Liberté, sexualité, volupté !

La rédaction 12 septembre 2024

Marianne, 27 ans de PACA profite d’un rendez-vous d’affaire pour se faire plaisir. Elle se fait prendre par Jordan après lui avoir fait une fellation.

Si je le pouvais, c’est ce que je noterais sur le fronton de la mairie pour laquelle je travaille ! Avec mon prénom, beaucoup me comparent à notre symbole national. Il faut dire que je suis en première ligne, je suis urbaniste et, à ce titre, je dois me rendre très souvent sur le terrain, aller à la rencontre des administrés. Tous pourraient en témoigner ici, je suis très consciencieuse et, lorsque je peux lier l’utile à l’agréable, je ne m’en prive pas. C’est donc au travail que cette histoire de sexe a commencé.

Inspection fellation

Ce matin-là, j’avais rendez-vous avec Jordan G., afin de confirmer que sa maison était, ou non, dans une zone touchée par la sécheresse. Il me fallait évaluer les fissures structurelles apparues sur certains murs et je peux garantir que Jordan a bien sondé la mienne aussi, de fissure ! Après avoir inspecté les murs extérieurs, je suis entrée dans la maison afin de poursuivre mon examen. La déco me plaisait beaucoup et le propriétaire également, je me suis accroupie pour vérifier un bas de mur, ma mini-jupe s’est relevée, laissant émerger la cime de mes bas noirs. Jordan avait l’air plus qu’intéressé, alors je me suis tournée, toujours à croupeton, afin d’exposer mon entrejambe. Oh ! Quelle étourdie, j’avais encore oublié de mettre une culotte !

J’ai porté les mains sur sa braguette et j’ai sorti de son slip un gros concombre mou tout en abaissant une bretelle de mon top afin de libérer un de mes sublimes nichons. Je m’en vante parce que tous les hommes me complimentent sur la beauté de ma poitrine ! J’ai proposé à mon providentiel amant de nous prendre en photo, cela ferait monter l’excitation en flèche. Il a attrapé son cellulaire et a commencé le shooting alors que je le recevais en bouche. Sa queue n’a pas été longue à gagner en volume, elle n’a pas tardé à afficher une superbe érection, la bite que je branlais et que je pompais était devenue massive, large avec un renflement au milieu et le gland dispensait sur ma langue une liqueur suave et légèrement saline. Je fixais l’objectif comme une belle petite salope, cela me porte aux nues de poser et de jouer les modèles ainsi. Une fois bien dur, j’ai abandonné quelques instants la belle pine pour aller prendre un préservatif dans mon sac à main. Jordan se branlait gentiment, attendant sagement la suite.

Prise par un gros gourdin

Je l’ai rejoint et me suis allongée devant lui, ma petite chatte et mes seins à l’air. Je l’ai vu sucer son pouce pour l’enduire de salive avant de me l’enfoncer lentement dans le con. Il était doué, il tournait son doigt à l’intérieur de ma chatte, en stimulant toutes les parois à tour de rôle tandis qu’il se penchait pour me lécher le clitoris que j’ai bien caché sous un long capuchon, mais il a su le trouver et l’exalter de la plus belle façon qui soit. J’ai eu un orgasme foudroyant, mon vagin s’est gonflé de plaisir, se resserrant sur les phalanges fichées en lui profondément. Mes manifestations de plaisir, très sonores, ont eu l’air de beaucoup plaire à Jordan, son manche avait encore pris du volume et il m’a attirée sur lui. Il n’arrêtait pas de fixer mon petit minou tout lisse, je me suis donc installée à califourchon et l’ai laissé guider sa bite avant de me l’enfoncer au plus profond de ma fente.

J’ai mis mon second sein à l’air et je me suis baissée en prenant appui sur mes mains, le sexe bien ouvert, profitant de ce gros gourdin qui me remplissait et des gémissements que j’arrachais à Jordan à chaque va-et-vient. C’était tellement bon ! Je sentais mes nymphes coulisser autour de son gland, puis sa grosse fraise qui me fouillait, idéalement lubrifiée par ma mouille qui coulait en abondance. J’ai eu un second orgasme, encore plus intense que le premier, mais je voulais qu’il jouisse lui aussi. Je lui ai demandé quel était son péché mignon, ce qui le faisait monter au rideau à tous les coups, sa réponse était un peu attendue, mais me convenait, la levrette bien sûr !

Je me suis donc docilement présentée à lui à quatre pattes, le derrière bien cambré, la raie totalement ouverte sur ma chatte et mon anus frétillant. Il m’a baisée longtemps ainsi, me réclamant des caresses sur ses couilles. Je me suis appliquée à lui peloter les bourses, les malaxant ou les effleurant du bout des doigts. Quand il a lâché mes hanches et s’est retiré de moi, j’ai compris d’instinct où il voulait en venir, ou plutôt où il voulait venir ! J’ai fixé son regard tandis qu’il se branlait au-dessus de mon visage et dès que je l’ai vu commencer à grimacer, j’ai fermé les yeux, ouvert la bouche et tiré la langue. Les jets de foutre qu’il a lâchés m’ont barbouillé le visage, les cheveux et j’ai réussi à en avaler une bonne quantité tout de même ! Un vrai régal !

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