Mon premier trouple

J’ai 63 ans, je suis marié depuis 31 ans avec Claudine et voici mon histoire érotique.

On s’est toujours bien entendus, au lit y compris. Mais j’avoue que j’avais moins envie d’elle depuis la retraite. Elle était toujours belle (une grande blonde avec des beaux lolos, qui ne se néglige pas) mais bon, je passais beaucoup de temps avec les copains, on va dire. Elle ne m’en voulait pas. Je sais depuis un mois qu’elle allait se satisfaire ailleurs.

Cette année, Claudine s’est fait une super copine au travail. Cathy. Elle est aide-soignante à mi-temps et j’étais content pour elle, surtout qu’avec le virus, c’était dur au boulot. Cathy venait souvent à la maison et je l’avais vue plein de fois. Je l’avais trouvée attirante (blonde cendrée, silhouette moins gironde que ma Claudine mais de la classe). J’avais fait une petite remarque sur elle à mon épouse et elle avait rigolé. Vous voyez, Cathy aimait les nanas.

Ça m’avait émoustillé de l’imaginer à l’œuvre. Je n’avais jamais vu deux femmes le faire mais j’ai commencé à regarder des films cochons là-dessus. Je m’imaginais devant la situation et je me branlais dur. Et puis un jour, je suis rentré chez moi après être allé en terrasse. J’avais préféré laisser les copains plus tôt que prévu parce que j’avais assez bu. En arrivant devant la maison, j’ai vu de la lumière dans la chambre. Il était presque minuit et je me suis dit « Tiens, Cloclo est encore debout ? » Tu parles. Elle était couchée. Avec sa « copine » Cathy entre ses jambes. Les deux étaient à poil en train de se gougnotter comme si je n’avais existé ! Ma Claudine s’était chopée les deux mamelles et se les tournait dans tous les sens ! Elle prenait même la pointe pour se la lécher elle-même et elle gémissait fort, tandis que l’autre avait la tête plongée dans ses cuisses et la bouffait en profondeur !

J’étais comme un couillon sur le pas de la porte. Je n’ai même pas pensé au fait que j’étais cocu. J’avais l’impression d’être dans un film cochon et pas dans ma chambre, vous comprenez ? J’ai quand même fini par m’approcher. Cloclo m’a vu et s’est redressée. J’ai levé la main en disant « C’est bon ! Je suis pas fâché ! » La blonde entre ses jambes avait levé la tête et me regardait comme deux ronds de flanc en s’essuyant la bouche. Je me suis approché d’elle et je me suis assis sur le lit, les mains entre les cuisses pour réfléchir. Allez quoi, je n’allais pas faire le pénible ! Je n’arrêtais pas de me branler en matant des lesbiques sur mon téléphone, et là, j’en avais deux dans mon lit ? Je me suis penché vers la « copine » de ma femme et je l’ai embrassée.

On s’est mis à s’emballer comme des jeunes de 20 ans. C’était bien le goût de ma Cloclo dans sa bouche. J’ai tendu la main et j’ai attrapé la poitrine de Cathy, moins belle que celle de ma femme mais très réactive. Hum, les tétons durcissaient sous les pinçons et elle respirait de plus en plus vite. Pendant ce temps, ma femme avait repris ses grosses tétines et les pétrissaient langoureusement. Un regard et elle a amené ses tétons à sa bouche. La garce ne m’avait jamais montré ce tour, digne d’un porno très chaud !

J’ai enlevé mes frusques et je suis revenu à Cathy pour lui mettre des doigts. Elle réagissait au poil. Qu’elle n’avait pas, d’ailleurs ! Une minette épilée qui me plaisait beaucoup… Mais j’ai osé lui faire du bien seulement avec mes mimines. Ouh, comme elle aimait que je la titille puis que j’enfonce deux doigts bien profond… Cloclo commençait à faire la gueule qu’on la laisse toute seule. Alors j’ai pris Cathy par la nuque et tout doucement, je l’ai remise entre les cuisses de ma chérie. Là, voilà, elle reléchait le clito. Elle me jetait quand même des coups d’œil, alors j’ai appuyé un peu plus sur sa tête pour lui montrer que c’était ce que je voulais.

C’était comme si c’était moi qui bouffais la foufoune de ma femme mais par l’intermédiaire de son amie ! Ma queue était en feu et j’ai profité de ma position pour la frotter sur Cathy. D’abord, la cuisse, et puis je me suis mis à cheval au-dessus de son cul, une main toujours sur sa nuque et l’autre en branlette. Oh, comme ça a plu à ma femme ! Elle a ouvert de grands yeux, la langue tirée et elle s’est mise à beugler ! J’étais à fond, la bite tendue sur le cul de l’autre, à laisser des traces de pré-foutre comme un escargot. Elle se tortillait pour moi mais donnait aussi tout avec sa bouche pour faire grimper Claudine. Il a pas fallu trois minutes pour qu’elle y arrive et le pompon, c’est qu’elle s’est fait jouir aussi, en se frottant le clito sur la couette ! J’ai lâché la purée partout sur son derche, histoire quand même de lui montrer qu’on était chez moi.

On s’est trouvés un peu cons juste après, mais Cloclo a demandé à sa « copine » un peu de temps avec son mari. Pas de problème pour Cathy. Une fois seuls, on a parlé dans le pieu conjugal (qui ne l’était plus trop, du coup). Et on s’est endormis dans les bras, comme quand on était jeunes.

Maintenant, il faut qu’on trouve une organisation pour notre « trouple », comme dit ma femme en rigolant. Je suis prêt à la partager et je me suis abonné à interstron.ru pour en apprendre plus sur le triolisme.

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