L’été à l’amante !
28 septembre 2024Morad, 37 ans de Breuillet raconte son été très chaud avec sa cousine et son mari. Ils ont passé leur été à s’enfiler et à prendre en double la cousine.
C’était en deux mille vingt-et-un, déjà quatre ans Que l’ai vécu cette histoire de sexe amateur ! Le confinement nous avait tous bloqués, plus moyen de bouger, quand ma cousine par alliance, Nora, m’a invité à la rejoindre elle et son mari, Charles, à Fréjus. J’ai profité du fait qu’un pote travaillait dans le transport frigorifique pour descendre dans le Var.
Deux mains pour deux queues
Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu Nora, elle était encore plus belle que dans mes souvenirs et surtout, était devenue hyper sexy, mini-jupes ultra-courtes, décolletés sans soutif. À peine étais-je arrivé que je bandais déjà ! Je n’arrêtais pas de me branler, la maison était petite et j’entendais tout lorsqu’ils baisaient. Un matin, ils ont proposé d’aller à la plage, celle-ci était déserte et ma cousine s’est foutue totalement à poil devant moi, Charles a suivi et ils m’ont dit que je devrais faire pareil. J’ai imité le mouvement et Nora m’a félicité pour mon pubis rasé et ma belle queue qui lui semblait aussi grosse qu’appétissante selon ses propres termes ! Je ne savais plus où me mettre, surtout lorsqu’elle a attrapé mon chibre sous l’eau pour me branler, à quelques mètres de son homme. Charles s’est approché, j’étais affolé, mais il s’est contenté de regarder et de tendre sa verge pour que Nora le masturbe avec sa main libre ! Ils se sont embrassés, puis Nora m’a roulé une pelle et elle nous a mené tous deux à la jouissance dans les flots salés. Nos foutres se sont mêlés en filets blanchâtres.
J’ai demandé à Nora si je pouvais l’immortaliser seins nus. Elle m’a souri et le reportage photos a commencé. Le reste de mon séjour a été une succession de baises plus improbables les unes que les autres. Parfois j’entendais le couple s’envoyer en l’air et Nora jouissait fort avant d’apparaître dans l’embrasure de la porte de ma chambre, et nous baisions tels des damnés. Mais ce qu’elle préférait, c’était nous chauffer à mort en ne portant que des bas ou des dessous affriolants. Cette petite mise en scène se terminait toujours de la même manière. Nora se trémoussait jusqu’à que nous n’en puissions plus avec Charles, alors elle daignait s’approcher de nous et nous suçait longtemps, tour à tour ou les deux simultanément, jusqu’à ce que nos bites soient dures comme des barres de fer. Elle était amatrice de gros calibres et c’est vrai que je suis fortement membré. Elle écartait alors ses jambes pour exhiber sa chatte épilée et son petit trou timide. Je n’ai jamais vu une femme mouiller autant. Dès que nous commencions à la caresser ou qu’elle nous tripotait la queue, son coquillage se mettait à couler, sa cyprine était puissante, épicée et huileuse à souhait, c’était un réel bonheur que de l’enfiler grâce à cette lubrification naturelle.
Un été en trio
Souvent, tandis qu’elle suçait l’un de nos chibres, l’autre lui bouffait la moule et le cul. Elle prenait un pied terrible à sentir une langue s’insinuer jusqu’au tréfonds de son intimité, son anus était velouté et s’ouvrait sans peine dès que nos appendices se pressaient à son entrée. Nous la faisions toujours jouir ainsi une première fois, un bon cunni, deux doigts dans la chatte, deux autres dans le petit trou et elle partait tout en s’étouffant avec le membre qu’elle avait en bouche. Nous échangions alors nos places avec Charles et le pompé devenait son baiseur pendant que son lécheur se voyait offrir une pipe royale, Nora ne craignant pas de s’enfoncer mon gros gourdin tout au fond de la gorge. Un soir, Charles m’a demandé pourquoi je ne voulais pas enculer sa femme. J’ai écarquillé de grands yeux, entre excitation et gêne, la taille de mon manche n’est pas pour aider dans ce genre de pratique. Mais mon compagnon de fornication m’a assuré qu’il n’y avait pas de problème.
Il m’a ouvert la voie, avec sa queue plus fine, il a sodomisé sa douce afin de « faire le passage », puis il a pris ma bite entre les doigts et l’a inséré dans l’œillet de Nora. J’ai poussé, c’est entré tout seul. Ma cousine a gémi et m’a caressé les burnes en me réclamant d’y aller à fond. Je lui ai labouré le petit trou alors qu’elle suçait Charles. Ce dernier est venu sans prévenir dans sa bouche, à ses râles j’ai compris qu’il éjaculait. Nora a tout avalé, comme à son habitude. Elle a alors eu un orgasme très fort et j’ai cessé de me retenir en lâchant tout mon foutre gluant dans ses boyaux accueillants. L’ultime semaine, nous n’avons pas arrêté de la prendre en double, moi devant et Charles derrière ou bien l’inverse. De toute façon Nora était insatiable, elle nous a vidé les couilles à chaque fois que nous le désirions et à chaque fois qu’elle en avait l’envie. Je retourne chez eux au mois de juillet, m’est avis que ce sera encore un été « à l’amante » !
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