Melody en sous-sol…(1)
21 août 2019Léo, 47 ans.
Je suis chef de bureau d’une succursale locale dans une importante entreprise de transport. Nous sommes en forte croissance, nous engageons des petites jeunes pour notre staff administratif, comme récemment, Melody : 21 ans, 1 m 60, dans les 45 kg, une poitrine de rêve, ni trop forte ni trop menue, des fesses rondes qui bombent la jupe. J’ai craqué sur son physique de rêve. Elle a répondu à mes regards. Attentive à mes instructions, elle fournissait un boulot impeccable. Lorsque je m’approchais d’elle, je prenais soin de me pencher au-dessus de son épaule pour voir son travail ou lui donner des explications. Je la touchais au bras, au poignet. Manifestement, elle appréciait. Ses yeux doux en disaient long.
Un matin, je lui ai signalé que nous devions effectuer une recherche aux archives. Elle ne connaissait pas l’endroit, ni le classement. J’y suis donc allé avec elle. Les archives en sous-sol tiennent dans un vaste local, avec des étagères si proches les unes des autres qu’on se croise difficilement entre elles. Au bout, il y a une petite table avec deux chaises pour préparer le dossier à gérer. Nous nous y sommes retrouvés l’après-midi. Évidemment, nous nous sommes croisés dans les rayonnages. J’ai constaté qu’elle ne tentait pas le moins du monde de m’éviter. Bien au contraire, elle cherchait le contact.
À la faveur d’un frôlement entre nos deux corps, face à face, je me suis arrêté et je l’ai regardée fixement. J’ai profité de son trouble pour approcher ma bouche. Elle a hésité mais ne s’est pas écartée. Je lui ai roulé une pelle en la serrant contre moi. Elle a répondu fermement à mon baiser en explorant ma bouche d’une langue décidée. Nous sommes restés ainsi un moment, ses seins écrasés contre ma poitrine. Avec le dossier que j’avais choisi, nous sommes allés vers la table, je l’ai prise dans mes bras avant qu’elle ne s’assoie et je lui ai murmuré à l’oreille : « Retire ta culotte. » Après quelques secondes d’hésitation, elle s’est exécutée, a remonté sa jupe et fait tomber sa culotte à terre. Je lui ai demandé de me la donner, elle s’est penchée et me l’a glissée dans la main. Quelle belle mouille dans le creux du tissu ! J’étais étonné de la facilité avec laquelle elle obéissait. J’ai regardé Melody, j’ai fourré sa culotte dans ma poche et je lui ai ordonné : « Traite ce dossier, tu me le remettras demain matin et dans quelques jours, nous reviendrons ici. »
Une semaine plus tard, je l’ai appelée dans mon bureau et je lui ai donné des instructions pour traiter un dossier d’archives : « Va le préparer, je te rejoins sous peu. » Une demi-heure plus tard, je suis descendu dans le local. Elle était assise à la table, affairée à copier les éléments demandés. Je me suis penché au-dessus d’elle jusqu’à avoir ma joue contre la sienne. Elle a tourné la tête, a cherché ma bouche et nous nous sommes embrassés. Elle m’a glissé à l’oreille : « J’ai retiré ma culotte. » Je l’ai fait mettre debout. J’ai fourré une main entre ses cuisses ouvertes et procédé à une inspection aveugle de sa vulve dilatée, chaude et mouillée. J’ai pincé le clito, passé un doigt dans le trou à pine, puis j’ai enfoncé ce doigt humide dans l’entrée du cul. Je l’ai plié en forme de crochet et je l’ai tourné vigoureusement à l’intérieur. Elle a eu une légère réaction la douleur. Son sphincter était encore vierge. Elle se contorsionnait, appuyée des deux mains sur la table, les yeux fermés, les jambes largement écartées au-dessus de ses hauts talons.
Elle attendait mes ordres, épiait le moindre de mes mouvements indicateurs de mes désirs. Je n’ai rien exprimé, ce qui l’a mise dans un état de demande tacite, silencieuse. En vérité, elle devait ressentir un grand besoin de sexe. Je l’ai simplement informée, comme ça, au creux de l’oreille : « La semaine prochaine, tu viendras avec moi en tournée d’inspection, tu préviendras chez toi que nous rentrerons plus tard. » Ensuite, je suis remonté à mon bureau.
La semaine suivante, j’ai averti Melody que nous allions partir le lendemain en tournée de contrôle. Départ vers 15 heures et retour indéterminé… Elle viendrait avec moi en voiture…
[ndlr: découvrez la suite de cette aventure dans un prochain article.]
(Image à la une : Getty Images)
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Dans le bureau du patron
« Ses mains parcouraient mon corps avec sensualité. Je me suis mise à genoux et j’ai ouvert son pantalon. Dans son slip, j’ai déniché une belle surprise: un membre de bonne taille, pas trop long mais bien épais, exactement comme je les aime. » Alexandra.
Un patron très curieux
« Il a relevé ma jupe, et il a peloté mes seins et mes fesses en me faisant reculer jusqu’à son bureau. Il a fouillé dans ma culotte à la recherche de ma fente qu’il a ouverte d’un doigt. » Alicia.
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Fantasmes de baise hot au parking. Une belle beurette (Jasmine Arabia) se fait choper en voiture. Une avocate vidange son garagiste. Et Angie réalise son rêve: un gang bang en sous-sol.