
Dans le cucu bite assez
28 août 2025Aujourd’hui Maeva a pour objectif de cuisiner des butternuts. Mais lorsque son amie Tiphanie se joint à elle pour cette séance de cuisine, les deux coquines se disent qu’avec sa forme particulière, la cucurbitacée leur inspire un atelier bien plus jouissif.
Le marché est toujours une source d’inspiration pour les cordons-bleus, qu’elles soient débutantes ou confirmées, et c’est sur l’étal de son primeur que Maeva a trouvé la sienne. Elle a donc acheté quelques cucurbitacées, dont une butternut, s’avouant elle-même que ce choix portait plus sur la silhouette suggestive de la courge que sur le « petit goût de châtaigne fabuleux » que lui a vanté son marchand préféré.
Elle allait se mettre en cuisine lorsqu’on sonna à la porte. N’attendant personne, elle alla tout de même ouvrir et eut la bonne surprise de découvrir que sa visiteuse matinale était Tiphanie, une amie de longue date, plutôt portée sur l’abricot, les bananes et l’oignon … mais pas du tout derrière un fourneau !

L’approche directe de cette dernière lui donna vite raison, tandis qu’elle caressait la peau lisse et dure du légume, la brune incendiaire à la silhouette sylphide se rapprocha tendrement. Son sourire était une invitation aux baisers, sa beauté angélique lui conférait un attrait auquel il était impossible de résister.
C’est finalement à quatre mains que le duo continua d’effleurer ce qui n’était pas sans rappeler un sexe masculin massif, sévèrement burné qui plus est !
Doux, rond, tout en arabesques, frôler cette courge s’avérait bien plus sensuel qu’attendu et Tiphanie eut tôt fait d’élargir le cercle de ses attouchements, car, si aucune réaction épidermique n’était à prévoir chez la butternut, il en était tout autrement de Maeva.
Son top ne fut pas difficile à relever pour mettre à nu sa poitrine, menue et ferme. Elle était très sensible et les tendres tétons, au rose soutenu, ne se firent pas prier pour commencer à bander très fort. Et, puisque le projet « gamelles et bons petits plats » semblait définitivement abandonné,
Maeva cueillit les fruits pleins de Tiphanie à son tour. Plus gros que les siens, les élégants pomelos étaient tout à la fois vigoureux et moelleux sous ses palpations gourmandes et les fines gousses au centre des mamelons se crispaient.
Il était temps, pour nos deux apprenties marmitons, de déluter le plat principal. Les shorts et autres pantalons ne furent qu’une formalité à enlever. Les culottes déjà imbibées de cyprine suivirent. Les fentes étaient glabres et boursouflées d’imposantes volutes du côté de Maeva, alors que Tiphanie présentait à son amie une chatte couronnée d’un long trait de poils très fins et coupés courts surmontant un sillon dont seul le renflement du capuchon clitoridien dépassait.
Honneur à l’invitée, la belle blonde plongea entre les cuisses de la sulfureuse brune.
Cette dernière ouvrit immédiatement les jambes afin de permettre un accès sans limites à son intimité brûlante. En équilibre sur la pointe des pieds, Tiphanie se livrait avec un plaisir non dissimulé.
Elle savait son con odorant et trempé d’excitation, cela n’arrêtait en rien son amie qui, loin de tâter le terrain du bout d’une langue timide, engouffra tout son muscle d’un coup dans cette suave et moelleuse confiserie fondante à souhait. La fraise ne lambina pas à manifester sa satisfaction en émettant un flot encore plus intense d’une liqueur au caractère bien marqué, longue en bouche et aux fragrances rémanentes.

Elle attendit toutefois le moment le plus stratégique, sentant le vagin suffisamment détendu et distendu, pour se saisir de la butternut restée sur la table de la cuisine. Ce gourdin végétal ferait un ersatz de pénis absolument idéal.
Elle cracha sur son extrémité la plus petite et fit coulisser la hampe improvisée le long des nymphes gonflées de Tiphanie. La brune, cuisses relevées sur ses seins, chatte écartelée, frémit au contact de la cucurbitacée, un imperceptible tremblement accompagna la pénétration.
Légère au départ, celle-ci, juste à l’orée de la conque trempée, se fit d’un coup plus profonde et décisive. La queue oblongue s’enfonçait jusqu’à la base de son renflement, telle une bite se fichant jusqu’aux couilles, sous le regard flou d’une Maeva totalement absorbée, subjuguée par les aller-retour toujours plus intenses et arrachant des gémissements allant crescendo à Tiphanie, jusqu’à constater l’advenue de l’inévitable, l’orgasme fabuleux de son amante.
Muscles arqués, yeux révulsés, épiderme envahi par la chair de poule et surtout, cordes vocales libérées, laissant s’envoler une plainte de plaisir fulgurant qu’accompagnèrent de longs spasmes de tous ses sphincters, de sa chatte à son petit trou étoilé.
L’anus était l’épicentre d’un séisme que rien ne semblait pouvoir stopper, il était évident qu’il allait falloir investir cette cavité, elle aussi, pour venir à bout d’un appétit de béatitude insatiable. Et la naïade aux cheveux foncés fit apparaître, comme par magie et très malicieusement, un superbe plug anal bleu turquoise, pointu et d’une douceur toute siliconée.

Les pouces manucurés de rouge carmin de Maeva n’eurent plus qu’à varier les manipulations afin de faire aller et venir le jouet dans le trou du cul toujours plus coopératif.
Cette fois-ci à quatre pattes, les paupières fermées, Tiphanie se laissa, une fois encore, glisser vers l’extase. La sodomie était parfaite, son orifice, lubrifié à souhait, se laissait investir de plus en plus profondément, de plus en plus rapidement.
Elle encouragea sa compagne de jeu, lui intimant d’y aller à fond, de la baiser, de l’enculer, se traitant elle-même de petite salope, de méchante fille adorant se faire enculer … pour finir dans un râle extatique, libérant tout son corps, jusqu’à son méat qui lâcha de puissants jets de cyprine.
Tiphanie était épuisée, les muscles endoloris, une brume épaisse ankylosait son esprit, elle trouva néanmoins les ressources nécessaires pour inverser les rôles.
À Maeva la chaise et la docilité. À son tour, elle allait goûter aux délices épicés de ces saphiques caresses, saphiques, mais pénétrantes.
Elle se fit un devoir de rendre à son amante le moindre de ses effleurements, la plus petite de ses sensuelles attentions.
D’abord les jeux de langues, arabesques diaboliques frôlant le clitoris sans jamais le toucher réellement, puis la valse des doigts, deux par devant, deux par derrière.
Ah … madame est un sodomite émérite, elle va voir le bonheur que l’on ressent à se faire enculer par des phalanges expertes ! Dilatant les deux orifices de la blonde aux formes canon, elle prépara doucement le terrain à l’introduction de leur substitut de sexe masculin.

Et pour son trou du cul ? Point besoin de précautions liminaires, la cucurbitacée y trouverait aisément sa place.
Un trait d’huile d’olive pour lubrifier le passage, la recette était simple, efficace.
L’imposante queue jaune pâle se posa avec application sur la rondelle réticente, une claque sur le cul, une seconde, le sphincter se fit d’un coup plus docile, l’olisbos disparu aussi facilement que dans la fente « naturelle » !
Maeva cria son orgasme avant que les deux femmes ne s’écroulent dans les bras l’une de l’autre.




















