Raie-interstron.ru de famille

La rédaction 6 mars 2020

François, 32 ans

Je vis avec une jeune femme de 32 ans, pas le genre mannequin, surtout dans sa façon de s’habiller; elle fait plutôt garçon. Par contre, elle a une poitrine plus que généreuse qui lui fait un beau décolleté et qui attire forcément les regards des hommes. De plus, elle adore le sexe, particulièrement quand cela sort de l’ordinaire. Elle a le genre « pas froid aux yeux », si vous voyez ce que je veux dire.

Un jour que nous déjeunions avec sa tante, ça ne l’a absolument pas gênée d’expliquer, en plein repas, qu’elle aimait avaler mon sperme à condition qu’elle ait le choix et qu’elle soit prévenue… J’ai vu les yeux de sa tante qui commençaient à briller, et à plus forte raison encore quand sa nièce a ajouté: « C’est comme la sodomie, tu vois? Il peut bien faire ce qu’il veut, mais il attend que je me cambre à fond, il sait ce que ça veut dire. »La tata a voulu la jouer «open», comme s’il s’agissait d’une discussion totalement naturelle : » Mais ça ne fait pas trop mal? » S’est-elle enquise. Alors j’ai pris le relais en expliquant qu’il fallait d’abord qu’elle se laisse mettre un doigt et qu’elle y prendrait certainement goût. Elle a eu un petit sourire crispé. Pour ma part, je ne pensais pas qu’un jour, je conseillerais à tantine de se laisser mettre un doigt dans le cul…

Ma copine est partie à la cuisine, j’en ai profité pour dire à tata que j’avais habitué sa nièce à ne plus porter de culotte, pour qu’elle soit toujours disponible. Quand elle est revenue, sa tante lui a donc demandé, vivement interloquée : « Tu ne portes plus de culotte? _ Oh non! » Discrètement, sous la table, j’ai passé une main sur la cuisse de ma copine, puis j’ai remonté, jusqu’à ce qu’elle écarte les jambes. Je lui ai mis un doigt, puis deux. Elle a eu un grand sourire. J’ai poussé mon avantage jusqu’à mettre un doigt dans son petit trou, par en-dessous. La polissonne qui s’amusait beaucoup de se faire doigter n’a pas pu s’empêcher une petite bravade : « Tiens, tantine, il vient tout juste de me mettre un doigt, par exemple. » La tata a frémi comme si c’était elle qui venait de se faire doigter, puis, comme pour nous excuser de notre folie, elle a argué : « Après tout, c’est vrai que sans culotte, personne ne voit rien, c’est pas compliqué ! »

Moi, pervers comme pas deux, je l’ai mise au défi d’enlever sa culotte aussi. Elle a juste répondu « chiche ! » en rigolant. Puis elle a pris la direction de la chambre pour aller l’enlever à son aise… mais ma coquine ne l’entendait pas de cette oreille : « Tu vas où? Enlève ta culotte ici, devant nous ! » Elle a tendu la main, autoritaire pour rire : « Tu enlèves et tu donnes. » Je me régalais de ce jeu totalement tordu et profondément excitant. La tata se tortillait et essayait de ne pas trop remonter sa jupe, mais elle s’exécutait malgré tout, elle voulait enlever sa culotte sans rien nous montrer. Elle y est enfin parvenue et a jeté la culotte à sa nièce. Laquelle m’a passé le petit bout de tissu sous le regard honteux de sa tante. Nous lui avons fait promettre de ne plus en porter… Et cet après-midi- là aurait été sa première fois en ville sans culotte, pour faire les magasins!

Comme tata aime porter des jupes plutôt courtes, autant dire qu’elle a eu l’occasion de rougir plus qu’à l’accoutumée. Au moindre courant d’air, elle tressaillait. Mais avant cela, nous sommes passés par le dessert, puis le café. Et pour fêter le premier jour sans culotte de sa tante, nous avons même pris un petit digestif. C’est là que j’ai lancé, pas très finement, certes, « comme on dit: un café, une pipe et au lit!» sa tata, qui commençait à nous connaître, s’est écriée : » Vous n’allez tout de même pas faire ça là, comme ça ? » La nièce, toujours très à l’aise: « Oh ben moi, ça ne me gêne pas. » J’ai répondu, du tac au tac, » banco ! Mais d’abord, on va faire un concours de chattes, okay ? On va comparer la tata et la nièce ! »

La tante était frappée de stupeur, totalement stupéfaite par ma proposition déplacée. Elle a immédiatement opposé un « non » catégorique. Sa nièce lui a dit qu’elle n’avait pas le choix, ou alors que ce n’était pas la peine de jouer les femmes libérées. Pour lui montrer l’exemple, ma copine a enlevé sa robe. Elle était déjà cul nu, elle n’a eu qu’à retirer son soutien-gorge et hop: totalement à poil. Sa tante hésitait encore, puis elle a ni par dégrafer sa jupe pour la laisser tomber à ses pieds. Youp là : cul nu elle aussi… Et le rouge lui montait aux joues.

Je leur ai demandé de se tourner et se pencher, les mains sur la table afin de pouvoir comparer leurs culs. Il me suffisait de me mettre entre elles pour caresser leurs deux culs en même temps. La tante a sursauté, la nièce a souri. J’avais une main calée sur chaque vagin. Mon pouce traînait sur la rosette de tata. Elle soufflait vraiment très fort, mais ne disait rien. Elle s’est même laissée enfoncer un doigt dans le cul en poussant un long soupir… Je leur ai demandé de s’asseoir sur le canapé et d’écarter les jambes pour comparer leurs touffes. La nièce pratiquait l’épilation presque intégrale, mais la tante restait nature. Je leur ai dit que j’allais les goûter toutes les deux.

C’est alors que la nièce a fait remarquer que moi j’étais toujours habillé… Elle voulait montrer à sa tante « la bonne queue » qu’elle aimait « se prendre dans tous les trous. » Mon érection était totale et la tata n’en a pas perdu une miette. Ses yeux étaient rivés à mon membre. Je leur ai demandé de me sucer chacune leur tour. Je voulais les départager : » Alors on va voir qui est la meilleure pipeuse ! » Ma copine n’a pas laissé le choix à sa tata: « Allez vas-y, c’est toi qui commence ! » Alors, la tata s’est lancée et… c’était une vraie goulue! Elle avalait ma bite totalement, elle pompait avec un entrain hallucinant. Ma copine a pris le relais en la poussant un peu, limite jalouse…Mais je ne l’ai pas laissée me terminer, pas si vite: je voulais les baiser côte à côte d’abord! La tantine s’est faite prendre en missionnaire, puis sa nièce.

Ensuite, je les ai toutes les deux retournées pour les pénétrer en levrette (quelle vue magnifique). Tout cela sans oublier de leur doigter le cul bien à fond. Tata ouvrait grand la bouche quand elle sentait mon doigt s’insinuer, mais elle se laissait faire et je sentais même son bassin venir plus fort contre ma queue. J’ai annoncé à ma copine : » Je crois que ta tante est prête pour se faire enculer pour de vrai. Allons-y ! » J’ai placé ma tige dans l’axe du petit couloir de tata et elle a écarté ses fesses d’elle-même, à deux mains. Il ne me restait plus qu’à pousser un peu pour que mon gland passe les sphincters, puis le reste a glissé tout seul.

Quand je me suis trouvé bien au fond d’elle, j’ai attendu quelques instants pour la laisser respirer et bafouiller un truc, genre : « Ah c’est bon… » Puis, j’ai commencé mes va-et-vient dans son cul, sous le regard attentif de sa nièce qui scrutait les mouvements de mon chibre dans le derrière de la coquine. Parfois, la tata regardait sa nièce dans le blanc des yeux pendant que je la sodomisais énergiquement. C’était très émouvant. Elle gardait les yeux grands ouverts. Mais quand j’ai enfin joui dans son rectum et que je me suis retiré, il n’y avait pas que les yeux qui étaient grands ouverts !

Comme je le disais précédemment, pendant tout l’après-midi, nous avons fait les magasins. Tantine se promenait cul nu sous sa jupe et n’arrêtait pas de nous dire : « J’ai l’impression que tout le monde voit mon cul! Ça me fait tout drôle comme sensation… « Elle disait aussi : « J’ai l’impression d’avoir encore quelque chose dedans. » Sa nièce lui a juste répondu : « Bienvenue au club des sans-culottes… et ça fait toujours ça quand on découvre la sodomie. »

(Image à la une : Getty Images)

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