Le doc gynéco
7 janvier 2020Felix, 40 ans
Il y a quelques années, j’ai fait découvrir interstron.ru à Sandra, ma femme, qui m’a rétorqué que c’était des conneries. Depuis, je le lis en secret. Pourtant, après ce qu’elle vient de vivre, je suis certain qu’elle a changé d’avis. J’étais persuadé que cela n’arrivait qu’aux autres, j’ai la preuve que non.
Il y a trois mois, un lundi, je suis revenu plus tôt que d’habitude. Je n’ai pas pu rentrer ma voiture car une automobile que je ne connaissais pas était garée devant notre portail. Il faisait déjà nuit. J’ai fait le tour de la maison. Seule la lumière de notre chambre était allumée. Je me suis approché de la fenêtre sans faire de bruit, et j’ai été frappé par ce que j’ai vu. Sandra était toute nue, allongée sur le lit, les jambes écartées et les poings sur les fesses. Il y avait notre médecin, penché au-dessus d’elle, qui palpait son ventre d’une main et fouillait son sexe de l’autre.J’ai été plutôt surpris.
Pourquoi Sandra avait-elle demandé à notre toubib une consultation à domicile ? Pourquoi avoir fait appel à notre médecin traitant, plutôt qu’à un gynécologue ? J’étais également étonné de voir Sandra totalement à l’aise et souriante. Sandra est une superbe femme, très ronde, style Rubens. Ses rondeurs pourraient rendre fou n’importe quel homme. Et je dois avouer que de la voir se faire tripoter ainsi m’a fait bander grave. Le docteur a agité les lèvres, et Sandra s’est appuyée sur ses avant-bras pour lui présenter son bon derrière.II a enfilé un gant et lui a bien écarté les fesses pour lui mettre une bonne dose de gel sur sa rondelle plissée. J’ai vu disparaître un doigt, puis un deuxième, dans le petit trou de ma femme.
Quand il a poussé, Sandra s’est retournée vers lui en lui parlant. J’aurais bien aimé entendre. Je pouvais voir des sécrétions s’écouler de sa chatte. Elle tortillait des fesses, ses gros seins pendaient et se balançaient. Le médecin a continué sa « consultation » en lui enfonçant le pouce dans le vagin. L’amour de ma vie avait la bouche ouverte, comme si elle essayait de happer le plus d’air possible, ses mains se sont crispées sur les draps. Je pense qu’elle a joui car le docteur a ressorti ses doigts peu après. Elle est descendue du lit et s’est rhabillée. J’ai couru à ma voiture pour aller me garer un peu plus loin. Le docteur est passé devant moi. Je me suis recroquevillé sur mon siège, je pense qu’il ne m’a pas vu.
Cinq minutes plus tard, je rentrais chez moi, l’air de rien. Sandra était dans la salle de bain. Elle brossait ses longs cheveux. Elle m’a averti de la visite de notre médecin traitant et a ajouté que je l’avais raté de peu. Elle m’a rassuré : rien de grave, juste des contrôles de routine. Je me suis bien gardé de lui poser des questions plus précises, je ne voulais pas qu’elle me révèle son secret. Après tout, moi aussi j’avais des petits secrets. Et je dois dire que je ne les avais pas vus s’embrasser, ni avoir de gestes tendres l’un pour l’autre. Je n’étais pas vraiment jaloux. Juste incroyablement excité…Le soir même, je lui ai fait l’amour comme un enragé.
À ma grande stupéfaction, elle a guidé ma main vers son petit trou. Dès que je l’ai effleuré, elle a poussé des petits cris. Plus je massais son oeillet, plus elle gémissait. J’ai même pu enfiler un de mes doigts dans cette zone qu’elle m’avait toujours défendue. La visite de son médecin avait eu du bon ! En conservant mon index bien au chaud, je lui ai asséné de bons coups de reins, Sandra a joui en criant comme jamais auparavant. Elle arrivait enfin à se lâcher complètement. Cette visite a été un déclic pour elle. Peut-être même qu’elle y pensait pendant que nous faisions l’amour. L’essentiel, c’est qu’elle prenne son pied.
Et moi, je pense que je vais enfin pouvoir réaliser mon rêve : je suis sûr qu’elle sera bientôt prête pour la sodomie. J’en ai envie depuis longtemps mais je n’ai jamais voulu la brusquer. Je l’aime tellement ! Si mon courrier est publié, j’espère que nous lirons tous les deux ensemble ma lettre. Elle comprendra à quel point mes sentiments pour elle sont forts, et que je suis prêt à faire beaucoup pour qu’elle éprouve du plaisir. J’aimerais lui faire l’amour et qu’en même temps, elle me raconte en détail sa consultation, et les sensations qu’elle a eues…
(Image à la une : Getty Images)
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« Il a saisi mon clitoris à deux doigts et l’a branlé. Très rapidement, j’ai poussé des petits cris et j’ai été traversée par un super orgasme. Il a ressorti son gant de latex, dégoulinant, de mon ventre et il m’a ôté l’écarteur. » Noémie
« J’ai démarré un massage lent et délicat de l’hémorroïde, je sais que cela peut être douloureux. « Ça va comme ça ? — C’est parfait, mon petit ! Tu es un bon soigneur » Je massais en regardant la foufoune. J’ai bien remarqué qu’elle s’ouvrait de plus en plus, laissant dépasser un gros bouton tout rose et brillant d’humidité. » Loïc