La cousine aime la pine 

La rédaction 25 mai 2021

Philippe, 37 ans est très attiré par la jeune cousine de sa femme, il craque lors d’un repas de famille et lui fait prendre un pied fou !

Ma femme a une jeune cousine de 22 ans, Sarah. Elle est ravissante, avec son corps gracile, son air candide et ses grands yeux bleus. Je l’ai toujours trouvée attirante. Je la voyais aux retrouvailles familiales chaque année et j’aimais discuter avec elle. Pendant une cousinade qui se déroulait sur un week-end entier, nous nous sommes beaucoup rapprochés et il n’y a qu’à vous que je puisse raconter cette histoire porno. 

Nous étions donc en pleine cousinade à la campagne, où des sports collectifs étaient organisés tout au long du séjour. Il y avait notamment une sorte de course d’orientation en kayak sur la rivière et je devais faire équipe avec Sarah ! Nous sommes partis dans notre canoë et nous avons vite oublié les consignes en nous éloignant de la berge. Elle était à l’avant et je regardais sa jolie silhouette en train de pagayer, ses seins qui pointaient sous son maillot de bain quand elle se tournait vers moi. Elle m’a dit qu’elle venait de rompre avec son petit ami parce qu’il ne savait pas la baiser. Elle était cash, la jeune fille ! Elle n’avait pas de plaisir et encore moins d’orgasmes et ça la fatiguait d’avoir un amant aussi égoïste. Je sentais que ses paroles me faisaient bander. J’avais envie de la faire jouir moi, de lui montrer ce que c’était, mais ce serait vraiment céder à un interdit que ma femme ne me pardonnerait pas si elle découvrait le pot aux roses.

On s’est mis à parler crûment de sexe. « Ma cousine, elle m’a dit qu’avec toi c’était génial, quand on a échangé des confidences… » J’étais gêné, mais flatté ! Elle m’échauffait, celle-là, avec ses sous-entendus ! « Je voudrais que tu me montres comment tu fais… Pour que je puisse dire aux prochains comment s’y prendre. » « Hein ?Te rends-tu compte de ce que tu dis ? » Sarah était en train de pagayer avec ses jolis bras fins et je voyais son petit cul bouger pendant qu’elle ramait. Elle s’est tournée encore vers moi et vu le regard qu’elle m’a jeté, je savais que c’en était fini de moi. Nous avons accosté sur un petit îlot de terre au milieu du fleuve pour faire une pause, et surprise, il y a avait là une cabane de pêcheur. Les clés étaient sous une pierre devant la porte. Visiblement, Sarah connaissait les lieux. Nous sommes entrés et il y avait une petite couchette, un fauteuil, des cannes à pêche. Un petit havre de paix posé ici comme par miracle !

Sarah s’est jetée sur le lit dans son maillot de bain mouillé. J’ai défait doucement les ficelles du bikini en la regardant. Ses seins frileux, son bas-ventre et son sexe glabres sont apparus à mes yeux, provoquant une accélération de mon souffle et de mon rythme cardiaque. Je l’ai caressée doucement et je ne savais plus si elle était mouillée par l’eau ou par le désir… J’ai juste caressé son clito du bout des doigts et en quelques minutes, elle s’est tordue de plaisir sur le lit et a joui sans retenue. « Waouh… Aucun homme n’avait réussi jusqu’à toi ! » « C’est parce qu’ils sont jeunes et inexpérimentés.» Elle était transie, elle en voulait encore. Elle s’est mise à me branler et à me sucer, mais son joli cul gigotait devant moi, réclamant de nouvelles marques de tendresse. Sa petite bouche gobait ma chair, enflée par l’excitation folle qu’elle avait suscitée en moi. La jeune cousine tentatrice qui avait besoin d’un initiateur d’orgasmes… Tu parles d’un scénario tentant !

Impossible de résister à pareille petite aguicheuse qui, en plus, est encore à peine consciente de l’effet qu’elle fait aux hommes. Elle me suçait super bien, avec abnégation, désireuse d’apprendre. Pour la remercier, je lui ai fait un cunni très doux contre les draps, ses jambes encadrant ma tête qui lui bouffait la chatte avec empressement. Je l’ai encore fait jouir. C’était facile, comme d’appuyer sur un interrupteur.

Je l’ai ensuite fait jouir en branlant ses tétons tout en la léchant encore, je voulais l’épuiser. Elle jouissait en miaulant, une vraie machine à orgasmes. Quand je l’ai pénétrée en levrette sur la petite couchette du pêcheur, j’ai encore stimulé son clito avec ma main tout la tenant fermement de l’autre et en la baisant avec application. Je lui ai fait poser le haut du corps contre le lit, popotin en l’air, pour qu’elle me prenne vraiment au creux de sa chatte, pour que je m’enfonce jusqu’à la garde, pour en stimuler tous les recoins. Elle a encore joui, et doublement, m’a-t-elle dit, le plaisir vaginal et clitoridien se superposant… Ils devaient être nuls ses amants pour ne pas parvenir à lui donner de plaisir ! C’était pas compliqué, avec des hormones en folie pareilles. Elle était comme une démenteà prendre son plaisir et ça me rendait obsédé de la voir ainsi, son pouvoir m’avait contaminé tout entier et j’étais désormais scellé à sa peau, sans pouvoir me décoller d’elle. J’aurais aimé la faire jouir toute la nuit sans discontinuer…

C’était tellement bandant que j’ai joui rien qu’en la regardant prendre son pied une énième fois. Je voulais ne plus être qu’un électron volant au cœur de sa jouissance, ne plus exister que pour la faire venir, que pour faire s’ouvrir ce joli visage sur un cri de plaisir pur.

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