Histoire d’eau
25 octobre 2015Noémie est la jeune et heureuse propriétaire d’une jolie maison avec jardin, qui a passé plusieurs mois en travaux. Ces derniers terminés, elle organise une fête où elle fait la connaissance de ses nouveaux voisins, notamment de Lina, une jolie brunette qui occupe la maison mitoyenne. Les deux jeunes femmes vont se lier d’amitié, mais pas que…
Les ouvriers venaient de quitter définitivement ma nouvelle maison. Tout était terminé, intérieur, extérieurs, même le jacuzzi fonctionnait. J’avais attendu des mois, et c’était enfin le bonheur ! En plus, il faisait un temps magnifique.
J’avais invité pour la journée quelques amis et mes nouveaux voisins, et on avait sabré le champagne. Vers 18 heures, il ne restait plus que Lina, ma voisine la plus proche, une jeune femme de mon âge, brune et souriante. J’avais très envie de plonger dans les bulles d’eau après celles de champagne et j’ai proposé à Lina d’inaugurer mon jacuzzi. Elle a accepté avec joie et a fait un saut chez elle pour réapparaître cinq minutes plus tard en maillot de bain. Je l’ai trouvé magnifique
Elle a repris sa flûte de champ’ et l’a levée à ma nouvelle maison, à mon nouveau bonheur !
Elle a posé sa main sur mon épaule et un frisson m’a parcourue. La chaleur de sa paume sur ma peau a éveillé en moi une furieuse envie de sexe, et mon minou déjà moite s’est crispé sur une cruelle absence de stimulation.
J’ai attiré ma charmante voisine à moi et j’ai enrobé ses seins de mes mains. Ou je me prenais une baffe, ou on se prenait un grand pied… Elle a détourné la tête, l’air gêné, mais a posé ses mains sur mes cuisses. Elle a murmuré : “Je ne l’ai jamais fait avec une fille.” Je lui ai souri en répondant tout doucement : “Je veux bien être ta première fois…”Des pensées lubriques traversaient mon esprit alors que je l’attirais dans le jacuzzi, impatiente de découvrir ses seins, sa chatte, l’odeur de son cul, le goût de sa mouille… Préférait-elle qu’on lui caresse le clito, qu’on la fourre ? Les deux ? Ou l’anus ? Allait-elle crier ? Était-elle cochonne et perverse comme moi, ou prude et réservée ?
Un monde de surprises s’ouvrait sous mes mains à mesure que je jouais avec son maillot de bain pour libérer peu à peu des centimètres carrés de sa peau dorée. Ses seins sont apparus, la pointe fière et appétissante, prête à être sucée, mordillée. Si le reste de son intimité était à l’avenant, je ne risquais pas de m’ennuyer si j’initiais cette exquise pucelle des filles ! J’adore mener la danse, jouer à la maîtresse. Et ma petite élève avait vraiment tout pour plaire…
Pour faire durer le plaisir, je lui ai tourné le dos et j’ai couiné d’une voix de mijaurée : “Mon maillot me gêne, mes seins gonflent quand je suis excitée. Ça me serre… Fais quelque chose !” Comme je l’avais prévu, elle s’est approchée, j’ai senti son souffle dans mon cou quand elle a dénoué le haut de mon maillot. En revanche, j’ai été un peu (mais agréablement) surprise quand elle a saisi mes seins à pleines mains pour faire tomber le tissu par-devant. Elle haletait dans mon cou, tellement chaude. Ça promettait…
Je me suis tournée vers elle et, sans crier gare, je lui ai pris les lèvres. Elle a répondu spontanément à mon baiser, enroulant sa langue câline autour de la mienne. Elle embrassait divinement bien et frottait ses seins contre les miens. Nos pointes durcissaient et se heurtaient délicieusement. J’avais envie de la sortir de l’eau et de la baiser direct, là, brutalement, sur le rebord du jacuzzi, mais je voulais qu’elle garde un souvenir merveilleux de cette première fois. En outre, j’avais pour projet de lui offrir un aperçu de l’étendue des possibilités qui s’ouvrent à deux filles entre elles pour se donner du plaisir. Il fallait donc que je tempère mes ardeurs de petite salope et que j’y aille mollo pour décoincer la porte aux désirs enfouis de ma jolie Lina.
Nous avons continué à nous embrasser, de plus en plus profondément. Nos baisers mouillés faisaient des bruits obscènes, et je me languissais de reproduire ces mêmes bruits entre ses cuisses. Mon envie de lui arracher son slip de bain et de fouiller sa chatte était si violente que, pour me tempérer, je me suis redressée et je lui ai tourné de nouveau le dos.
Et là, bonne surprise, mon “élève” a pris l’initiative de s’attaquer à mon string et de lécher mes globes pour finir par une délicieuse langue dans la raie de mon cul. J’ai frémi de tout mon être, et mon sexe a coulé de tout son désir… J’étais trop excitée, j’avais besoin de jouir une première fois de toute urgence !
D’une voix étranglée par l’envie, j’ai demandé à Lina de me débarrasser de mon slip de bain. Elle l’a fait rouler sur mes cuisses.
Je me suis hissée au bord du jacuzzi, je me suis assise face à elle, les jambes ouvertes, le clito saillant et la fente trempée et je l’ai suppliée : “Fais-moi jouir, j’en peux plus !” Elle m’a redit : “Je n’ai jamais fait ça…” J’ai répondu dans un souffle : “Lèche-moi, improvise sur moi ! Fais comme tu aimerais qu’on te fasse à toi !”
Elle s’est timidement approchée, a placé ses lèvres sur ma fente avide et a déposé un petit bisou sur le gland de mon clito. J’ai sursauté de désir, mais il y avait urgence ! J’ai gémi : “Lèche-moi, bouffe-moi, suce-moi, s’il te plaît, allez, vite…” Alors elle a ouvert ma fente à deux doigts et s’est attelée à une succion de clito malhabile mais somme toute assez efficace. Je haletais et je commentais : “Oui, comme ça, c’est bien, oh…” Et là, la cata, elle a ralenti ! J’ai repris sans la brusquer : “Non, un peu plus vite, lèche avec toute ta langue, oui, comme ça, c’est bon…” Le plaisir remontait par à-coups, les prémices de l’explosion se faisaient sentir. Bouche et cuisses ouvertes, d’une indécence parfaite, je me suis fait brouter par cette “débutante” jusqu’à l’orgasme, remuant mes muqueuses sur sa bouche, les poussant contre sa langue, criant mon plaisir à qui voulait bien l’entendre. Au moment où j’ai senti venir l’ultime montée, j’ai saisi Lina par les cheveux et j’ai enfoncé son visage dans mes chairs odorantes, de peur qu’elle ne me quitte… Mon bas-ventre a été secoué de spasmes de jouissance, mes cris s’étranglaient dans ma gorge. Puis, à bout de course et de souffle, j’ai lâché Lina dont le visage luisait de mes sécrétions intimes. Elle aussi paraissait essoufflée. Mais elle semblait fière. Elle pouvait, pour un premier cunni, elle avait assuré. Mais ce n’était que le début des réjouissances.
Il m’a fallu peu de temps pour retrouver de l’air et mes esprits. Apaisée par ce premier orgasme mais la chatte toujours en feu, j’ai décidé de goûter à la petite miss, histoire de me faire une idée de ses réactions. Elle semblait gênée. Alors, j’ai pris les choses en main.
Je l’ai retournée et je lui ai dit de se pencher en avant. J’avais ainsi accès à toutes ses fentes : son sexe, la raie de son cul, son petit trou, son vagin luisant. Et je sais d’expérience que le plaisir est plus intense par-derrière, surtout quand la timidité s’en mêle. Par-derrière, on sent tout mais on ne voit rien. Et on croit que l’on ne montre rien. Comme si seul le visage était expressif ! Mais là, j’avais affaire à une vulve tout aussi parlante.
J’ai ouvert cette mer d’envie avec mes mains, Lina était trempée d’excitation. Je me suis laissée couler dans le jacuzzi pour placer ma bouche juste sous sa fente. J’ai léché suavement ses lèvres intimes bien épilées, donnant çà et là des mini-coups de langue sadiques à son clito pour le quitter à peine je l’avais “salué”. De temps à autre aussi, j’introduisais la pointe de ma langue dans son fourreau gluant et parfumé, puis je la ressortais. Je voulais la mettre à bout d’envie.
Puis, j’ai estimé que j’avais assez joué et j’ai entamé un cunni épicé, lapant son clitoris durci à divers rythmes jusqu’à trouver le bon, celui qui m’a donné une coulée de mouille sur la pointe de la langue. Je fouillerais son vagin plus tard… Concentrée sur ces quelques centimètres dédiés au plaisir, j’ai gobé, lapé, sucé, léché, remuant son cul contre ma bouche en enfonçant mes ongles dans ses globes.
Là-haut, des couinements de plaisir envahissaient l’air, un souffle de plus en plus saccadé me disait que je faisais bien. Lina a joui en deux cris, puis elle m’a repoussée un peu, arguant que son clito était “trop sensible pour continuer”. Qu’à cela ne tienne ! J’ai fouillé en alternance son œillet et son fourreau de ma langue, goûtant les saveurs intimes de ma voisine, humant les odeurs secrètes mais si enivrantes que cachaient sa vulve et son superbe cul. Ce dernier me troublait terriblement.
J’avais bien envie d’y fourrer un ou deux doigts, afin de savoir si la miss était aussi sensible que moi de là. J’ai posé ma bouche sur son œillet et j’y ai fait couler de la salive, j’ai sucé mes doigts et chatouillé son entrée secrète, afin de voir la rose éclore. C’est tellement joli un petit trou qui s’ouvre lentement et appelle au plaisir ! Salive, caresses de doigts et coups de langue ont suffi à la dilater un peu. J’ai commencé à entrer la première phalange de mon majeur, mais Lina s’est retournée : “Non, pas ça, pas maintenant, ou plus tard, je veux te faire jouir encore !” Voilà bien une proposition que je ne refuse jamais. Je ne savais pas encore si elle me baiserait comme j’aime, mais une chose était sûre, elle savait déjà me parler…
Toujours partante pour de nouveaux plaisirs, je me suis offerte à Lina, lui laissant carte blanche. Elle m’a glissé à l’oreille “Ferme les yeux, laisse-toi faire !” Petite vicieuse ! Je me suis assise, le cul dans l’eau, les bras derrière la tête, les yeux fermés, mais ouverte à tout. Lina m’a écarté les cuisses et a caressé mon clitoris, juste assez pour me mettre dans un état d’excitation puissant, mais maîtrisable.
Et là, j’ai senti qu’elle enfilait deux doigts dans ma grotte suintante. Elle a farfouillé dans mes chairs puis a agité ses doigts avec talent, traquant mon point G. Quand j’ai commencé à remuer du bassin, elle a collé sa bouche sur ma fente et m’a léché le clito tout en me fourrant. Je ne savais pas si elle aimait qu’un homme la branle ainsi, mais c’était diablement efficace fait par elle (la barbe de trois jours en moins). J’agitais mon bassin de plus en plus vite, accompagnant ses doigts et sa langue. J’ai décollé en puissance, jouissant du clitoris et du vagin en même temps dans un cri si violent que ma gorge m’en a fait mal… J’étais abasourdie par le savoir-faire instinctif de cette présumée ignorante ! Là, elle s’est levée, m’a embrassée tendrement puis s’est immédiatement tournée, s’est écarté les fesses et m’a dit : “Prends-moi le cul !” Elle se lâchait grave la petite ! J’ai de nouveau dilaté son anus par de douces caresses et j’ai introduit un doigt dans son rectum. Elle agitait ses jolies fesses dessus, c’était trop mignon. Mais, ce à quoi elle ne s’attendait pas, c’était que je comptais bien lui fourrer le devant également.
J’ai enfilé directement deux doigts dans son vagin détrempé, puis un troisième. Ensuite, j’ai ajouté un index dans son cul et je lui ai intimé l’ordre de se masturber le clito en même temps. J’ai agité mes doigts devant et derrière, les enfonçant plus profondément, puis les sortant avant de les remettre. Je voulais créer chez elle le manque pour l’apaiser aussitôt. Comme je le lui avais demandé, elle se branlait le bouton à toute allure, tant et si bien que j’ai senti venir son orgasme quand ses parois se sont contractées sur mes phalanges. Elle s’est mordu la main pour étouffer ses cris, et j’ai attendu quelques instants avant de ressortir mes doigts de son rectum. Mais j’ai laissé les autres dans son vagin et je les ai de nouveau remués. Sentant qu’elle pouvait avoir un nouvel orgasme, je l’ai invitée à se tourner pour que je puisse fourrer son sexe et lécher son clito en même temps. Elle était toute dilatée de partout, ses muqueuses étaient rouges et gonflées, mais je savais que je pouvais la faire redécoller. Ce qui m’a surprise, c’est qu’elle me regardait la baiser en marmonnant des obscénités :
“Oh oui, j’aime bien quand tu me prends comme la salope que je suis, mets-la-moi, plus, vite, oh oui, j’aime ça, c’est booon…”
Son clito bloqué entre mes lèvres, je léchais son bouton bien au chaud. Mes doigts nageaient dans une mare de mouille épaisse et odorante. Soudain, j’ai eu l’idée de lui refouiller le cul. Son anus toujours dilaté m’a accueillie avec bonheur. Lina s’est pincé la pointe des seins en hurlant : “Oh oui, je vais jouir, ouiiii !” Elle a été saisie de spasmes et son plaisir a coulé dans ma main. Quand elle a eu repris son souffle, elle a voulu me rendre la pareille. Mais moi, j’avais besoin d’une pause. Elle m’a demandé si elle pouvait juste regarder mon sexe, j’ai dit oui. Puis nous nous sommes embrassées, rompues de plaisir.
Depuis, nous partageons fréquemment mon jacuzzi. Et Lina n’ignore plus rien en matière de sexe lesbien