Retrouvailles coquines avec mon maître !

La rédaction 16 février 2021

Pauline revient pour une nouvelle histoire de sexe BDSM ! Elle va retrouver son maitre en train pour de chaudes retrouvailles…

Bonjour,

Me revoici pour une nouvelle histoire de sexe ! Pauline ! J’avais déjà couché (sic !) noir sur blanc une première aventure avec mon maître que je nommerais pour l’occasion RR. Rien à voir avec Rolls Royce quoi que mon dominant soit racé, bien équipé sous le capot et porte haut une certaine élégance anglosaxonne !

Le confinement étant ce qu’il est et habitant aux alentours de Nantes, autant vous dire qu’il n’est pas simple de se retrouver avec RR qui, lui, habite Paris.

Mais à cœurs vaillants rien d’impossible ! Des documents administratifs à régler pour moi, une soi-disant urgence à régler au sein de sa filiale lyonnaise pour lui et nous avons pu nous libérer trois jours et deux nuits ! Largement de quoi rattraper le temps perdu et se retrouver pour soixante-douze heures … marquantes !

Exhibition dans le train

Le jeu a commencé dès mon départ de la gare de Nantes. RR m’avait imposé ma tenue, suivez le guide messieurs dames !

Bottes hautes vernies à zip, collant noir ouvert au niveau du sexe, pas de culotte, jupe en cuir, moulante et courte, un chemisier en dentelle, noir également, sans soutien-gorge mais, pour ne pas tomber sous le coup de la loi, j’avais le droit de recouvrir mes seins d’un blouson type « perfecto », juste assez couvrant pour dissimuler mon opulente poitrine.

Autant vous dire que je n’en menais pas large en montant dans le TGV, les marches hautes faisant remonter ma jupe et offrant à celui ou celle qui me suivait, une vue quasi-totale sur ma féminité offerte !

Deux heures de roulis ferroviaire m’attendaient, suivi du trajet en taxi entre la gare Montparnasse et l’hôtel, niché dans le Marais. Et les sms ont commencé à tomber. RR a commencé à me lancer plusieurs défis et, en bonne soumise amoureuse, je me suis mise en quatre pour tous les relever.

RR y est allé crescendo. Les premiers gages ont été légers, coquins et faciles. D’abord, et après avoir checké qu’il n’y avait pas d’enfant dans ma voiture, enlever mon blouson de cuir.

Installée en première (mon maître me gâte toujours) les places occupées n’étaient pas pléthore. D’un côté cela allait faciliter mon exhibition, de l’autre, s’exhiber sans personne autour … ça n’est pas s’exhiber.

Malgré tout j’étais assise dans un « duo face à face », ces places où l’on est en vis-à-vis avec les grandes doubles tablettes séparant les voyageurs et la place en diagonale de la mienne était occupée par un homme d’une cinquantaine d’année, une belle chevelure poivre et sel, de grands yeux bleus et un bouc également entre neige et encre de Chine. Ce coquin me lançait des œillades gourmandes et respectueuses par-dessus son livre, je vous jure que ça ne s’invente pas ! « Justine ou les malheurs de la vertu » d’un certain Marquis de Sade ! Lecture très studieuse en l’espèce puisque mon voyeur prenait des notes serrées sur un beau calepin relié, notes qui s’espaçaient dans le temps au fur et à mesure qu’il eut enfin remarqué la transparence de mon chemisier ! Là, deux larges pastilles roses au téton gonflé tranchaient sous la noire dentelle. Mes seins ont toujours été très réactifs mais, dans le cas présent, ils se surpassaient. J’étais excitée comme RR aime, je devais bien évidemment lui décrire par le menu ce qui se passait autour de moi, ce qui se passait à l’intérieur de moi et plus précisément mes émotions humides comme il aime nommer parfois ma mouille abondante.

Justine s’est retrouvée posée sur la table, le carnet de note, lui, n’a pas quitté les mains de mon admirateur.

« Pardon mademoiselle mais je ne peux croire que vous m’offriez vos appâts sans qu’un dessein précis vous anime, me permettriez-vous de vous croquer ? »

J’ai rougi, me méprenant un instant sur ses intentions avant qu’il ne reprenne : « au crayon de bois. »

Vite, mes doigts ont pianoté sur le téléphone, RR me donnait son accord.

« Oui, je vous en prie, avec plaisir » lui ai-je répondu tout en sentant une nouvelle vibration au creux de ma main, un autre message de mon maître.

« Je veux que tu lui montre ta chatte également et demande-lui de te donner un de ses croquis en souvenir »

Doucement j’ouvrais donc mes cuisses, timidement au départ puis avec plus d’assurance, poussée par la fierté qu’aurait RR lorsque je lui raconterai par le menu ma folie, cet homme me donne toutes les audaces.

Michel, c’est le prénom qu’a fini par me donner mon dessinateur-mateur, s’est évidemment rendu compte rapidement de mon petit manège.

« Très chère, à en croire votre état, vous méritez plus qu’un coup de crayon ! »

Je me suis alors résolue à expliquer mon « statut «, chose que je ne fais jamais avec un inconnu mais la situation imposait une mise au point.

Michel étant partant pour être une victime collatérale et consentante dans ce long préliminaire ferroviaire, nous avons rabattu les tablettes, j’ai carrément posé un de mes pieds nus sur le siège libre à côté de moi ce qui a eu pour effet d’ouvrir un peu plus les pétales de mon sexe.

Mes tétons sortaient quasiment par les orifices de la dentelle, j’ai pris deux selfies, un de mon visage empourpré et de mes seins, l’autre de ma chatte brillante de cyprine enfin un dernier de la main de Michel esquissant un ombré autour des mes seins lourds fort bien réalisé !

La contrôleuse voyeuriste

La séance de pose a été interrompue à quelques reprises, deux ou trois allers-retours au wagon restaurant, j’ai dissimulé ma nudité à ces occasions par contre pour le contrôleur, j’avais ordre de RR de ne rien changer à ma pose. Quand j’ai entendu le soufflet pneumatique de la porte en bout de voiture et que j’ai deviné la couleur de l’uniforme mon sang n’a fait qu’un tour. Michel était concentré sur le délicat tracé de mes petites lèvres, le tout en luttant contre les chaos intermittents du train, il ne s’est pas rendu compte de l’approche de la silhouette à casquette.

La tête baissée, le geste répétitif, la longue silhouette n’était plus qu’à quelques mètres et voilà que c’était notre tour. J’affichais le QR code correspondant à mon titre de transport, la casquette s’est relevée d’un coup, une femme ! J’ai encore plus rougi que tout ce que je pouvais imaginer ! Je ne sais pas pourquoi cette réaction. Le fait de s’exhiber devrait être déconnectée du sexe de la personne qui vous regarde et bien il n’en est rien, pour moi en tout cas. J’étais bouleversée d’avoir ainsi la chatte à l’air, tableau iconoclaste et provocateur ici, dans ce train à grande vitesse. Loin de penser à une quelconque remontrance, voire pire, une amende pour exhibition ou incitation à la débauche quelconque, j’ai eu le bas ventre tordu comme une serviette qu’on essore. J’ai senti un filet de mouille s’échapper de mon con, la contrôleuse s’est penchée, d’une main elle a bipé mon code avec son lecteur et de l’autre elle a pris un kleenex dans sa sacoche et me l’a tendue avec un grand sourire.

« Attention, vous allez prendre froid ! Vous avez la goutte … au nez … » puis elle s’est relevée, a jeté un coup d’œil au croquis sur la table ainsi qu’à celui qu’était en train de peaufiner Michel et nous a quitté sur un « Très joli … ».

Je me suis jeté sur mon écran, racontant avec avidité à RR ce qui venait de se passer.

« Cela t’a excitée petite putain que tu es ? »

« Oui maître, beaucoup je dois vous l’avouer. Je coule littéralement, ma jupe est trempée. »

« Très bien, alors branle-toi devant Michel et sers-toi d’un des dessins de ta chatte pour t’essuyer, c’est celui-là que tu me rapporteras, imbibé de ton désir de belle Salope. En remerciement de son travail, laisse Michel le faire, il a le droit de te toucher le sexe, juste les doigts, c’est bien compris ? »

L’inconnu me tripote

Je proposais donc à Michel ce nouveau deal, qu’il acceptait sans broncher. Son carnet posé sur la table je pu voir les autres pages qui défilaient, elles étaient remplies de dessins de femmes ligotées en shibari, le sexe écartelé par des godes monstrueux, certaines avaient des pinces à linge tout autour des seins, une, même, accroupie et de dos urinait, ses lèvres intimes distendues par la puissance du jet. Je compris définitivement que j’étais bien tombée !

Je ne fus obligée de me caresser que quelques instants, mon plaisir fut immédiat, facile, mon orgasme n’attendait que mes doigts pour se trouver libéré. Étonnement je n’ai eu aucune difficulté à me masturber dans ce lieu public, sous les yeux de Michel, inconnu quelques heures plus tôt et que ma route ne me ferait certainement plus jamais croiser de ma vie. Au contraire, son regard à la fois excité et bienveillant m’a donné des ailes. Il m’a supplié du regard en touchant à son tour son entrejambe déformé par une grosse bosse.

J’ai acquiescé, je lui devais bien ça. De son menton il m’a fait signe. J’ai tout de suite compris, j’ai allongé ma jambe droite et de mon pied gainé de nylon j’ai caressé ses couilles gonflées ainsi que la base de sa hampe. Monsieur était monté fort avantageusement, il se branlait en insistant sur le haut de son membre tandis que j’activais la base de la hampe de mes orteils recroquevillés. Le mouvement de son prépuce sur son gland était langoureux, il tenait sa queue avec trois doigts comme j’aime, me laissant bien voir son gros fruit pourpre lorsqu’il se décalottait entièrement. Son méat s’est mis à couler puis il a tiré fortement en arrière et n’a plus bougé. Deux grands traits blancs ont fusé, maculant mon collant jusqu’à la cheville. C’était chaud et onctueux, il s’est confondu en excuse mais je l’ai tout de suite rassuré, je porterais avec fierté son foutre sur moi jusqu’à ce que je rejoigne mon maître. J’étais sûre que ce dernier se gonflerait d’orgueil à l’idée que j’avais fait jouir un inconnu ainsi.

Michel détacha une des pages et vint humecter tout le pourtour de la feuille à la source de ma chatte liquéfiée, prenant bien garde de ne pas imbiber la partie centrale où ma chatte ouverte trônait avec une impérieuse présence. Il me tendit le feuillet que je finis de souiller de son sperme avant de le glisser dans mon sac. Tant pis si quelques fluides venaient au contact de mes affaires, les stigmates de cette folie méritaient d’être conservés ad vitam.

Une gare étape vit notre voiture se remplir, mon sexe disparu sous ma jupe, mes seins sous mon perfecto. Nous nous quittâmes sans un mot mais avec des regards pleins de sous-entendus. Mon maître m’attendait, je m’engouffrais dans un taxi en sentant ma vulve trempée d’un désir sourd.

Enfin, je retrouve mon maître BDSM

RR m’a envoyé des photos pendant la dizaine de minutes qu’a duré le trajet. La chambre qui allait accueillir nos séances, les « jouets » qu’il avait préparés, ustensiles de plaisir et /ou de souffrance puis enfin son pieu dressé, sa queue sublime que je vénère tant. Je sortais de la voiture arrivée à destination comme sonnée, j’en avais l’eau à la bouche tant j’avais envie de le sucer et de m’offrir à tous ses désirs.

Ma relation à RR est spéciale. Dans le milieu du BDSM il y a de tout, des couples dominants (dominas)- soumises (soumis) qui ne se voient que pour les « séances », des duos qui ne sont que dans une relation BDSM sans avoir de sentiments l’un pour l’autre, je fais partie du troisième groupe (enfin, peut-être y en a-t-il d’autres !?) et j’ai une relation fusionnelle, amoureuse et passionnelle avec mon maître.

Les occasions de nous voir, comme je l’ai déjà dit, sont rares, les retrouvailles sont donc d’abord amoureuses. De longs baisers, des regards lourds de sous-entendus, des étreintes intenses puis nos corps hurlent leur besoin de s’exprimer.

Cette fois-là fut différente. Le trajet en train m’avait mise dans un état d’excitation sexuelle hors de tout contrôle, RR a ouvert la porte de la chambre d’hôtel et m’a trouvée entièrement nue ! Je voulais lui faire plaisir, j’avais donc décidé de me déshabiller totalement dans l’ascenseur au risque de tomber nez à nez avec un client. Coup de chance, le couloir était désert, j’ai adoré les yeux ronds et écarquillés de mon maitre. Il m’a laissée m’engouffrer dans la chambre et le groom s’est refermé lentement. J’ai plaqué mes lèvres sur sa bouche adorée, nous nous sommes roulé une pelle d’anthologie puis je me suis laissée tomber à ses pieds, à genoux, attendant qu’il me passe mon collier et ma laisse.

C’est toujours un instant magique, je deviens sienne au simple contact du cuir, je deviens Sa soumise, Sa chienne, Sa petite pute … ce qu’il veut. Je ne m’appartiens plus, seul compte ses yeux, ses regards, son contentement, son plaisir. Le mien viendra. Mais d’abord, je veux qu’il se joue de moi, qu’il m’avilisse pour mon plus grand bonheur, qu’il me fasse sentir son emprise totale, qu’il m’emmène sur des chemins inconnus et me guide vers l’extase absolue.

RR m’a entraînée jusque sur le lit, à quatre pattes, nue comme un ver, mon cul opulent ondulant sous son regard gourmand.

« Alors comme ça on s’est montré à un homme !? Tu t’es laissée reluquer espèce de petite salope ? Il t’a bien maté hein !? Tes beaux nibards obscènes sous ta dentelle transparente ? Ta chatte trempée ! Parce que tu as mouillé n’est-ce pas ? »

« Oui Maître. J’ai mouillé … beaucoup ! »

Et la cravache en s’est abattue sur mon cul. Le claquement a été sec, puissant. La petite pièce de cuir a cinglé mes chairs, une décharge d’électricité s’est propagée puis la douce chaleur du sang qui circule plus vite, les vaisseaux sanguins qui se dilatent, comme le membre de RR que je devinais dans mon champ de vision.

La cravache a repris de l’élan, les coups ont plus sur mon derrière, laissant des stigmates qui font ma fierté.

« Allonge-toi, je vais te punir par la où tu as pêché espèce de petite pute ! »

Le suplice des pinces à linge

Je me suis allongée à plat dos, je sentais mon cul irradier d’une douleur divine, RR m’a placé un bâillon dans la bouche, la boule de latex noir venant comprimer ma langue puis m’a placé des pinces reliées par une chainette sur mes tétons bandés à mort. La suite fut une inauguration d’un nouveau sévisse, mon maître avait apporté des pinces à linge qu’il sorti de sa mallette.

Une à une, la mâchoire en bois sont venues pincer la chair de mes seins, formant comme un collier sur mes deux globes lourds et charnus. Mon esprit flottait après la pose de la deuxième, la douleur était vive mais doucement elle s’estompait, laissant place à des flux d’endorphine qui emportaient mon cerveau.

J’avais une conscience aigue de mon corps, de mes sensations disjointes, mon sang qui pulsait et qui rythmait une douleur que j’apprivoisais, l’excitation et la fierté de me savoir entre les mains expertes de mon maitre, le plaisir qui naissait de cette douleur voulue, souhaitée, rêvée tant de fois.

RR m’a bandé les yeux et m’a remise à quatre pattes, immobile sur la moquette de la chambre, silencieuse puisque bâillonnée, aux aguets puis abandonnée lorsque j’ai senti le cuir d’un martinet s’abattre sur mon cul, mes reins et mon dos. Frôlements tendres comme le début d’une symphonie, piano, puis forte pour finir andante ! Mon maitre maniait deux outils de châtiment désormais, j’imaginais ses belles mains agiles, agitées de mouvements souples afin de donner l’amplitude nécessaires aux lanières de cuir afin que ces dernières viennent fouetter ma peau avec l’impact précis voulu par mon « bourreau ».

Ma peau chauffait, je savais par avance qu’elle allait garder des marques longtemps et qu’elles me rappelleraient ces instants précieux. La pluie de cuir cessa alors. Je sentis sa main sous mon menton, je me redressais et RR m’intima de ne pas bouger. Je sentais qu’il immortalisait mes seins torturés par les pinces à linge avec plusieurs clichés pris avec son portable.

Je sentis alors une traction sur la chaîne reliée à mon collier, à quatre pattes toujours il me fit remonter sur le lit et allonger dos contre la fraîcheur des draps. Le bruit du craquement d’une allumette puis le poids de mon maitre venant à mes côtés, à genoux sur le lit sans doute.

Du bout des doigts il caressa ma peau nue, glissa deux doigts dans mon intimité pour vérifier à quel point j’étais excitée. Je sais qu’il les ressortit gluants de ma mouille en surabondance. Il en profita pour me doigter le cul, j’imaginais sa queue bandée à en exploser, il adore me fouiller ainsi, mon corps à l’abandon.

Les pinces à linge furent retirées, une à une, m’arrachant des petits gémissements. Je ne sais pas si c’était de soulagement ou de regret. L’irrigation reprenait ses droits là où elle avait été stoppée par la pression des mâchoires, des milliers de fourmis urticantes se glissèrent alors sous ma peau. RR me massa doucement les parties rougies de mes seins, soulageant momentanément la démangeaison.

De nouveau un silence et la première brûlure fugace sur la peau. Une bougie ! RR me versait, en goutte à goutte, de la cire liquide et brûlante sur mon ventre, mon abdomen pour finir par l’orée de ma poitrine. Je sentais la cire refroidir et durcir tandis que de nouvelles gouttes en fusion s’écrasaient juste sous mes seins. L’averse de lave cessa et les doigts de RR reprirent le chemin de mon vagin implorant. Majeur et annulaire fichés loin en moi, les phalanges recourbées. Je savais ce qu’il voulait. Il n’a pas été déçu. Il a agité ses doigts en moi de plus en plus vite, je me suis tordue sous la montée irrémédiable du plaisir et le silence de la chambre s’est empli d’un bruit liquide, ce « floc-floc-floc » si reconnaissable de la cavité vaginale en submersion totale puis c’est indescriptible. Mes cuisses tremblaient de plus en plus fort, mon bas ventre a vibré puis j’ai senti les contractions, involontaires, des contractions que je ne pouvais maitriser enfin la chaleur de l’expulsion. ERentre le ru et la fontaine, d’abord un mascaret doux et suave puis des jets, comme une queue expulse le sperme par saccades je jouissais et éjaculais ce liquide transparent en étant terrassée par un orgasme rare d’intensité.

Descente et after care

RR m’a laissé du temps pour « atterrir » et revenir à une réalité tangible. Mon bâillon me fut retiré ainsi que le bandeau que j’avais sur les yeux. Là il m’a de nouveau guidée à quatre pattes. D’abord pour boire dans mon écuelle comme la bonne petite chienne que je suis entre ses mains. Et puis, il fallait bien que je me réhydrate après mon tsunami dont les draps portaient encore la trace, grande auréole humide et sombre.

Vint alors le moment tant attendu pour moi, le moment de son plaisir à lui. Comme le plus souvent il me demanda de prendre appui sur le bureau au bout du lit, le cul outrageusement écarté afin de libérer l’accès à mon petit puits étoilé. Quelle sensation ! La fraicheur décuplée par l’humidité de mon entrejambe, je voyais RR dans le miroir, paddle en main. Je voulais qu’il me prenne, je souhaitais de toutes mes forces qu’il me sodomise et se libère enfin en moi. Mais l’attenter est la source de tout plaisir. Aussi ne m’a-t-il pas enculée tout de suite. Mon fessier a encore eu le droit à se dose de claques sonores et sèches. Le paddle fouettait l’air avant de rencontrer la chair de mon cul rebondi. De nouveau j’ai senti la chaleur m’envahir, je me suis sentie couler, encore.

Mon maitre a caressé ma chatte et a oint mon œillet réceptif, il a lâché son jouet et, d’une main sûre, a guidé son vit entre les parois de mes mappemondes avides.

Mon anus a « avalé » son beau chibre jusqu’à la garde. Ses doigts me pinçaient les tétons, les malmenaient avec maestria tandis qu’il me labourait le cul à grands coups de reins. Le bureau tapait contre le mur à en ameuter d’improbables voisins de chambre.

J’ai rivé mon regard au sien dans le tain de la glace, une étincelle au fond de ses yeux, sa bouche s’est ouverte en un O de surprise libératrice et j’ai senti. J’ai senti les sursauts de sa queue d’airain au fond de moi, la crispation de ses mains sur mes hanches, j’ai vu le rictus de plaisir déformer ses traits. Un long râle, une pression plus forte sur mes chairs, son orgasme était total, j’ai glissé une main entre mes cuisses pour caresser ses bourses, j’ai senti le gel chaud de son sperme … il s’est retiré de moi et m’a demandé de m’agenouiller devant lui afin de faire disparaitre ces souillures de son sexe toujours en érection. J’ai léché sa hampe, son gland, j’ai avalé son sexe et les traces de foutre avec un bonheur reconnaissant. Je portais son élixir en moi désormais.

Je ne sais quand je le reverrai, bientôt j’espère. En attendant je me masturbe tous les jours en regardant nos photos, en discutant avec lui par vidéo interposée, il me commande à distance et je lui envoie les clichés de mon obéissance absolue. Je suis à lui et j’en suis fière.

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