Oh my gode ceinture
10 novembre 2019Esteban, 43 ans
Si on m’avait dit un jour que je me laisserais prendre le cul par une femme, j’aurais bien rigolé. Pourtant, Marine l’a fait. C’est une quadra genre bourgeoise que j’ai rencontrée sur une application de dating. Quand j’ai vu son profil, j’ai tout de suite accroché. Elle m’a donné envie de l’attraper par le chignon et de lui mettre la pétée de sa vie, pendant qu’elle gueulerait mon prénom. Je suis comme ça, moi. Un vrai mec.
Mais avec Marine, ça ne s’est pas passé comme prévu. On s’est fait deux rancards au restaurant. Elle a insisté pour payer sa part à chaque fois. Après, elle a pris un taxi. Pas pour aller chez moi, pour rentrer chez elle ! J’étais énervé. Excité et frustré, aussi.
Le troisième rancard, c’était à son appartement. Tant mieux. J’allais enfin pouvoir me faire plaisir. Madame avait prévu du champagne. On a pris l’apéritif et descendu plusieurs flûtes. À un moment, sans prévenir, Marine s’est levée et s’est avancée vers moi. « Dézippe ma robe ». Bien sûr, Madame ! J’étais content de déballer enfin le paquet, surtout que dessous, elle portait une liquette en soie noire très sexy et des jarretelles. Elle était vraiment belle quand elle a défait son chignon. Ses yeux brillaient. J’ai compris qu’elle préparait un mauvais coup.
Elle a quitté le salon une minute, puis elle est revenue avec un truc étrange dans la main. Elle a tendu le bras pour que je voie. C’était des lanières et une espèce de chibre en latex noir. Un gode ceinture. La situation la faisait rire. J’avais l’impression qu’elle me prenait pour un con ou pour un coincé. Entre le champagne et Marine super sexy, je ne savais plus où j’habitais. Elle en a profité. Je dois avouer que j’ai adoré. C’est elle qui m’a déshabillé. Elle m’a allongé sur le canapé à plat ventre, avec un coussin sous moi pour surélever mes fesses. Le gode était sur la table, pile en face de moi. Pendant que la bourgeoise embrassait mon cul, j’ai regardé l’engin. Plus les caresses devenaient intenses, plus l’idée qu’elle me prenne avec m’excitait… Je ne m’étais jamais senti comme ça.
Marine m’a fait des trucs de dingue avec sa langue. Je gémissais comme si c’était moi, la femme. à un moment, elle m’a encore laissé seul. Ça n’a duré que quelques secondes, mais j’ai failli me lever et me rhabiller. La quadra est revenue à ce moment-là. Très gentiment, elle s’est assise à califourchon sur mes cuisses. Le gel qu’elle a étalé entre mes fesses était gluant et chauffait de plus en plus. Elle s’est levée et a enfilé le jouet. Mais elle ne l’a pas utilisé tout de suite. Quand elle m’a demandé de me retourner sur le dos, j’ai obéi. Elle a placé le coussin derrière ma tête, s’est allongée sur moi et a commencé à me caresser avec ses doigts. Tout doucement, avec l’index. Puis le majeur aussi. Elle faisait des cercles à l’intérieur. Je gémissais de plus en plus tandis que ses ronds s’élargissaient. Quand elle a commencé à écarter les doigts, j’ai senti que ça s’ouvrait à l’intérieur. Un truc de fou, je n’arrivais pas à croire ce qu’elle était en train de me faire…
Quand elle a retiré ses doigts, je me suis entendu dire : « Continue, s’il te plaît ». Marine a souri, puis elle a repris le lubrifiant qu’elle a tartiné un peu partout sur mon fion et sur le gode. Elle s’est allongée sur moi, comme si c’était elle l’homme. Pendant qu’elle entrait lentement, j’ai senti un truc nouveau, totalement dingue. Elle était douce avec moi et pourtant, j’avais l’impression que ma tête allait exploser. C’était très excitant, elle me regardait dans les yeux et elle avait glissé sa main entre ses cuisses pour stimuler son clito. On gémissait tous les deux, c’était bon, si bon, elle m’enculait à fond, maintenant…
Ça n’est pas ma tête qui a explosé. C’est mon sexe. J’ai senti une décharge partir du fond de mon cul et le sperme est sorti d’un coup. Jamais je n’avais lâché une telle purée. On en a eu partout sur le ventre. Marine s’est retirée tout en douceur et elle est descendue vers la mare de sperme. Elle l’a léchée en me regardant, la main entre les cuisses. Quand elle a fermé les yeux, j’ai compris qu’elle jouissait en silence. On est restés sans parler pendant un long moment. Je n’ai pas encore osé rappeler Marine. Moi, le dominant, j’ai aimé me faire baiser… Peut-être que les lecteurs d’interstron.ru me donneront des conseils pour savoir si je dois recommencer ?
(Image à la une : Getty Images)
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Franck
Excellent !
Superbe récit 🙂