Chic et Tchèque

La rédaction 30 avril 2015

Quand Léonore, mannequin vedette venue de Tchéquie pour une marque de lingerie, s’est présentée dans notre studio pour une séance photo, nous avons été éblouis par sa beauté.

Après que mon patron a été appelé pour une urgence, j’ai découvert, seul avec elle, son tempérament volcanique ! Assistant photo, c’est quand même un métier sympa. Tous les jours, je côtoie de superbes jeunes filles, généralement originaires d’Europe de l’Est, qui viennent faire des photos avec mon patron, Teddy, pour les plus grandes marques de lingerie. En plus, dans la plupart des cas, elles sont gentilles et professionnelles. La semaine dernière, j’ai reçu Léonore, mannequin vedette pour la célèbre marque Ritournelle.

Je l’ai tout de suite trouvée très agréable, mais un peu timide et empruntée. Une fille peut être très photogénique et manquer d’assurance. Mais mon patron a l’habitude. Après vingt ans de métier, il sait s’y prendre avec les filles. Il connaît les mots qui rassurent, il les fait rire, il a même appris quelques phrases de tchèque, de hongrois et d’ukrainien pour les mettre en confiance. Avec Léonore, j’ai immédiatement senti que Teddy, le boss, devrait user de tous ses talents de charmeur s’il voulait exploiter toutes les possibilités de cette beauté. Elle m’a tout de suite subjugué par son élégance naturelle. Teddy a bien perçu mon trouble en sa présence. Il a abord voulu prendre quelques clichés de Léonore habillée, afin de la mettre à l’aise et d’effectuer tous les réglages de son appareil. Je la regardais se mouvoir, j’observais sa silhouette longiligne qui improvisait une chorégraphie mille fois répétée.Les attitudes convenues des mannequins m’ont toujours refroidi, mais là, j‘étais fasciné par ses longues jambes musclées, à la peau satinée et parfumée.

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Elle tournoyait sous mes yeux et je respirais l’air qu’elle agitait, ne pensant qu’au moment où elle se trouverait presque nue devant moi. Cette seule idée a suffi à me provoquer une demi-érection. Pourtant, j’en avais vu d’autres ! Le portable de Teddy a sonné. Léonore a profité de cette conversation pour se remaquiller un peu. Moi, en attendant, je la regardais faire ses petites retouches de fond de teint et se remettre du gloss. Teddy, au téléphone, semblait très soucieux.

Il a raccroché, puis m’a expliqué que sa femme avait eu un petit accident de voiture. “Rien de grave, mais elle a quand même été hospitalisée pour des examens de contrôle, m’a-t-il expliqué. Il faut que je passe la voir. J’en ai pour une heure et demie, je pense…” Je connais bien la compagne de Teddy, et cette nouvelle m’a vraiment peiné, mais je me suis tout de suite dit que ce malheur me permettrait de rester tout ce temps avec Léonore ! La séance photo ne pouvait être annulée. 

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Une fois seuls, nous nous sommes regardés, et elle m’a dit avec son fort accent tchèque : “C’est terrible cela, moi désolée…” Je lui ai proposé un café, et, pendant que nous échangions des banalités dans un Français sommaire, je pensais que cet “imprévu” était pour moi inespéré. Je ne devais pas laisser passer cette chance. Cette fille me rendait fou, il fallait tenter quelque chose ! Au pire, je me prendrais un râteau, mais après tout, je ne la reverrais certainement jamais.

Et puis, après tout, les mannequins sont connues pour être assez chaudes et insouciantes… Les Tchèques, de surcroît, ont une réputation : celle de se comporter un peu comme des mecs et de draguer ouvertement les garçons. Oui, en Europe, certains peuples sont beaucoup plus libérés que d’autres ! Pourquoi ne tenterais-je pas ma chance ? Nous avions une heure et demie devant nous. Elle est partie fumer dehors et, lorsqu’elle est revenue, elle a posé son paquet avec son briquet par-dessus, bien en évidence sur l’accoudoir du canapé. En m’approchant, j’ai vu que sur le briquet était écrit : “I want you”. Était-ce un message explicite de sa part ? Comme un collégien, je lui ai montré l’objet et je lui ai lancé en souriant : “Moi aussi !” Elle m’a rendu mon sourire, s’est levée, et m’a embrassé très longuement, langoureusement. Elle me mangeait littéralement la bouche. Ça se passe donc comme ça avec les Tchèques ? Elle m’a glissé tout bas : “Moi désolée, trop directe…” Elle n’avait pas l’air si confus que ça en frottant du plat de sa main la bosse de mon pantalon. J’avais un peu le trac. Je tremblais comme un puceau. Néanmoins, je bandais bien dur. Elle a ouvert les boutons de mon jean, a baissé l’élastique de mon slip et a sorti ma queue lourde et gonflée. Elle s’est accroupie pour m’emboucher. Elle me fixait, droit dans les yeux, et je regrettais presque de ne pas pouvoir photographier son joli minois avec mon dard dans la bouche ! Elle me branlait et me pompait, crachant sur mon gland et émettant des bruits obscènes. La tête en arrière, j’essayais de me concentrer pour contenir mon excitation. Soudain, Léonore s’est levée et, rassemblant le tissu de sa robe sur son ventre pour me dévoiler ses superbes petits seins et sa croupe aux courbes parfaites, elle m’a lancé en roulant les “r” : “Bon, nous avoir pas beaucoup temps.

Maintenant, passer choses sérieuses !” Quel tempérament !

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L’aplomb de cette fille me laissait sans voix. Léonore s’est jetée sur le canapé et a largement écarté les cuisses. J’ai commencé par lui laper la fente avec gourmandise, elle était parfaitement lisse et sentait bon, juste de petits effluves musqués dus à la sueur et à l’excitation. J’ai mordillé doucement ses lèvres gonflées, merveilleusement dessinées, puis je suis remonté jusqu’au clito que j’ai agacé un peu et, traçant autour de lui de petits cercles avec la langue. Elle gémissait : “Ano, ano…” Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire. “Ano”, ça ressemble à “anus”, et ça fait penser à “non”, aussi. C’était troublant en tout cas… Je lui ai demandé de renverser ses jambes en arrière. Elle a compris tout de suite ce que je voulais ! J’ai entrepris son petit trou aussi lisse que sa chatte.

En aplatissant la langue sur le cratère, j’ai remarqué l’extrême sensibilité anale de Léonore. Elle continuait à soupirer : “Ano, ano…” Excité comme j’étais, j’avais bien l’intention d’exploiter toutes les possibilités de son petit trou ! Cette fille savait ce qu’elle voulait. Lorsqu’elle s’est installée à quatre pattes en écartant les fesses et en se cambrant, j’ai bien compris qu’elle ne se contenterait pas d’une langue ou même d’un doigt pour honorer son cul comme il se doit. Après avoir abondamment humecté mon gland de salive, je l’ai introduit sans aucune difficulté dans le rectum de mon modèle. Sa ventouse enserrait ma queue ainsi lubrifiée “à l’arrache”. Elle a continué son énigmatique : “Ano, ano…” À un moment, j’ai eu tellement peur de craquer avant de lui avoir donné du plaisir que je me suis retiré, et j’ai fermé les yeux quelques secondes. J’ai pensé à l’enterrement de ma grand-mère, puis aux prénoms des joueurs de mon équipe de foot préférée (le PSG) : Salvatore, Adrien, Mohamed, Lucas… ! Reprenant mes esprits, j’ai rouvert les yeux et je me suis allongé sur le canapé. Léonore est partie fouiller dans son sac. 

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Je lui ai demandé ce qu’elle cherchait. Elle m’a répondu : “J’ai toujours lubrifiant avec moi, on ne sait jamais !” Incroyable… Mais à ce stade, je ne m’étonnais plus de rien. Elle m’a tendu le petit tube. Je me suis tartiné la tige et j’ai déposé quelques gouttes sur son trou rose qui s’ouvrait.Puis, elle est venue s’asseoir sur moi, me tournant le dos, et se saisissant de mon manche, elle m’a dit d’une voix forte : “Maintenant, moi baiser toi avec mon cul !” Ça ne faisait aucun doute : j’étais tombé sur une nympho ! Cette cochonne s’écartait les fesses en renversant son bassin en avant pour s’empaler au maximum sur mon pieu. Je tentais tant bien que mal de garder mon calme et de me contenir, mais, à un moment, c’en était trop.

Essoufflé, j’ai lâché : “Je n’en peux plus ! Je vais jouir !” Je me suis relevé brusquement. Léonore a compris que la décharge de l’artillerie lourde était imminente, elle m’a empoigné la queue et a planté son regard dans le mien. Comme une actrice porno, elle a recueilli le sperme dans sa bouche, puis l’a laissé couler sur son menton sans me lâcher des yeux. Elle a ensuite récupéré mon plaisir sur ses doigts, et les a sucés. En me rhabillant, j’ai demandé à Léonore si nous pouvions nous revoir. Elle m’a répondu d’un évasif : “Ano…” Que voulait-elle dire ? “Non” ? “Dans un an” ? Quand Teddy est rentré, Léonore était remaquillée. La séance pouvait reprendre. Au soir de cette journée, je me suis renseigné sur le sens du mot “ano” en tchèque. Cela veut simplement dire : “Oui”.


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