop excité !

Comme je suis pas un salaud, je l’ai branlée, assis à côté d’elle, jusqu’à ce qu’elle prenne son pied à son tour. Magalie m’a envoûté par son audace. Et je pense que cet épisode est le début d’une belle histoire qui promet d’être… sportive !

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