Mon beau pervers
10 février 2023Je suis en colocation avec un homme plus âgé. Il me mate quand je sors de la douche et me photographie quand je baise avec mon copain.
Je suis en colocation, depuis le début de l’année scolaire, avec un mec un peu pervers sur les bords. C’est un garçon qui va à la même fac que moi et qui avait une chambre en plus dans son appartement. J’ai remarqué qu’il était très “voyeur”, à laisser traîner son regard sur mes cuisses quand je suis en short dans l’appart. Il a 30 ans, moi 22, mais je dois avouer que j’adore ces indiscrétions. Un jour, je lui ai fait une réflexion sur ses yeux baladeurs et il s’est excusé à plate couture. Je lui ai dit qu’en fait, ça me faisait rire et que j’aimais bien qu’il me regarde. Je lui ai juste dit qu’il ne se passerait rien entre nous car j’avais déjà un copain, même si je le trouvais attirant. En revanche, je lui ai laissé entendre que je n’étais pas contre le fait qu’il jette un œil de temps en temps à la porte que je laisserai entrouverte quand je sortirai de ma douche, ou celle de ma chambre quand je m’habillerai, tant qu’il restait plutôt discret. Il a eu l’air ravi de ce nouveau marché passé entre nous. Ça m’a beaucoup excitée de savoir qu’il allait me mater à mon insu… Je voulais sentir ce regard brûlant de désir sur ma peau, même sans contact physique. Dans les jours qui ont suivi, j’ai commencé à laisser la porte entrebâillée à chaque fois que je sortais de la douche ou que je me déshabillais ou m’habillais dans ma chambre. J’ai senti qu’il rodait dans les parages. Parfois, mon regard croisait son œil luisant dans le miroir, où se reflétaient ma poitrine et mes courbes douces dénudées. Ça avait tendance à me donner très envie de baiser, de le surprendre ainsi. Je me suis découvert des penchants exhibe que je ne soupçonnais pas. Une fois, je me suis même masturbée avec force gémissements, tout en sachant qu’il était dans l’appartement et qu’il me regardait par le trou de la serrure. La tension sexuelle était à son comble.
Voyeurisme organisé
Un soir, je lui ai laissé une note sur la table en disant que je serais avec mon mec dans la chambre. J’ai laissé entendre que je laisserais la porte ouverte et que, s’il était très discret, il pourrait nous regarder, voire nous prendre en photo à l’insu de mon copain. C’était un petit stratagème que j’avais imaginé dans mes fantasmes.
Ce soir-là, j’ai accueilli mon mec nue sur mon lit, nymphette lubrique prête à s’offrir à lui, et aux regards concupiscents de mon coloc. J’ai regardé par-dessus l’épaule de mon copain et il était déjà là, tapis dans l’ombre, à guetter avec une lueur de stupre dans les yeux nos ébats qui n’allaient pas manquer de commencer. Mon mec n’a même pas remarqué que la porte était restée ouverte, je lui avais dit que nous étions seuls ce soir-là. Il s’est dirigé vers le lit, effeuillant ses vêtements sur le chemin. Je me suis penchée sur son sexe bandé. Je l’ai mis voluptueusement dans ma bouche et je l’ai dégusté sur toute sa longueur, lentement, avec application. Je faisais en sorte d’être dans l’angle de vue de la porte ouverte et de regarder de temps en temps vers mon coloc. Me sachant regardée, je redoublais de sensualité et de vice.
J’ai sucé mon homme comme un délicieux cornet de glace afin que sa queue soit bien dure et bien lubrifiée. J’avais envie que mon coloc me voie me la prendre bien profond. Je me suis installée à califourchon sur mon partenaire, mais à l’envers, dos à son visage, pour le chevaucher tout en faisant face à notre voyeur. La bite conséquente de mon copain me remplissait le vagin, je n’avais plus qu’à onduler des hanches sur lui, et pendant que je me faisais baiser et que j’en redemandais, je voyais mon coloc nous regarder depuis sa cachette et photographier mon corps, probablement en zoomant sur les choses qui l’excitaient le plus. Puis je me suis retournée pour le chevaucher de face et que mon coloc voie mon cul et ma chatte se faire baiser sous un autre angle.
Pour finir, je me suis fait prendre en levrette sur le lit, levrette vigoureuse qui me laissait exsangue, avec l’adrénaline liée à la situation qui faisait battre mon sang à mes tempes.
Quand mon mec est parti le lendemain, mon coloc m’a montré les photos et j’ai vu qu’il avait fait des gros plans sur toutes les parties de mon corps les plus outrageantes. Je me suis trouvée belle et j’ai aimé le regard qu’il avait posé sur moi et sur ma manière de faire l’amour. C’était beau et sexy, et ça n’a bien sûr fait que semer un peu plus le trouble entre nous…
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