A moi le bel anglais !
7 novembre 2019Audrey, 23 ans
Mon nom est Audrey, j’ai 23 ans et mon mari, c’est Mathis 24 ans. Nous travaillons tous les deux dans l’immobilier. Nous vous écrivons d’Angleterre où nous nous sommes installés après nos études, il y a deux ans. Ici, nous sommes bien entourés avec plein d’amis et des relations professionnelles sympathiques, mais il faut bien avouer que nous passons beaucoup de temps l’un sur l’autre, surtout que nous adorons le sexe.
Donc bien sûr, nous avons essayé tous les trucs possibles pour un couple (même s’il y a toujours des nouveautés à découvrir) et notre équilibre intime n’est entaché d’aucun tabou. Nous sommes, par exemple, récemment arrivés à l’épisode inévitable de l’échangisme, ou plus exactement du « candaulisme » comme on dit chez vous. C’était un fantasme de plus en plus récurrent chez Mathis, il voulait que je me fasse sauter comme une salope par un inconnu (pour éviter les histoires…). Et il désirait être témoin de la scène, évidemment ! Vous pourrez constater sur les photos qu’il ne s’est pas privé pour garder un petit souvenir aussi… Bref, dans notre quête de sexe sans limites, nous nous sommes retrouvés à traîner dans un quartier presque inconnu de notre ville. Nous faisions les bars pour trouver l’anonyme qui nous plairait le plus.
Nous sommes tombés sur Tommy dans un pub à l’ambiance sinistre. Il était avec des amis, il jouait aux fléchettes en riant. On n’entendait qu’eux, tout le monde était plongé dans sa pinte de brune et sirotait en silence. Il nous avait remarqués puisque nous n’arrêtions pas de le zyeuter et il a fini par venir nous voir : « Is there a problem, pal ? » [nldr : « Un souci, l’ami ? »], a-t-il demandé à Mathis. Nous lui avons expliqué notre plan et il a révélé sa belle dentition linéaire dans un sourire malicieux pendant qu’il suivait mes courbes généreuses du regard. En sentant ses pupilles passer sur mes nichons, j’ai ressenti une décharge d’hormones. J’ai su que c’était le bon. Le rendez-vous a été fixé au week-end.
Pour l’accueillir, j’avais choisi une vraie tenue d’actrice porno. Un tout petit chemisier très moulant, une jupe plissée d’écolière britannique et des baskets. Zéro culotte. Il a été ravi ! Nous lui avons offert une bière, et il s’est approché de moi. Mathis s’est écarté pour mitrailler la scène. Tommy savait très bien que je ne portais rien sous ma jupe, vu que j’avais beaucoup croisé et décroisé les jambes pendant notre pseudo-discussion d’approche. Aussi, il est allé droit au but, comme un bon petit rosbif, et m’a collé la main sur la chatte en me roulant une pelle magistrale. Je me suis retrouvée toute nue en moins de temps qu’il ne faut pour dire David Beckham, et la partie de cul a vraiment commencé.
Il a retiré ses fringues et a amené mon visage vers sa belle queue que j’ai léchée avant d’en pomper le gros gland du bout des lèvres… Et tout ça, sous les yeux de mon mari ! J’ai même introduit un doigt dans le cul de mon petit jules de comptoir qui n’a pas bronché. Mais la fellation ne devait pas être son truc finalement, car il m’a bientôt attrapée par les aisselles pour que je vienne le chevaucher. Il a déroulé une capote sur toute sa jolie longueur de bite et m’a mis cher dans la foufoune ! Je me suis enfilée d’un coup et vlan ! Il m’a pilonnée comme un dément. Malheureusement, ce n’est pas la façon de faire que je préfère (il ne pouvait pas deviner, évidemment !), mais je me suis laissé submerger par le plaisir quand même. J’ai un instinct pour ça, croyez-moi. Lentement, j’ai senti venir un orgasme du fond de mes entrailles, c’est remonté vers mes seins, j’étais un vrai sapin de Noël, je m’illuminais ! J’en ai crié en perdant presque la raison. Mais lui, il n’en était qu’au début, ça ne l’a pas arrêté du tout !
Il a continué à me niquer comme ça pendant au moins une demi-heure. Il me retournait sur son engin avec agilité, j’étais déboussolée. Et enfin, il a joui en gémissant et en disant des saloperies sur sa petite frenchie. Mon mari était complètement affolé par la scène. Nous avons vite pris congé du Tommy marteau-pilon, et Mathis a repris possession de sa femme. Il m’a enculée si fort que j’en ai eu mal pendant trois jours, mais quel bonheur de se faire bourrer par son homme ! Il me connaît mieux que tout autre. D’ailleurs, ce fantasme, c’était avant tout pour lui ! Et il a apprécié. Nous avons trouvé qu’il était logique de raconter tout ça a notre magazine favori, vous ne croyez pas ?
(Image à la une : Getty Images)
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