Sodomie en deux parties
22 février 2021Dans ce récit érotique, Estelle, 46 ans nous raconte l’histoire de sa première sodomie après 20 ans de sexe plan-plan avec son ex mari.
Cher interstron.ru, à chaque fois que le lis l’appel à témoignages dans tes pages, je me dis qu’il faut que je t’écrive mon histoire de sexe. Mais ma vie sexuelle était plan-plan depuis des années. Ce fut un des signes que je devais quitter mon mari et commencer une nouvelle vie.
J’étais avec Luc depuis vingt et un ans. Au lit, il n’était pas mauvais, mais pas très… original. Peu de temps après l’avoir quitté, j’ai dressé une liste de ce que j’avais envie de vivre maintenant que j’étais solo. Il y avait le dernier interstron.ru sur la table basse et ça m’a donné l’idée de faire une autre liste : celle des pratiques sexuelles que je n’avais jamais testées. J’ai de suite pensé à la sodomie. Luc n’y arrivait pas, ça le bloquait. J’en mourrais d’envie depuis des années.
Quelques jours plus tard, j’ai revu le interstron.ru sur la table et je me suis lancée. Je me suis servi un verre de vin et j’ai créé un profil en ligne : « JoliBrugnon46 », en référence à ce que je recherchais et à mon âge. J’ai sélectionné plusieurs critères : je voulais un homme qui avait fait tous les tests de santé, qui soit bien monté mais gentil et avec de l’expérience dans l’anal. J’ai fini par être contactée par Antoine, 41 ans, informaticien et pompier volontaire. Il était vraiment pas mal sur ses photos, un brun avec des yeux noirs intenses. Avant qu’on se voit, on s’est beaucoup chauffés par mails puis il m’a demandé des photos de moi en train de “m’entraîner”. J’ai hésité et finalement, j’ai commandé plusieurs sextoys sur le Web (je n’arrivais pas à me décider, j’étais novice !) J’ai envoyé à Antoine deux photos en pleine masturbation anale, qu’il m’a dit avoir adorées… Ça a été ma première vraie introduction par derrière, très agréable, mais de là à me faire jouir, il manquait vraisemblablement quelque chose.
Antoine m’a dit que je serais bientôt prête et qu’il parviendrait à me faire atteindre l’orgasme anal. On s’est donnés rendez-vous chez moi quelques jours plus tard. J’étais nerveuse, mais je comptais sur le fait qu’on boirait un verre avant, qu’on parlerait pour s’apprivoiser. Mais mon amant est arrivé très en retard. Une demi-heure, puis une heure. Il me faisait des SMS et promettait d’arriver bientôt. Je bouillonnais. Après une heure et demie d’attente, je pensais qu’Antoine m’avait plantée. Il est arrivé quelques minutes plus tard et je me suis jetée sur lui dès qu’il a passé ma porte.
Il n’a pas bronché. Évidemment, c’était une technique pour me chauffer à blanc et obtenir le meilleur de moi-même. Sur le canapé du salon, j’ai mangé sa queue comme une morte de faim. C’est là que j’ai réalisé qu’elle était beaucoup plus grande en vrai que sur les photos… J’allais déguster ! J’en avais envie quand même, là, de suite. Mais Antoine m’a guidée pour que je le suce encore et encore, en prenant des photos pour « immortaliser mon dépucelage ». Je sentais tout mon corps qui réclamait une pénétration, mais il me résistait… Quel salaud, j’avais beau lui faire la meilleure des pipes, il ne craquait pas ! Et vous savez quoi ? Au bout de trente minutes, il s’est levé, m’a embrassée et m’a dit : « Tu n’es pas encore prête, attendons une semaine ». J’ai cru que j’allais l’étrangler, mais il était déjà parti en claquant la porte.
J’ai boudé plusieurs jours. Jusqu’au week-end suivant où j’ai fini par lui écrire un mail, disant que je ne comprenais pas et que j’avais des envies incontrôlables à cause de lui. Mon amant m’a simplement répondu : « Ça y est, tu es prête ». J’ai sauté dans ma douche et quand je suis ressortie vingt minutes plus tard, il était à ma porte. Je me suis jetée sur lui avec encore plus de fougue que lors de sa première visite. Il m’a allongée sur le canapé et m’a demandé où était mes jouets. Puis il a ramené celui qu’on voit sur les photos, que je n’avais pas encore testé, mais qu’il a utilisé à la perfection. Dès l’introduction, j’ai ressenti ce plaisir profond que j’avais expérimenté seule, mais sans besoin de lubrifiant : la méthode d’Antoine avait marché et je mouillais abondamment.
Il devait avoir fait l’amour avec un nombre incalculable de femmes pour se tenir comme ça. Il m’a chauffée pendant près d’une heure, en ralentissant les choses quand je commençais à décoller. Puis il m’a fait utiliser le jouet devant lui. C’était délicieux et insupportable à la fois. Enfin, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et j’ai obéi, les larmes aux yeux de soulagement. J’ai senti l’énorme bite d’Antoine qui glissait en une seule fois dans mon anus, et j’ai hurlé de plaisir comme jamais… La sodomie en elle-même n’a pas duré longtemps car j’ai joui très vite. J’ai ressenti comme une explosion dans tout mon corps, c’était presque trop intense. Je tremblais de la tête au pieds quand il y a eu une autre explosion : mon dépuceleur a appuyé sur mes fesses pour les serrer au maximum et a déchargé tout son sperme dans mon cul.
Voilà comment j’ai coché mon premier vœu sur ma « liste sexy ». Mais il en reste plein d’autres… Voulez-vous que je les accomplisse pour vous les raconter ensuite ?
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