Candaulisme entre amis
12 décembre 2023Lionel, 53 ans, découvre le candaulisme en offrant sa femme à un voisin !
J’ai dix ans de plus que ma femme, Evelyne. Ça fait beaucoup, je sais. Dix ans. Je l’ai rencontrée à trente, elle en avait à peine vingt, elle était toute fraîche, superbe, une coupe au carré qui ne l’a jamais quittée, des yeux pétillants et un joli nez. Mais dès le début de notre relation, je me suis tout de suite demandé ce qu’elle me trouvait. C’est vrai, quoi ! J’ai toujours un léger embonpoint, je ne suis pas particulièrement beau ou drôle, je suis bon cuisinier, certes. Mais est-ce pour des crèmes brûlées que vos femmes restent à la maison ?
D’autant que je m’en souvienne, j’ai toujours eu la trouille de la perdre. Surtout la nuit, en fermant les yeux, j’avais peur de les rouvrir et de découvrir mon lit vide, avec un mot laissé par Evelyne pour se moquer de moi, pour me punir d’y avoir cru, d’avoir eu l’audace de penser que j’étais celui dont elle avait besoin. Nous avons eu deux mômes ensemble. Pensez-vous que je sois rassuré pour autant ? Non. Elle devenait sublime dans son rôle de mère, une madone qui, entourée de ses enfants, gérait tout de front : les sorties en famille, une carrière qui prenait de plus en plus d’allure et les soirées barbecue avec le voisinage. Et moi dans l’histoire, je m’empattais. Et puis, je les voyais ces regards. Ceux des autres hommes, des voisins, des parents des gosses, qui venaient prendre le goûter ou piquer une saucisse dans le jardin, et qui ne pouvaient s’empêcher de la mater de haut en bas. Quelle poupée ! Quelle femme !
J’étais fier, ça oui ! Mais cela ne faisait que d’attiser ma peur, sourde, qui, petit à petit, s’est transformée en un désir, puissant et de plus en plus précis : il fallait qu’Evelyne se fasse baiser devant moi. On appelle ça « le candaulisme » mais moi, à l’époque, je ne connaissais pas ce mot, et je me trouvais juste bizarre et pervers. Et puis cette idée devenait obsédante, je ne voyais que cette solution, cette scène d’infidélité organisée, pour m’extirper de ma jalousie débile et abrutissante. Voilà comment à commencer mon histoire de sexe !
Pour ça, j’avais le candidat idéal : Rémi, un mec du village d’à-côté avec qui Evelyne faisait des sorties randonnées. Elle adorait ce passe-temps et Rémi passait souvent, avec d’autres amis, à la maison. Mais de loin, c’était le plus terrible. Il ne lâchait pas Evelyne d’une semelle, il faisait tout pour se mettre à côté d’elle, lui faisait des compliments très (très) osés, surtout sur ses gros nichons, et ça la faisait rire, mon Evelyne. Elle riait en lui caressant la tête et en rapprochant ses seins de son visage. Ils avaient été plusieurs fois à deux doigts de baiser, je l’avais vu, bien qu’ils restaient toujours discrets.
Alors, j’ai tenté le tout pour le tout : j’en ai parlé à Evelyne, j’en ai parlé à Rémi. Rémi a dit tout de suite « oui ». Evelyne, pas tout de suite, elle trouvait ça bizarre, elle m’aimait, elle ne voulait pas me partager avec une autre femme. Ça m’a fait plaisir, sa jalousie à elle, mais je l’ai rassurée : je m’en foutais des autres femmes. Au bout de quelques jours, elle a été d’accord.
Elle a attendu Rémi à la maison, dans une somptueuse lingerie que j’avais moi-même choisie, accompagnée de talons de marque que j’avais commandés en ligne. Je voulais qu’elle soit belle, qu’elle n’ait jamais été aussi radieuse pour se faire troncher par son amant. Mon rôle était très clair dans l’histoire ; je devais juste prendre des photos – point barre. Et je me suis entraîné à prendre quelques clichés avant que Rémi n’arrive. Clic. Clic. Clic. La voir tellement sexuelle, comme ça, cambrée, apprêtée, pour un autre… ça m’a fait bander ! Incroyable ! Une vraie trique bien dure, bien plus prenante que quand je la baisais dans l’intimité. Rémi est arrivé et tout de suite, les deux sont montés au lit. Ils s’étaient déjà bien dragués durant des années devant moi, ils n’allaient pas me faire le coup de ceux qui ont besoin de se « découvrir » avant de passer à table ! Evelyne s’est montrée très entreprenant avec Rémi, et je dois avouer, bien plus qu’avec moi ! C’était elle la cheffe : elle l’a dépoilé, elle l’a sucé, bien comme il faut, en ouvrant bien grand la bouche, en allant lécher les couilles, puis même un peu son trou du cul. Elle lui a demandé la pareille, prenant sa tête d’autorité pour se la foutre dans l’entrejambe. Le pauvre Rémi donnait des coups de langue dans tous les sens. Elle lui a fait aussi la branlette espagnole de sa vie, au Rémy, la queue entre ses deux grosses loches, il devait totalement halluciner !
Moi je connaissais cette botte secrète, mais je savais que peu de femmes maîtrisaient l’art de la paluche aux mamelles. D’ailleurs, à bien y réfléchir, je suis sûr que sa femme était du genre planche à pain. Evelyne ne l’a pas fait gicler de cette façon, elle voulait son bouquet final, elle s’est même mise à quatre pattes et lui a dit : « bah vas-y, baise-moi ! » Et j’ai vu Rémi défoncer, bien comme il faut, ma femme. A ce moment-là, j’avais vraiment envie de sortir mon pénis et de me branler. Mais ce n’était pas prévu dans le scénario, alors je n’ai rien fait. Mais putain, qu’est-ce que j’ai bandé ! Rémi est sorti de ma femme avant de jouir et s’est répandu sur ses nichons. Forcément, c’était eux les stars de la soirée.
Il est reparti, assez rapidement, trop en tout cas pour que je le félicite et que je le remercie d’avoir rendu ma femme heureuse. C’est dommage, j’aurai adoré cette humiliation supplémentaire, celle de féliciter l’amant de ma femme. Voire de lui proposer un café, une douche, une crème brûlée, qui sait ?
Mais je suis certain que d’autres occasions se présenteront… la liste des potentiels amants de ma femme est longue comme le bras !
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