Ceci est une pipe !

Nous nous connaissons de longue date avec Maria, mais nous n’avons sauté le pas que depuis quelques semaines. Nous étions déjà très complices avant, et elle m’avait avoué avoir un peu de mal avec la fellation. Au détour d’une de nos conversations intimes, je lui ai pourtant fait comprendre que j’aimerais bien qu’elle me suce. Visiblement, elle aimait ça, mais souvent, elle ne savait pas forcément comment s’y prendre ni comment faire vraiment du bien à son partenaire. Maria avait néanmoins envie d’apprendre, sans avoir jamais osé demander à ses amants de lui expliquer précisément ce qu’ils aimaient.

Enthousiaste à l’idée de lui donner une petite « leçon » de pipe, je lui ai proposé d’essayer ensemble le soir même. Elle a accepté et nous avons commencé, dans le lit, à nous caresser pour faire grimper la température. Ses seins étaient dodus et blancs, un bonheur pour le regard et le toucher. Je passais mon temps à les photographier tant je les trouvais beaux et excitants. Je me suis mis nu et elle est descendue le long de mon torse pour placer son visage au niveau de mon sexe. Il était déjà bien dur, tendu par la simple perspective de ce qui allait suivre. Pour la première fois, j’allais sentir sa bouche sensuelle, que j’adorais embrasser, sur mon membre bandé. Elle a commencé par prendre doucement ma bite entre ses lèvres, à en éprouver les contours, à tâtonner, puis à faire coulisser sa bouche dessus, lentement. C’était déjà très excitant, mais je lui ai donné quelques indications : « presse un peu plus, passe ta langue sur le gland…» 

Elle me branlait un peu entre deux succions, s’aidant de sa salive pour me stimuler. J’essayais de manifester davantage mon plaisir quand elle me faisait du bien pour la guider. Je lui suggérais d’accélérer un peu, d’avaler mon sexe un peu plus profondément. Elle s’exécutait avec docilité et relevait parfois la tête : « Comme ça ? Ça t’excite ? » Et je lui répondais affirmativement bien sûr… La situation en elle-même était presque plus excitante que ses gestes. Sa dévotion et son désir de me satisfaire étaient extrêmement sexy.

Elle prenait de l’assurance et me suçait avec un peu plus de fermeté, en salivant abondamment sur ma tige et en pressant un peu plus avec ses lèvres, puis en donnant des petits coups de langue sur le frein avant de m’avaler plus franchement au fond de sa gorge. Le sang affluait en tous sens dans mon sexe et je sentais mes veines palpiter. La vue de son visage concentré sur ce qu’elle faisait, de ses sourcils un peu plissés et de sa bouche déformée par la pipe, était un spectacle proprement bandant. « Tu fais ça trop bien… », je l’encourageais. Mise en confiance par mes commentaires, elle me suçait de plus en plus ardemment et me faisait gémir à mesure qu’elle engouffrait mon membre entre sa langue et son palais. Ma jeune élève était parfaite dans son esprit d’apprentissage et de volonté de me plaire. Elle m’avoua qu’elle ne suçait que les hommes qui lui plaisaient vraiment, ce qui, à ce moment précis, flattait encore plus mon égo. Je caressais ses cheveux et posais parfois ma main sur sa tête, geste qui aurait bien pu me faire lâcher prise.

Mais il ne fallait pas que je m’emballe car j’avais envie d’une autre vue.

Je l’ai guidée pour qu’elle s’allonge sur le lit et je me suis introduit dans sa bouche au-dessus d’elle. Ainsi, je voyais ses gros seins pendant que je glissais ma queue entre ses lèvres. Ceux-ci étaient frémissants et très bandants, et mon sexe entrait délicieusement dans sa bouche ouverte. Je pouvais l’y manier à ma guise tout en regardant son joli visage pénétré de mon chibre. Mon ventre velu et ma peau plus sombre ressortaient à côté de son buste diaphane.

C’était tellement excitant que nous avons ensuite baisé comme des furies, elle à quatre pattes sur le lit à s’accrocher aux draps et moi à ses hanches pour mieux m’empaler dans sa petite chatte humide et la malmener jusqu’à la faire crier. 

Une si bonne élève méritait d’être récompensée. Je me suis à mon tour occupé d’elle en me faisant guider par ses indications pendant que je lui faisais un cunni, jusqu’à la faire jouir et sentir sa chatte frémir sous ma langue au moment de son orgasme. Cette séance d’apprentissage mutuel augure de belles nuits à venir…

(Image à la une : Getty Images)

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« Marie a pris les choses en main, elle a descendu mon pantalon et mon slip pour me tailler une pipe exceptionnelle, et sa copine a suivi le mouvement. J’étais tellement excité, je me faisais sucer par une reine de la turlutte ! » Thomas