La (presque) première fois de Myrtille

La rédaction 15 juillet 2019

Luc, 47 ans, Chessy.

Bonjour tout le monde ! Voilà une histoire qui m’est arrivée, il y a quelques années déjà. Je me rappelle encore assez distinctement de cet été. C’était la troisième année qu’elle s’installait avec ses parents dans le bungalow qui faisait face au nôtre. Jamais encore je ne m’étais risqué à aller lui parler. Je me contentais de la regarder jouer au badminton avec son père ou manger ses tartines beurrées, au petit matin, en feuilletant des magazines féminins. Parfois, elle apparaissait à la piscine, mais c’était plus rare. Et lorsqu’elle y était, elle ne se baignait jamais. Je crois qu’elle préférait le calme et les siestes.

Un jour, alors que ses parents étaient partis en randonnée (ils avaient pris leur canne et leur guide des forêts), j’ai pris mon courage à deux mains et suis allé frapper à sa porte. Elle m’a accueilli les cheveux en bataille. Je pouvais apercevoir le bas de son ventre entre son débardeur moulant et son minishort. J’ai tout de suite eu une érection incontrôlée. Putain ce qu’elle pouvait être sexy !

« Mmmouiii ? » a-t-elle demandé, encore ensommeillée. « J’ai récupéré un volant de badminton devant mon bungalow. C’est à toi peut-être ? » ai-je répondu du tac au tac en lui présentant ledit volant que j’avais subtilisé à mes parents. « Non, les miens sont fluo » a-t-elle sèchement ajouté en faisant mine de vouloir refermer la porte. Merde, c’est la première fois que j’essayais de draguer une vraie bombe et j’allais me prendre un bon râteau.

« Sinon, tu t’appelles comment ? » ai-je improvisé avant qu’elle ne ferme la porte. La technique était un peu lourdingue, mais elle avait au moins le mérite de relancer la conversation. « Myrtille. » J’ai explosé de rire, nerveusement. Elle était canon, vraiment. Mais quels parents (qui aimaient vraiment leurs enfants) appelaient encore leur fille Myrtille ? En voyant sa tête exaspérée je me suis rapidement excusé et lui ai demandé si elle voulait boire une bière, chez moi. Elle a accepté timidement. Ma gaule, toujours aussi énergique, commençait à devenir douloureuse à force de presser contre mon short.

J’avais une petite copine, Sandra, à la fac, mais nous avions établi une sorte de trêve pendant les deux mois de vacances : chacun vivait ses aventures sexuelles comme il le voulait. J’ai décapsulé deux bières brunes en bombant le torse. Heureusement que mes parents passaient tous leurs après-midi à la piscine et me laissaient seul. J’ai essayé de deviner son âge : elle devait avoir un ou deux ans de plus que moi, à peine. En lui tendant sa bière, elle en a profité pour m’embrasser tendrement dans le cou en me remerciant. Elle ne perdait vraiment pas de temps ! Je lui ai répondu en lui caressant le bras, puis la cuisse… Elle se laissait faire en bavardant de tout et de rien.

Au fur et à mesure, j’ai remonté jusqu’à ses seins. « Je suis encore vierge ! » s’est-elle alors exclamée, comme si j’avais appuyé sur un bouton interdit. « Et, c’est contagieux ? » ai-je répondu pour détendre l’atmosphère. Elle s’est mise à sourire et à faire non de la tête et, pour appuyer son consentement, elle est venue chercher ma queue directement dans mon short. Elle m’a branlé en pressant ma bite un peu trop fort et m’a sucé avec des petits lapements maladroits, mais cela restait très agréable. J’ai essayé d’entrer en elle tout doucement, en lubrifiant bien le bout de ma queue et en lui écartant bien les lèvres, mais rien n’y faisait elle avait le minou beaucoup trop serré.

« On essaiera demain ? » m’a-t-elle demandé tout d’un coup. « Je crois que mes parents sont rentrés… » Elle s’est rhabillée à la hâte et s’est ruée vers son bungalow. Ses parents sont revenus de leur balade une heure après, et elle a quitté le camping le lendemain matin aux aurores.

L’été d’après, elle n’est pas revenue au camping ni le suivant, d’ailleurs. À l’époque j’avais 21 ans et aujourd’hui j’en ai 47. Je n’ai jamais dépucelé Myrtille et j’imagine qu’aujourd’hui, l’affaire est faite depuis longtemps.

(Photo à la une : Getty Images)

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L’échappée belle
« Mon portable s’est mis à vibrer en affichant sur l’écran une grosse bite bien dure en gros plan, encerclée de poils. […] J’ai senti le bas de mon pyjama s’humidifier sous ma couette. J’avais envie de le rejoindre, là, ce soir. J’avais envie de baiser avec lui, pour la première fois. J’étais prête. » Nora.

Dépucelé par ma best friend
« J’avais rencontré une fille en colonie, Clémentine. Nous étions tous les deux animateur. Une fois que les vacances terminées, nous avons gardé contact. Un jour, ses parents se sont absentés pour un week-end, elle en a profité pour me proposer de venir passer la nuit chez elle. J’étais encore puceau et je ne voulais pas me pointer sans aucune expérience. » Aymeric. 

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