Mais y’a Pacôme !

La rédaction 2 octobre 2020

Maeva, 27 ans, a envie de sexe après le confinement. Son ex vient chercher des affaires chez elle, mais le désir est plus fort que tout…

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Une après-midi de mai, mon ex est revenu chez moi pour chercher des affaires. Dieu merci, nous nous étions séparés juste avant le confinement. Mais du coup, j’avais encore pas mal de vêtements à lui chez moi. Nous n’avions pas vraiment communiqué pendant cette période d’isolement, mais il était certain que malgré notre désamour, le contact avec l’autre nous avait manqué. Pour ma part, j’étais en grand manque d’affection et de sexe, même si je ne voulais pas le lui avouer.

J’avais passé les derniers jours de confinement à me masturber et j’aurais sauté sur n’importe qui. Sachant que mon ex, Pacôme, serait la première personne que je verrais au déconfinement, je m’apprêtais donc à lutter contre la tentation de me ruer sur lui. Je ne voulais pas entretenir d’ambiguïté… Mais bon, quand ça fait plus d’un an que vous baisez ensemble, c’est dur d’anéantir tout désir pour l’autre.

J’étais émue de le revoir après deux mois séparés alors tant pis, je me suis maquillée, j’ai mis un haut de dentelle jaune transparent, j’ai coiffé mes cheveux blonds et mon miroir me renvoyait une image sexy. Je m’auto-excitais presque… Et l’idée de sa présence dans la pièce me faisait mouiller d’avance, malgré tout le ressentiment que j’avais pour lui.

Il a sonné, je lui ai ouvert. Il m’a fixée, a laissé son regard s’attarder sur mon haut, sur son échancrure et sur mes seins, puis il a plongé ses yeux dans les miens. Je l’ai accompagné à la chambre pour qu’il récupère ses habits. Pacôme s’est affairé, accroupi au-dessus de son tiroir de la commode tout en me parlant de son confinement. « J’ai beaucoup pensé à toi, je me suis branlé en pensant à toi, à nous… » Ces simples mots auraient pu me faire gémir.

Je me suis assise sur le lit. Pacôme a senti ma présence derrière lui. Il s’est retourné, à genoux, et a avancé à quatre pattes sur le sol. Lentement, il s’est dirigé entre mes cuisses et a levé le visage pour le glisser sous ma jupe. Je n’y ai opposé aucune résistance et j’ai même écarté les jambes, ramenant mes fesses sur le rebord du lit pendant que lui, accroupi, déposait des baisers sur ma culotte. La chaleur s’y est répandue et mon clitoris a durci contre le tissu tendu contre ma chatte. Il a tiré sa langue et, de sa pointe, a directement touché cette partie si sensible. Il a remué légèrement ce bout de langue et c’est comme si j’étais déjà au bord de l’orgasme. J’ai tâché de me retenir pour faire durer le plaisir…

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Pacôme a baissé ma culotte sur mes chevilles. Il est allé à la rencontre de ma chatte pour la sentir, la goûter et se régaler de son jus qui y perlait déjà. Il a embrassé mes lèvres intimes, et a léché, par petits coups bien placés, mon organe du plaisir. Je ne pouvais plus vraiment faire semblant : jambes grandes écartées, tête renversée en arrière, fente trempée, j’ai plaqué une main sur son crâne pour qu’il continue de me manger. J’ai joui une première fois, de surprise, de plaisir, de toute l’attente de sexe emmagasinée, de sa connaissance de mon corps.

Ensuite, je l’ai fait s’allonger sur le lit et je me suis ruée sur sa queue comme une addict en manque. Sa chair emplissait ma bouche avide, son érection me traversait, laissant présager les délices qui viendraient par la suite, quand il me prendrait comme un fou contre le matelas. Mes seins avaient jailli de mon corset, je les caressais pendant que je suçais cet homme que j’avais aimé et qui continuait de m’attirer. Je gobais ses boules, je m’attardais sur son gland, je l’avalais en gorge profonde, jusqu’à lui arracher des gémissements aigus.

Je ne voulais pas qu’il vienne tout de suite alors je me suis placée à califourchon sur lui. J’ai pris sa queue pour me branler avec. Tant pis pour notre froid, tant pis pour la séparation, je voulais juste le baiser et qu’il me baise ! C’était trop bon de recouvrer cette liberté ! Et mon abstinence n’avait fait qu’augmenter mon appétit sexuel.

Ensuite, j’ai enfoncé son sexe par palier dans ma chatte. D’abord son gland, le haut de sa tige, puis son membre en entier. C’était moi qui dirigeais. Quand son pieu a été au fond de moi, il a gémi encore plus fort et il a pris mes hanches pour me faire aller et venir sur son gros gourdin bien dur. Je l’avais tant fantasmé ! Pacôme me criblait de ses coups de reins. Son bassin bougeait en rythme et mes cuisses claquaient contre lui à chaque fois qu’il s’enfonçait jusqu’aux couilles. Sa bite tapait bien contre ma paroi vaginale et je jouissais de ce contact si rapproché. Nos corps étaient aimantés, mes seins se collaient à sa poitrine ou sur son visage, nos ventres se rencontraient, nos sueurs se mélangeaient et nos mains se mêlaient quand je me redressais pour mieux le chevaucher.

Je me suis dégagée pour qu’il me prenne en levrette car je voulais le sentir comme ça, fort, inondant mon bas-ventre des secousses sismiques du plaisir. Je me suis posée sur le matelas, les fesses en l’air et j’ai senti sa queue dure en moi, ses mains sur mon cul qui m’attrapaient et lui qui me baisait tellement bien… Chacune de ses pénétrations était si intense que je criais, et il renchérissait en me baisant encore plus fort et mon cul et mes cuisses tremblaient de plus belle.

Pacôme était presque couché sur mon dos et me besognait assidûment, ma chatte était irradiée de cette friction délicieuse, et complètement trempée… J’ai joui encore une fois tellement j’étais excitée et lui aussi a joui d’un sperme abondant, épais, en gémissant presque aussi fort que moi. Fourbus, nous nous sommes regardés, complices.

Plus tard, Pacôme a refait mine de réunir ses vêtements, mais je suis revenue le serrer dans mes bras et nous avons rebaisé frénétiquement dans tout l’appartement… Une fois rassasiés, nous nous séparerons pour de bon, mais pour l’heure, j’ai besoin d’être prise autant que possible…

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