Une étudiante studieuse

La rédaction 14 mars 2019

Hélène a des résultats brillants dans toutes les matières, mais a feint d’avoir besoin de cours particuliers d’anglais auprès de son prof préféré, Mark. Celui-ci est venu chez elle pour l’aider à se perfectionner. Il se rendra vite compte que son étudiante souhaite s’améliorer dans une toute autre matière que celle qui était prévue…

En anglais, j’avais de loin les meilleures notes de toute la classe. Bizarrement, c’est ce qui m’a fait me sentir autorisée à demander des cours particuliers à mon prof, le très beau franco-britannique Mark. Quand tu es la meilleure, non seulement tu te fais remarquer, mais en plus, tu peux prétexter un séjour d’études à l’étranger et le besoin de te perfectionner pour passer les tests d’une université d’été, par exemple. C’est ce que je lui ai raconté.

En réalité, je me moquais de faire un séjour aux États-Unis et j’avais plutôt envie de faire un petit tour dans ses bras musclés. C’était cela, la vérité qui motivait mon désir de cours (très) particuliers. Mark m’avait fait tourner la tête dès le premier jour. Brun, bien bâti, un peu ringard dans ses vêtements de prof mais doté d’un charme fou, il était adoré de ses élèves. Son corps était souple, il se posait nonchalamment sur le bord de son bureau et de celui des étudiants, en particulier du mien, quand nous étions en salle de cours.

Il donnait très facilement son numéro et communiquait avec nous sans manières, sans hiérarchie. Bref, c’était quelqu’un d’aimé et de populaire. Moi, je le trouvais tellement sexy avec son accent « so British » et ses gestes fluides, que je rêvais de lui faire l’amour sur ce bureau où il posait son petit cul adorable. Je m’étais dit qu’après tout, il pouvait bien prendre une petite heure pour mes beaux yeux et venir chez moi « bosser » l’anglais, non ? Nous verrions bien ce qu’il en ressortirait.

En tout cas, il avait tout de suite accepté en me lançant un regard à la fois interrogateur et flatté. Le jour de mon cours avec lui, j’étais un peu nerveuse mais de bonne humeur. J’ai voulu jouer à fond le cliché, ne serait-ce que pour lire de la confusion dans son regard.

J’avais chaussé des escarpins noirs sur des chaussettes blanches, enfilé un haut à col roulé et une jupe à carreaux. On aurait dit une étudiante d’Oxford qui faisait du porno après les cours.

Je me plaisais beaucoup et j’espérais lui plaire aussi. Mark a sonné à la porte d’entrée et je suis allée lui ouvrir. Il m’a contemplée avec circonspection et, j’en étais certaine, avec un plaisir évident. « Well… Shall we ? », a-t-il demandé, ce qui voulait dire qu’il suggérait que nous commencions le travail.

Nous nous sommes assis sur le canapé et il a commencé à me faire répéter une sorte d’entretien en anglais, pour que je perfectionne ma diction. Je répondais en fixant son regard avec intensité et en caressant mes cheveux de temps à autre. Je sentais sa gêne et sa curiosité monter sous mes yeux, et ses joues rougir légèrement. Ses yeux restaient fixés sur le livre de travail.

À un moment donné, quand j’étais sûre que son trouble n’était pas que de la gêne et que j’ai eu rassemblé suffisamment de courage, j’ai répondu à une de ses questions par « I want you to touch me and I also really want to touch you », ce qui voulait dire que je voulais qu’il me touche et que je voulais le toucher moi aussi.

Mark m’a regardée, incrédule. J’ai relevé ma jupe doucement pour lui laisser voir ma culotte et qu’il n’ait plus de doutes sur mes intentions. Puis, sans le lâcher des yeux, j’ai tendu la main vers son entrejambe pour la poser sur sa queue qui, je l’avais deviné, était déjà toute dure. Mark a bredouillé qu’il me trouvait très jolie, mais qu’il n’était pas sûr que cela soit une bonne idée. « Tu n’en a pas envie ? », ai-je demandé, et il a répondu que si, évidemment, il en avait très envie. « So… Shall we ? » « Ok », a-t-il murmuré.

J’ai envoyé valser le livre d’anglais qu’il avait encore sur les genoux et je me suis levée devant lui en me tournant pour qu’il puisse admirer mon corps. Il a posé ses mains sur mes fesses rebondies dans la jupe à carreaux et il a souri comme un gamin à qui on aurait offert un cadeau inattendu.

J’ai tourné la tête pour l’observer de dos, comme lorsque que je me fais prendre par-derrière et que j’aime donner à voir mon profil à mon partenaire.

J’ai relevé mon haut pour découvrir mes petits seins ronds qui étaient en liberté, sans soutien-gorge. Son regard s’est illuminé un peu plus en me regardant et il a commencé à oser passer ses mains sous ma jupe et à caresser la peau. Son contact me donnait des frissons dans l’entrejambe et je me suis mise à bouger doucement le bassin pour bien sentir la pression de sa main et le désir se réveiller dans cette partie-là de mon corps.

Il a caressé plus fort et a glissé ses doigts vers ma fente déjà humide de mon attirance pour lui. Il a frotté délicatement mon sexe et a passé légèrement les doigts sur mes lèvres, ce qui me faisaient trembler le bassin, d’excitation et de plaisir que je ressentais déjà au creux de tout mon corps.

Tandis que j’étais toujours de dos, Mark s’est mis à me caresser le ventre et les seins. Puis, il m’a aidée à retirer mon haut et ma jupe et m’a fait m’allonger sur le canapé en tenue d’Ève, laissant les bas blancs et les escarpins – je me doutais bien que ce détail l’exciterait.

J’étais toute nue, en chaussures, en train de mouiller et le corps tendu vers lui, quand il a commencé à se pencher sur moi pour goûter mon minou qui trempait déjà le cuir du sofa.

Il a posé doucement sa bouche dessus et ce contact a immédiatement fait redoubler ma production de cyprine tant l’imagination des plaisirs à venir me laissait pantelante de désir.

Là, Mark a sorti sa langue pour me faire un cuni et c’était incroyable. Rien à voir avec la maladresse de mes petits camarades de classe qui s’étaient déjà essayés à l’exercice. Lui avait la pointe de sa langue bien ferme et agile, il caressait pile sur mon clitoris et s’agitait dessus comme un petit jouet mécanique, le léchant à la perfection.

Je gémissais en anglais pour lui faire plaisir « Oh yes, please don’t stop this », ai-je minaudé d’une voix de féline. Son cuni me transportait de joie, je n’étais que frissons et vagues de plaisir dans tout le bas-ventre, les fesses et les seins. Mark a continué, redoublant les coups de langue sans jamais s’arrêter.

Il m’a fait jouir une première fois ainsi, en ne me touchant qu’avec le bout de sa langue sur une minuscule surface de mon corps, mais c’était tellement bon et excitant que j’avais laissé l’orgasme, tel une boule de feu, éclater en moi.

Afin de le remercier, je me suis mise à genoux à ses pieds pour m’occuper de lui. J’ai sorti sa bite de son caleçon. Je n’ai pas attendu qu’il ait ôté sa chemise ni son pantalon pour la mettre dans ma bouche d’étudiante appliquée.

Elle était large, pleine et avait un bon goût. Elle me remplissait la bouche de son volume. C’était une très belle queue d’homme comme rarement j’en avais goûté.

Je la suçais avec joie et dynamisme, la même ferveur que je mettais à apprendre l’anglais, mais avec encore plus d’enthousiaste.

Mark gémissait sous mes pressions, ce qui me faisait redoubler de caresses, de coups de langue sur sa tige et de succions humides passionnées sur son gland. J’étais un vrai cliché de fantasme : je me trouvais à genoux devant mon professeur avec mes petites chaussettes blanches et mes petits souliers vernis, mes longs cheveux balayant mes hanches et excitant mes reins avec leurs pointes, ma chatoune toute mouillée et féline, et ma bouche salivant autour de son membre.

Son braquemart coulissait entre mes lèvres comme un animal qui se réveillait et qui aurait voulu se faufiler au chaud dans tous les creux de mon corps. Je désirais accueillir cet animal soyeux en moi. Alors j’ai aidé Mark à se déshabiller complètement.

Il s’est allongé sur le canapé, sur le dos, la bite dressée vers le ciel et les joies à venir.

Je voulais tant que cette belle queue s’enfonce en moi, sentir ce volume que j’avais aimé goûter s’élargir entre mes lèvres les plus intimes et me remplir de sa puissance. Je me suis mise dos à lui à nouveau, lui présentant mes fesses qu’il s’est mis à pétrir entre ces mains. À califourchon sur lui, je me suis mise à le branler et à se servir de son sexe pour m’auto-exciter et me faire encore plus lubrifier, pour mieux le recevoir.

Je frottais sa queue contre ma chatte pendant qu’il massait mes fesses de l’autre côté. Quand ma minette a été complètement humide et béante de désir pour cet homme et ce sexe dressé, je l’ai avalé en moi.

Je l’ai fait glisser dans mon trou et il y est entré très facilement, en glissant dedans dans un bruit mouillé. J’ai poussé un petit cri de plaisir. Là, je me suis mise à le chevaucher pour mieux le sentir, tandis qu’il continuait à pétrir mon cul avec ses mains. Je sentais sa bite qui me baisait au plus profond de moi, ma chatte qui venait s’empaler sur ce pieu et se frotter contre ses couilles, et ses mains qui s’activaient sur mon derrière.

Mark a commencé à titiller mon anus avec ses doigts pendant que je le sautais avec des grands coups de reins pour me faire du bien et le sentir en moi.

Il s’agitait sur mon petit trou, de sorte que je puisse basculer le bassin pour recevoir tour à tour la pression de son chibre dans mon sexe et la tension de son doigt dans mon cul, ce qui m’excitait doublement et de façon délectable.

Mark a mis plusieurs doigts dans mes fesses, et de la salive, et j’aimais cette pénétration, cette tension précise, ciblée et ferme.

Je n’en revenais pas que mon prof était en train de me titiller l’anus pendant que son sexe baisait le mien. Les autres étudiantes seraient tellement jalouses de moi ! Elles ne me croiraient sûrement pas. Cette pensée n’a fait que décupler mon bonheur de me sentir prise doublement par Mark.

Il a continué tant et si bien que j’ai fini par m’étendre sur le ventre sur le canapé, pour que sa bite se fraye un chemin par là où il me caressait. Il a craché dans ce creux intime pour le lubrifier encore plus. Dans mon esprit, je ne voulais que lui, qu’il me fourre par tous les endroits, si bien que mon cul était totalement offert à lui, tout comme ma chatte l’avait été.

Il n’a pas eu à faire d’effort particulier pour me la mettre par ici et il s’est enfoncé en moi délicieusement. La pénétration par cet endroit était encore plus forte, plus cérébrale et plus intense.

Je me sentais totalement possédée par mon professeur. Ah, ce cher professeur ! Sa queue s’était mise à faire des allers-retours en moi, m’emplissant d’une manière délicieuse et encore plus ferme, frottant dans mon cul et stimulant des recoins cachés de mon intimité.

Je posais mes mains sur mes fesses pour mieux les écarter et pour qu’il puisse me prendre encore plus fort dans cette partie cachée de moi-même. Je gémissais encore, remplie de plaisir. Il n’y avait plus que lui et moi, et ce trou de mon corps dans lequel on se perdait et se dissolvait ensemble. Je me suis retournée pour planter mon regard dans le sien, de la même manière que je l’avais fait un peu plus tôt, quand j’étais debout devant lui et encore habillée.

Nos regards se sont rencontrés et la sensation de notre baise n’en était que plus intense. Son regard me transperçait comme me transperçait sa queue, bourrant mes fesses comme elle avait bourré mon sexe, dans un appétit et un élan merveilleux de vie. Je me suis mise à mon tour sur le dos pour qu’il me prenne encore par ma fente, en missionnaire. « Qu’est-ce que tu es bonne, je n’ai jamais couché avec aucune de mes étudiantes, mais avec toi c’est impossible de ne pas en rêver », disait-il dans son essoufflement, vaincu par son désir, et toujours avec son délicieux accent. Moi, j’étais en extase. Je me laissais sauter à nouveau dans mon sexe déjà frémissant et presque douloureux avec plaisir, et j’en profitais pour me toucher sous ses yeux captivés.

Je glissais ma main vers mon clitoris pour le frotter et me donner du plaisir en même temps qu’il me pilonnait. Puis je me mettais à me pincer les tétons. Une main sur le sein à le titiller pendant que l’autre caressait mon sexe, comme quand je me masturbe toute seule. Mark voyait le plaisir que je prenais de toutes ces stimulations et redoublait ses coups de queue, ce qui me faisait à présent crier de plaisir.

Je n’étais plus qu’un vivier des sensations, celles qui se démultipliaient dans tout mon corps et dans toutes mes zones érogènes. Je me sentais vibrer de ses assauts et je n’étais plus que le réceptacle consentant de sa queue et sa peau. J’avais été cette étudiante sérieuse et appliquée, mais toutefois libérée et affirmée, qui avait baisé son prof.

Je ne me pensais pas capable d’un tel renversement des barrières et je profitais délicieusement de mon audace, là, sur le dos, recevant la bite de mon amant pas comme les autres dans ma petite chatte de jeune femme lubrique.

Mark a relevé une de mes jambes pour me prendre encore plus fermement et je sentais ce sexe toujours plus dur et ferme en moi, prêt à décharger tout le désir délirant que je lui avais inspiré.

La force de sa pénétration et ma caresse frénétique sur mon clito et mon téton m’ont arrachée des gémissements profonds et j’ai senti venir le deuxième orgasme qui a inondé mon trou, tel un séisme. Je hurlais. Je ne pourrais plus jamais regarder mon prof dans les yeux sans me mettre à mouiller en pensant à cette baise incandescente.

Me voyant jouir et me cambrer dans le plaisir, Mark a continué à me baiser quelques secondes, puis a sorti sa queue pour se branler et gicler abondamment sur moi.

J’ai reçu sa semence comme un liquide précieux.

Lui aussi a crié, ce qui est trop rare à mon goût chez les hommes.Son plaisir a déformé son visage et son jus s’est répandu sur moi.

J’étais aux anges, hébétée de ce qui venait de se passer. Le livre d’anglais était toujours dans un coin, jeté négligemment au sol. Je l’ai ramassé une fois qu’il fut parti. Pendant les cours, il est devenu impossible de me concentrer.

Nous avons décidé de remettre ça. Et je peux vous dire que les fois où nous nous sommes revus, le livre est resté sagement sur mon étagère…

À propos de l’auteur

La rédaction


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  • ludo1304

    Vraiment studieuse, superbe

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