Faut s’lécher faire !

La rédaction 15 janvier 2020

Jean-Pierre, 55 ans

infirmière blouse blanche masturbation cunnilingus mouille éjaculation féminine fontaine bisexualité lesbienne doigt dans la chatte

Je m’appelle JP et j’ai 55 ans. Ma femme, c’est Angèle. Elle n’a pas connu d’autre type que moi et, au lit, elle était plutôt coincée. Mais maintenant, elle a trouvé quelqu’un pour la déniaiser, pendant que je mate comme un cochon.

Au printemps, je me suis cassé la figure d’un escabeau et je me suis fait une sale entorse. La tuile, parce que je suis électricien. Heureusement, mon associé a fait tourner la boîte pendant que j’étais coincé à la maison pour un mois. Ma femme est bien brave mais pas douée avec ses doigts (enfin, pas pour me soigner, en tout cas). Donc on a pris Maria, une infirmière à domicile, pour s’occuper du bandage et masser mon bon dieu d’œdème.

Elle m’a vite plu, la petite. Trente ans, soit dix de moins qu’Angèle, et bien fraîche encore. Brune comme ma femme est blonde, cheveux à la garçonne, mais de belles formes de femmes (des seins, des fesses, tout quoi). Tous les deux jours, elle passait. Je lui faisais du gringue et elle rigolait bien, alors un matin, pendant qu’elle me massait, je lui ai pincé le nichon. Elle a éclaté de rire : « Ah ça, Monsieur Jean-Pierre, ça va pas me faire beaucoup d’effet… Moi, c’est les filles, que je préfère. » J’étais sur le cul. Une goudou, la première que je rencontrais en vrai. Tant que j’y étais, j’ai demandé des détails : « Eh alors, ça vous manque pas, un bon coup de queue de temps en temps ? »

Maria a répondu : « Mais non ! On fait plein de choses avec la langue. Des trucs que vous ne connaissez même pas, vous les hommes. » J’étais tout émoustillé, et je n’étais pas le seul. Angèle était entrée dans la chambre discrètement et elle écoutait tout. L’infirmière s’est tournée vers elle : « Ah, Madame est là ! Je suis sûre qu’elle sait de quoi je parle. Il sait vous faire jouir rien qu’avec la bouche, votre bonhomme ? » Angèle a fait non de la tête, alors Maria a continué : « Et je crois que ça ne lui déplairait pas que je vous montre. Belle comme vous êtes, vous méritez qu’on vous fasse plaisir ! » Ça m’a un peu gonflé que ma femme devienne toute rose à cause du compliment. Mais bon, je n’ai rien dit, parce que c’était rigolo, cette affaire.

Maria ne plaisantait pas. Elle a tendu la main vers Angèle et a dit plus doucement : « Venez là, je vais vous montrer ». Et ma coquine qui s’approche, qui se laisse asseoir sur le lit, qui devient carrément rouge quand l’infirmière lui remet une mèche de cheveux derrière l’oreille. Moi, dans mon fauteuil, j’ouvre des quinquets comme des soucoupes. Je n’existe plus, tandis que les deux se regardent dans le blanc des yeux. Angèle gémit doucement quand Maria se penche vers elle. À peine qu’elles s’embrassent que je me mets à bander comme un âne.

Y’a pas que la queue, qui est celle d’un bourriquot, il y a aussi comment je me sens, parce que ma femme se laisse faire et que ça a l’air meilleur qu’avec moi. L’infirmière est déjà au travail : elle ouvre la chemise, embrasse le cou, descend et ses mains remontent le soutif. Elle lui pétrit les mamelles, puis elle les lâche pour enlever sa blouse à elle. Mazette, elle a de vraies pastèques ! À peine le temps de profiter du coup d’œil, c’est son cul qui m’éclate au visage quand elle enlève son pantalon d’un seul coup. Elle porte un string, en plus, et ça lui scie la raie quand elle se repenche sur Angèle. L’autre couine, elle sait qu’elle va se faire bouffer.

L’infirmière se met entre les cuisses de ma femme, un bras tendu pour peloter ses seins, un autre qui lui soulève la robe. Puis les deux mains écartent ses cuisses. Elle souffle sur la motte pour faire frétiller les poils : « Ouh, voilà une jolie chatte ! Je vois que ça mouille déjà… » Et là, elle attrape un filet de mouille avec l’index, qu’elle se met dans la bouche. C’est trop pour mon chibre qui est en train d’éclater dans mon jean. 

Je le sors et je le branle, pauvret, tout boudiné sous la pression. Maria s’en fiche, elle veut la motte de ma femme. Elle met le nez dedans mais s’arrête à quelques centimètres, sort la langue et lèche, lèche, lèche le bouton rose. Angèle se tortille comme un ver en griffant les draps. On dirait une folle, mais l’infirmière a l’air de trouver ça normal. Quand ma femme se met à hurler, je pense qu’elle va jouir, mais au lieu d’accélérer, l’infirmière ralentit. Angèle se calme, mais elle repart de plus belle quand l’autre lui met l’index dans le con. Elle lui caresse l’entrée de la vulve, Angèle gueule, le doigt entre et sort, la langue lèche de plus en plus vite et là… un jet d’eau sort de la foufoune de ma femme, en plein dans la face de l’infirmière ! Je suis tellement choqué que je ne réalise même pas que je gicle aussi. J’en fous partout sur mon pantalon mais je m’en fiche : je suis marié avec une fontaine et je ne le savais même pas ! Maria est toute contente de son effet. Elle s’essuie avec le drap et remonte vers ma femme, qui lui roule un palot tellement elle est contente. C’est Angèle qui la raccompagne à la porte. Quand elle me retrouve dans la chambre, elle me fait : « Elle repassera demain pour être sûre que tout va bien ». Tu parles, qu’elle est revenue ! Mon entorse est guérie depuis un bon moment, mais Maria se pointe encore régulièrement. Maintenant, c’est pour masser ma femme !

(Image à la une : Getty Images)

Si vous aimez cette histoire, vous aimerez aussi…

Un gros barreau pour l’infirmière

« « Montre-moi ce que tu as là-dessous. » Je lui ai sorti mon anaconda. Ni une, ni deux, elle s’est jetée dessus pour me sucer. Elle bavait de partout la cochonne. » Julien

L’infirmière est une grosse cochonne

« Ça fait maintenant presque un mois que je vais chez lui, et nous avons déjà nos petites habitudes. Ça a aussi relancé mes envies avec mon mari, je le branle plus souvent, surtout le matin avant de partir chez Joseph. » Laura

À retrouver sur notre plateforme VOD

Une jeune femme est examinée par une belle gynéco pour une visite de contrôle: ouf ! tout va bien… La gynéco aime vraiment les femmes et l’orgasme est au rendez-vous ! Visite médicale pour le travail ? Bon pour le service, et sa bite aussi ! Et la prostate ? Il faut faire un dépistage… et immédiatement ! Trois histoires médicales pour rester en bonne santé. Ah les femmes médecins en blouse blanche, heureusement qu’elles sont là !


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru