Pâtisseries et porte cochère

La rédaction 9 mars 2020

Thierry, 42 ans

Bonjour à toutes et à tous. Vous aimez la bonne bouffe? Parce que moi, c’est ma passion. Surtout depuis que je sais qu’elle se marie bien avec l’amour. J’ai récemment fêté mes 35 ans, et mes amis m’ont gâté en m’offrant une série de cours chez un grand pâtissier lyonnais. Là-bas, j’ai rencontré une autre apprentie cuisinière, Laura. La trentaine, rouquine et pétillante, elle adorait blaguer. Et puis elle avait le plus joli corps, n et blanc comme une pâte sablée. Nous nous sommes vite pris de sympathie l’un pour l’autre et lors de notre cinquième et dernier cours, nous avons décidé de faire équipe. Quel moment sensuel… Le gâteau du jour était une pièce montée à base de framboises. Pour rire, j’en ai piqué une sur la pointe de mon index et j’ai lancé à ma partenaire : « Tu viens la chercher ? » En riant, elle s’est avancée vers mon doigt comme un petit oiseau et a pris la baie ainsi que le bout de mon doigt entre ses lèvres. Un geste qui a duré quelques secondes de trop pour qu’il soit totalement innocent… La suite du cours a été à l’avenant. En beurrant la plaque de cuisson, nos mains se touchaient. Idem en préparant la pâte : les gestes de Laura me donnaient envie de me transformer moi aussi en mélange farineux, pour qu’elle me pétrisse avec autant d’ardeur. Plusieurs fois, nous nous sommes fait mutuellement goûter nos préparations, léchant la cuillère les yeux dans les yeux. Et si nous pouffions à chaque fois, l’excitation, elle, était bien réelle.

Après démoulage puis mise au frais de nos créations, que nous devions manger tous ensemble le lendemain, il a été temps de se dire au revoir. J’ai salué le chef et les autres participants, puis j’ai demandé à Laura si je pouvais faire un bout de chemin avec elle. Mon cœur battait à tout rompre quand elle m’a dit oui. Nous n’avons pas tenu plus de quelques mètres avant de nous jeter l’un sur l’autre. Les baisers de ma pâtissière étaient parfumés aux fruits rouges et sa peau sentait si bon la fleur d’oranger… Au coin d’une rue, nous nous sommes cachés dans l’encoignure d’une porte cochère. Là, j’ai écarté les pans du trench de Laura, relevé sa jupe et roulé lentement son slip sur ses chevilles. Il était en coton noir et dessus s’étalait une large auréole. Elle mouillait.

Sa petite pêche était surmontée d’un duvet roux. Les grandes lèvres étaient blanches et les petits, roses et charnues, sortaient de part et d’autre. J’ai glissé ma langue entre elles. Quel bonheur de goûter ce sexe moite qui n’attendait que le plaisir ! Laura a fait rouler ses hanches, m’obligeant à m’enfoncer plus loin en elle. Je bandais si dur que j’en avais mal… Au bout de quelques minutes, n’y tenant plus, je suis remonté. J’avais le museau plein de mouille et quand Laura m’a embrassé, ses propres sécrétions se sont écoulées dans sa bouche. J’avais sorti ma queue et, tout en lui roulant des pelles, je cherchais déjà l’entrée de sa grotte. D’un coup de reins, je me suis enfourné en elle plus sûrement qu’un boulanger enfourne sa baguette. Ma rouquine était vraiment chaude comme la braise. Pour mieux me sentir, elle a fini par se retourner face au mur. Je craignais qu’on nous surprenne, moi lui besognant le con par-derrière, elle se cambrant si bien qu’on entendait le claquement de mon corps contre sa chair.En levant les yeux, j’ai perçu un mouvement.

Depuis l’immeuble d’en face, au deuxième étage, on nous observait derrière les rideaux. Surexcité par la situation, j’ai empoigné Laura par les hanches et je lui ai mis tout ce que je pouvais. Elle couinait de plus en plus fort… Là haut, le rideau frémissait et je ne pouvais pas m’empêcher de penser qu’un inconnu se branlait en matant notre coït en pleine rue… Les yeux fixés en direction du mateur, j’ai joui très fort, sentant tout de suite le liquide couler le long des cuisses de mon amante. Nous avons quitté la rue en riant, à bout de souffle. Et avons remis le couvert plusieurs fois depuis. Que voulez-vous : ma pâtissière, j’en suis baba !

(Image à la une : Getty Images)

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