Enterrement de vie de garçon

La rédaction 1 octobre 2020

C’est dans un salon de massage que les témoins de Rick lui ont donné rendez-vous pour fêter son enterrement de vie garçon. Et si l’instant le marquera à vie, ce n’est pas seulement pour les talents de Popea en réflexologie plantaire… mais plutôt pour ses bottes secrètes pour faire fondre les hommes !

C’était la surprise totale pour mon enterrement de vie de garçon. Deux de mes témoins m’avaient donné rendez-vous devant un salon de massage asiatique et remis une caméra pour que je filme mon “cadeau surprise”.

Très intrigué, je me suis rendu sur le lieu… avec une pointe d’appréhension. Avec les deux loustics, je devais me préparer au meilleur comme au pire. Sur le chemin, ils m’ont rassuré en me disant que tout se passerait bien… et que j’allais conserver un souvenir mémorable de ce dernier jour de célibataire. Je n’ai rien contre un bon massage de temps en temps – mais je ne voyais pas comment cela allait marquer mon esprit.

À l’entrée, j’ai été accueilli par Popea, une magnifique Asiatique qui m’a demandé de dénuder mon torse. J’ai posé la caméra sur une table et je me suis donc mis face à elle, docile. Ses doigts de fée parcouraient mon corps de long en large, en dessinaient tous les contours. Elle dénouait les nœuds, détendait mes muscles, malaxait ma peau… c’était à la fois tonique, mais terriblement relaxant.

Voire un peu trop. Je sentais qu’une petite érection commençait à se dessiner dans mon froc.

Popea m’a tout de suite annoncé la couleur « maintenant, le massage va passer sur quelque chose de plus… chaud ! » Je m’attendais à un massage en “body-body” mais pas du tout. Ma belle Asiatique m’a demandé de retirer mon pantalon. Elle m’a tendu une serviette rouge mais impossible de masquer mon excitation dévoilée à l’air libre.

Elle s’en est amusée, en remontant du bout des doigts ses beaux ongles sur le haut de ma cuisse.

La suite des opérations allait être torride, en tout cas, ma belle masseuse avait un comportement plein de promesses. Elle m’a fait me coucher sur le ventre, sur sa table de massage, pour que je puisse reposer mes muscles. Là, j’ai senti que le placement de ses doigts sortait du cadre purement “professionnel”. Elle tripotait surtout le bas de mon dos, mes hanches, la courbure de mes fesses. Je bandais comme un fou, mais heureusement, elle ne pouvait pas le voir.

En virevoltant autour de moi, je me suis aperçu qu’elle ne portait pas de culotte. J’essayais alors de tourner discrètement la tête pour observer comme je pouvais les petits recoins sombres entre ses deux cuisses. Elle continuait à frictionner mon corps, ne se doutant pas de la tempête d’émotions qu’elle provoquait en moi. Et dire que j’allais me marier !

J’avais un peu honte de ressentir autant d’excitation, surtout vis-à-vis d’une totale inconnue. Elle me demandait régulièrement si tout allait bien, attentive à mes réactions, à mon bien-être. Bien sûr, tout se passait bien, au-delà de mes espérances, mais je me contentais de lui répondre par des petits « oui » laconiques et par quelques compliments sur sa technique de massage et son magnifique sourire.

Je me faisais tout petit, je ne savais pas encore à quelle sauce, que j’espérais épicée, j’allais être mangé.

C’est alors que Popea m’a annoncé la suite des événements, comme s’il s’agissait d’un ordre : « et maintenant, sur le dos. » Le dos ? Mais elle allait tout voir ? Impossible de lui masquer quoi que ce soit dans cette position. Mon érection lui a déclenché un petit rire et elle a baissé la tête près de mon entrejambe. Elle a craché un long jet de salive sur ma bite, puis, très peu farouche, m’a englouti directement. Qu’est-ce que c’était bon ! Popea était donc manifestement aussi douée avec sa bouche qu’avec ses doigts.

Elle bavait à outrance, gobait mes couilles, me rattrapait en gorge profonde. Jamais ma fiancée ne m’avait fait une gâterie si spectaculaire.

Mes potes avaient raison, j’aurai peut-être dû me marier avec une Asiatique. Elles connaissent tous les secrets des hommes, impossible de leur résister. Et pour un mariage qui dure longtemps, le sexe n’est-il pas un des éléments les plus essentiels ? Ma Popea avait décidément tout compris à la psychologie masculine. Une fois que j’ai été bien “prêt, elle s’est mise à se déshabiller lascivement devant moi.

J’ai alors découvert un corps absolument parfait, certainement travaillé durant de longues heures de sport. Ses seins étaient ronds comme des fruits bien juteux, sa cambrure était digne d’une déesse, ses fesses rebondies appelaient à la luxure. « Alors ? On passe au body-body ? » m’a demandé mon adorable nymphette.

Vu la fellation mémorable que je venais de recevoir, je ne pouvais pas refuser ce petit plaisir. Popea a glissé ses seins contre mon torse, descendant doucement, pour me prendre en branlette espagnole.

Son regard, plongé dans le mien, me montrait à quel point elle aimait ce qu’elle était en train de faire.

Ma bite glissait avec élégance entre ses deux adorables pommes, ce qui lui procurait, à l’évidence, beaucoup de bien à elle aussi.

J’admirais son lâcher-prise, son expertise et son côté mutin. Combien de femmes sont prêtes à se livrer de telle façon à des inconnus ? Tout en continuant à me faire coulisser à un rythme dément, elle caressait d’une main distraite ma paire de couilles. C’était si bon de se laisser faire ! C’était si doux d’être dans la position de celui qui reçoit. Mais… de courte durée ! « Aller ! À toi maintenant de t’occuper de moi. » Popea est montée sur mon visage en me collant son adorable chatte bien épilée sous le nez. Je n’osais pas la toucher, je ne savais pas si j’avais le droit ou non, ce qui était possible de faire durant ce massage offert par mes amis. Voyant que je restais immobile, elle a pris mes mains et me les a collées d’autorité sur ses fesses.

Quel rebondi ! Quelle douceur ! Je n’ai pu m’empêcher de lui donner quelques petites claques sur le cul. Sa peau a rougi très rapidement pour reprendre en quelques secondes, sa couleur caramel. Elle s’est ensuite assise sur mon visage et les liqueurs qui s’échappaient de son coquillage sont venues dégouliner sur ma bouche. C’est bien mieux qu’une huile de massage ! J’ai commencé à donner quelques coups de langue, à droite, à gauche. Elle s’est mise à pousser des petits cris, à me montrer à sa façon qu’elle aimait ma prise d’initiative. Alors, j’y suis allé franco !

J’ai collé entièrement ma bouche sur sa moule et je l’ai aspirée, léchée, titillée. Je voulais la dévorer intégralement. Un joli piercing ornait son clitoris et j’avais trouvé comment jouer un peu avec, à l’aide de la pointe de ma langue.

C’est la première fois que je baisais une nana tatouée et percée ! Et c’était un vrai kiff.

Je laissais maintenant mes mains se promener au gré de leurs envies sur le corps de cette superbe femme exotique, toujours la bouche rivée sur sa chatte, pour ne pas en perdre une goutte.

Elle a alors recommencé à s’occuper de ma bite. Elle me branlait avec dextérité et avec un rythme constant. Pas question que je débande ! J’espérais qu’elle avait des idées derrière la tête, autres que le simple (mais si délicieux) frottement de nos deux corps l’un contre l’autre.

Mon adorable brunette avait l’air de prendre son pied et manifestement, il allait falloir que je patiente encore un peu avant de sentir ma queue dans son intimité. Elle a basculé son torse sur ma bite et a recommencé à la branler avec ses seins, en alternant quelques coups de langues et mouvements de poignet. Je commençais à perdre pied. Penchée, elle m’offrait une vue encore plus explicite sur sa vulve et son petit trou du cul. Je sentais monter en moi l’envie irrépressible de la pénétrer. À défaut de ma queue, j’ai utilisé ma langue bien tendue et l’ai enfoncée dans son vagin. Sa petite chatte était serrée et tonique. Et il faut bien l’avouer, elle promettait mille douceurs et un accueil des plus bandant.

J’ai essayé de m’évader de son vagin tentateur.

Ma langue a osé remonter doucement vers son petit trou du cul. Je sentais les plis et les petits poils se frotter à mes papilles. Je continuais mon ascension, tel un aventurier de l’extrême. Popea m’encourageait en poussant des soupirs très appuyés. Cette femme n’avait donc aucun tabou ni aucune limite ! Cela m’excitait tout autant que cela m’effrayait. Comment cette séance de massage torride allait-elle finir ? Enfin elle m’a proposé le graal : « Tu veux venir en moi ? J’ai très envie de voir ce que tu donnes au travail… » Alors elle s’est allongée sur sa table, comme si c’était elle qui allait se faire masser.

Elle a écarté en grand ses superbes cuisses et a planté son regard dans le mien. Son message était plus qu’explicite : « Viens me prendre, là, tout de suite, maintenant. » J’ai positionné ma bite à la pointe de son triangle de poils.

Et puis, très doucement, je me suis enfoncé en elle. Elle m’engloutissait en faisant des petits bruits adorables. Enfin, elle a absorbé mes presque vingt centimètres de chair en érection.

Sans tabou, elle se caressait le clito en même temps.

Si ça amplifiait visiblement son plaisir, ça décuplait le mien. Et j’ai commencé à bouger en elle. C’était tellement bon, tellement serré, tellement différent du corps de ma fiancée que je connaissais depuis si longtemps. Vraiment, je ne suis pas du genre à tromper ma copine sur un coup de tête, mais il faut avouer qu’aucun homme correctement constitué n’aurait pu résister aux charmes de Popea. Elle me regardait avec ses petits yeux innocents et peu à peu, je me suis mis à la pilonner comme un fou. À cet instant, j’ai su que j’étais perdu.

Qu’elle m’avait hypnotisé telle une sirène embarque un matelot dans les profondeurs de l’océan. Et je me perdais alors, au bord de l’asphyxie, dans le vagin serré et étroit de ma déesse. Elle se caressait les seins de ses mains huilées. Le spectacle était fascinant. On aurait presque cru à un tableau d’un grand peintre. Par un jeu de jambes élégant, elle s’est retournée sur le côté afin que je puisse la prendre un peu plus en profondeur. Épuisé, au bord de l’orgasme, j’ai marqué quelques instants de repos.

Si j’y allais à fond, comme c’était le cas depuis le début de nos ébats, j’allais partir trop vite. Or je voulais profiter. Il fallait que je prenne mon temps, que je savoure mon cadeau de futur marié et que je jouisse au mieux de ces derniers instants de liberté sexuelle qui me seront confisqués après le mariage. J’ai pris une longue inspiration, je me suis massé les épaules, j’ai touché ma bite – elle était brûlante.

Allait-elle tenir le temps nécessaire pour faire jouir Popea ? Allait-elle prendre son pied aussi fort que moi ? Lui donner du plaisir, beaucoup de plaisir, plus qu’aucun homme ne lui en avait donné avant – ça y’est, c’était devenu mon unique objectif. J’ai alors tendrement rentré ma tige à l’intérieur de ses entrailles. J’ai vu à son visage qu’elle était ravie que je revienne à la charge, soulagée même que je ne la fasse pas attendre plus longuement. Et j’ai recommencé mes grands coups de reins.

Je la tenais fermement par les cheveux, je sais que cette zone peut être très érogène chez certaines femmes. Et en particulier chez celles qui apprécient la baise de qualité, ce qui me semblait être le cas de ma Popea.

Elle écartait comme elle pouvait la peau du haut de ses cuisses pour que je m’enfonce le plus loin possible. J’avais reçu le message cinq sur cinq.

C’était une adepte de la pénétration profonde ? Elle allait en avoir pour son grade. J’ai poussé ma bite au fin fond de ses profondeurs, d’un grand coup de hanche.

J’ai senti mes couilles taper bien fort sur la peau lisse de ses fesses, sous le choc. « Tac-tac-tac ». On aurait dit un orchestre de percussions, tellement les vibrations résonnaient en elle et en moi. Je lui ai arraché au passage un hurlement de plaisir. C’était là.

C’était comme ça qu’il fallait procéder pour la faire décoller. La pilonner fortement, profondément, et sans relâche. Alors j’ai continué, mais la position m’empêchait d’aller aussi loin que je voulais. Je l’ai alors mise debout, contre le mur, et je l’ai cambrée d’une main ferme. Sa vulve était maintenant bien disposée à recevoir les assauts de ma bite. Je me suis à nouveau enfoncé en elle. Ça y’était, tout entrait et tout ressortait simplement. Ma belle hurlait de plus belle.

Sa tête basculait en arrière. Ses yeux se sont fermés, comme si son âme avait été aspirée ailleurs. Ses muscles s’affolaient. Tremblaient. Elle tenait à peine debout. Et puis, d’un coup, il y a le choc. La déflagration. Son corps s’est tout d’un coup relâché sur ma bite. Elle venait de jouir. C’était impossible autrement. Je sentais les spasmes de son vagin comprimer ma bite avec beaucoup de pression. Elle m’a ensuite regardé, de ses yeux incroyables, et elle m’a souri, reconnaissante. J’avais réussi ! Je me suis alors retiré, fier de moi et je l’ai prise dans mes bras, tendrement. Elle tremblait encore comme une feuille.

J’avais pris un coup de chaud, moi aussi. Le corps en sueur, je me suis étendu sur la planche et la serviette blanche. J’ai pris la caméra et j’ai filmé ma belle masseuse qui reprenait ses esprits. Mais manifestement elle n’en avait pas encore terminé avec moi. Elle regardait ma queue, raide comme un bout de bois, avec des yeux de cochonne, ce qui suffisait à la faire tressaillir.

« Tu n’as pas eu ta surprise de fin de massage ! » m’a-t-elle dit avec une petite moue déçue. Elle m’a alors enjambé avec une souplesse déconcertante et est venue planter sa chatte trempée sur ma bite frémissante. Mmmmh qu’est-ce que c’était bon.

La caméra au poing, j’ai alors filmé ma belle en train de se donner du plaisir sur ma queue. Je suivais ses mouvements de montée et descente sur ma tige. Elle se débrouillait comme une pro, tout en regardant ma caméra comme une actrice de cul. Avec une telle aisance, je me suis même demandé si elle l’avait déjà été ? Cela ne m’aurait pas étonné.

Elle en était maintenant à écarter ses petites lèvres pour faire briller l’éclat de ses diamants clitoridiens face à ma caméra. Son sourire était sincère. Ses bruits, parfaits. Et ses ongles manucurés encadraient avec perfection l’ouverture de tous les péchés. Je me suis dit que ça me ferait de supers souvenirs une fois le mariage passé. J’espère que je trouverai une bonne cachette pour la cassette : pas question que ma fiancée ne tombe dessus par inadvertance !

J’ai laissé tomber la caméra, pris de remords soudain, et je lui ai demandé de se mettre dans l’autre sens, dos à moi.

Elle s’est alors tenue fermement à mes épaules musclées et a recommencé ses petits mouvements. Ses jambes fuselées tenaient parfaitement la position qui pourtant était périlleuse. Peut-être qu’au-delà de son supposé métier d’actrice porno, avait-elle également été gymnaste ? Cette femme combinait décidément tous les talents.

J’entendais ses seins lourds rebondir sur la peau de son buste. Et moi, de mes bras presque tendus à leur maximum, je retenais la chute du dos de ma belle. J’observais avec délice sa cyprine couler le long de ma queue et se répandre sur le haut de mon pubis. Il y avait tellement de fluides entre nous que j’avais peur qu’elle glisse. Je l’ai fait descendre de la table. Et à nouveau, j’ai serré son petit corps tout chaud dans mes bras. Ma teub était toujours raide et je n’avais toujours pas joui. Culpabilité… Sensations trop fortes… Je l’ai finalement allongée sur la table et j’ai commencé à masturber ma grosse queue bien fort.

Elle me fixait avec ses yeux de femme fatale. Si mignons et pourtant remplis d’une perversité non feinte. Je profitais de ce corps offert. J’explorais tous ses orifices : sa chatte, son cul… mais aussi toutes ses courbes. Ses seins frissonnaient sous mes doigts et je les tripotais comme un fou. Enfin, j’ai fini par lui gicler sur la vulve et sur son adorable petit piercing.

Elle a éclaté de rire et est restée bien offerte le temps que je me termine. Quel enterrement de vie de garçon !

Quel homme a déjà connu ça ? Elle est venue se blottir dans mes bras et je l’ai embrassée avec fougue. Je me suis promis que c’était la dernière fois que je m’accordais une incartade. Je me suis rhabillé, lentement, et je suis parti, un peu ému, de ce salon de massage.

J’ai retrouvé mes potes dans le petit bar dans lequel ils étaient attablés. Ils se sont tus dès que je suis entré « Inutile de parler, on veut voir la vidéo » m’ont réclamé en chœur les deux loustics. Je savais que l’expérience aurait un prix et j’ai appuyé sur “play”. Le visage de Popea est réapparu, radieux. Et une vague d’émotion m’a envahi.

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