Les bonheurs de Sophie
12 mai 2019Albert, 61 ans.
Je m’appelle Albert, retraité depuis peu et fidèle lecteur d’Union. Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé récemment.
En début d’année dernière, un jeune couple s’est installé à mon étage. À l’automne, le mari est venu m’annoncer que Sophie, sa femme, avait accouché de jumeaux. Quelques mois ont passé, puis j’ai commencé à croiser Sophie tout en sueur dans les escaliers. Chaque matin, elle faisait son jogging pour récupérer après sa grossesse, bien qu’elle soit déjà très bien sculptée : un corps bien ferme de 1 m 70, blonde aux yeux verts, de jolis seins qui n’avait rien à envier aux fesses, et un petit ventre bien plat. Il y a un mois, nous avons discuté un peu plus longtemps, et elle m’a invitée à passer dans l’après-midi prendre un verre chez elle.
Dès qu’elle a ouvert la porte, j’ai senti mon bas-ventre se contracter, elle m’a dit : « Hello ! Viens, mets-toi à l’aise, les enfants dorment, et Alex ne rentre pas avant 18 heures… Je vais vite me changer ! » Effectivement, le linge dans lequel elle s’était enroulée ne laissait pas beaucoup de place à l’imagination. Elle est revenue me proposer un café, habillée d’une microjupe en jean et d’un top blanc très moulant. J’étais aux anges, elle était vraiment belle. Nous avons commencé à discuter de futilités mais, très vite, la discussion s’est orientée vers le sexe. Elle parlait très ouvertement de ses tétons très sensibles à cause à l’allaitement, de sa relation inexistante avec son mari, de ses plaisirs solitaires… Moi, je bandais comme jamais depuis longtemps, elle l’a remarqué et a commencé à fixer ma bosse. Ses tétons durcissaient et formaient deux jolies proéminences sur son top. Elle a écarté légèrement les jambes, et j’ai aperçu une chatte toute lisse. Cette salope n’avait pas mis de culotte. Était-ce une invitation ?
J’ai tout de même gardé mon calme jusqu’au moment où elle a débarrassé les tasses. En se penchant sur la table du salon, la jupe est remontée jusqu’aux fesses et a laissé apparaître ses lèvres trempées à 30 centimètres de mon visage. J’ai perdu le contrôle et j’ai donné un coup de langue en lui écartant les fesses de mes mains. Elle sentait la mouille toute fraîche. Sophie a tourné la tête vers moi, m’a fixé avec un regard de salope et m’a balancé ces deux mots : « Baise-moi ! » Je l’ai mise en levrette sur le tapis et lui ai bouffé la moule, le temps de sortir ma verge. Elle mouillait abondamment. Je me suis introduit en elle d’un seul coup. Plus elle gémissait, plus je limais fort jusqu’à ce qu’elle me fasse sortir de sa chatte et me demande de la fourrer dans le cul jusqu’à la garde. Après quelques va-et-vient, j’y ai déchargé de longues saccades. Je me suis retiré et elle s’est retournée pour nettoyer ma queue avec sa bouche.
On s’est caressé longtemps sous la douche, puis elle m’a sucé sur le lit avant de s’empaler sur ma bite, pendant que je lui malaxais les seins. Quelques gouttes de lait se sont formées sur leur pointe, j’ai commencé à la téter comme un sauvage, on a très vite atteint l’orgasme ainsi. On a encore recommencé cet après-midi-là, ainsi que tous les jours de la semaine depuis, grâce à mes petites pilules bleues.
Dès que son mari part travailler, Sophie me fait signe pour que je m’occupe de tous ses orifices. Ce qu’elle préfère, c’est avaler mon sperme après une bonne sodomie… J’espère pouvoir vous raconter la suite avec ma jeune maman nymphomane de 25 ans.
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Anna
Super rein que de lire je mouillait .mon rêve c est de donner le sens