Oui, cheffe !

La rédaction 24 juillet 2025

Julien, 46 ans, ne va pas faire sauter que des nouilles à son cours particulier !

Julien nous raconte son histoire de sexe amateur avec une cheffe très particulière !

Tout a commencé avec une envie simple : apprendre à cuisiner. Pas juste des plats bâclés, non, mais de vraies recettes, des saveurs qui font voyager et qui se partagent.

Alice au pays des délices

Alors j’ai trouvé un site qui proposait des chefs à domicile et c’est ainsi qu’Alice est entrée dans ma vie.

En plus d’être très jolie sur sa photo de profil, dans ses messages, Alice était charmante, pétillante.

Nos échanges ont d’abord été sages, puis un peu plus légers… et très vite, le flirt s’est immiscé entre les lignes que nous nous écrivions.

Alice était une vraie gourmande, dans tous les sens du terme, et j’étais fasciné par son audace.

Elle me plaisait tellement que moi, le grand timide, je me suis surpris à lui proposer de venir chez moi pour un cours.

Elle a accepté et le jour J est arrivé.

Dénudée sous le tablier

Quand j’ai ouvert la porte, j’ai eu un choc. Alice se tenait là, un grand tablier vert noué autour de la taille… et rien en dessous. Mes yeux se sont écarquillés, j’ai jeté un coup d’œil affolé à mon palier.

Et si les voisins la voyaient ?

« Alors, prêt pour un cours très particulier ? » a-t-elle susurré avec un sourire espiègle.

Sans réfléchir, je l’ai attrapée par le bras et l’ai fait rentrer à toute vitesse en claquant la porte derrière elle. Mon soulagement a explosé en un rire nerveux.

Elle a ri aussi, et ce simple moment de complicité a désamorcé mon anxiété. Après tout, pourquoi résister ? Alice était mignonne, audacieuse et elle me voulait.

Je me suis approché d’elle, timidement d’abord, puis avec plus d’assurance. Je l’ai embrassée, en goûtant sa lèvre inférieure comme on déguste un mets délicat.

Ses mains ont effleuré ma chemise, puis elle en a fait sauter les boutons un à un de ses doigts agiles. Elle savait précisément où et comment me toucher, une pratique parfaitement maîtrisée.

Let’s cook

Sous son tablier, j’ai tâté ses hanches et caressé la cambrure parfaite de son dos. Elle m’a entraînée jusqu’au plan de travail de la cuisine et s’est assise dessus avec une sensualité déconcertante.

« Et si on commençait à cuisiner ? », a-t-elle murmuré en ouvrant les cuisses.

J’avais cessé de me poser des questions. Mes mains ont écarté le tablier et j’ai découvert son sexe terriblement appétissant.

Alice m’a demandé d’une voix douce où était la chambre et je l’ai soulevée pour l’amener vers le plaisir.

Nous avons pris tout notre temps, le secret des plats réussis. Elle a sucé longuement mon sexe, en se délectant des gouttes salées qui perlaient de mon bout et de mes soupirs.

Puis j’ai dévoré son con sucré en écoutant chaque murmure et conseils : « Un peu plus comme ci…, un peu moins, comme ça… »

Au bout de quelques minutes, elle n’a plus rien dit, seulement gémi : j’avais semble-t-il acquis le coup de main qui permettait de faire monter la sauce.

Je l’ai laissé tranquille le temps qu’elle reprenne ses esprits et nous nous sommes enlacés. Quand j’ai été assez proche de son oreille, je lui ai murmuré : « Remets ton tablier ».

Sexe dans la cuisine

Je l’ai à nouveau portée dans mes bras jusqu’à la cuisine, là où tout avait commencé, et je l’ai prise sur la table, doucement, sensuellement… Un régal. 

Plus son excitation montait, plus je me lâchais. Au bout de quelques minutes, j’ai pris les mains d’Alice et j’ai tendu ses bras au-dessus de sa tête, en accélérant le rythme.

La table s’est mise à trembler, les pieds se soulevaient à chaque coup de rein, j’entendais mes baloches qui tapaient sur l’entrecuisse juteuse à souhait d’Alice…

À présent, elle criait : « Plus fort, plus vite ! Oui ! » Mais cette fois, je me foutais bien des voisins ! J’ai tout donné et nous avons joui en même temps dans un râle de cocotte-minute.

Quand nous avons repris nos esprits, Alice m’a regardé avec tendresse. Elle avait les yeux brillants et les joues rouges, on la sentait repue.

La jolie blonde a lâché avec un sourire : « Finalement, c’est toi qui m’as donné un cours. » J’ai ri à mon tour. Oui, j’étais un chef, moi aussi.

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