Jardin secret
1 septembre 2016Lorsque son mari annonce à Hélène l’arrivée imminente de son neveu, elle est loin de se douter qu’elle va connaître une aventure proche de celle vue dans sa série télévisée préférée. Qui a dit que les femmes au foyer étaient désespérées ?
C’était la première fois que Clément, le filleul de mon mari venait passer quelques jours à la maison. Mon homme m’avait rapporté qu’il avait été récemment licencié de façon inexpliquée et que, pour l’heure, son moral se situait dans les chaussettes, ou les tongs, vu la saison !
Je n’avais rencontré Clément qu’à deux reprises auparavant. Je me souvenais d’un beau gosse, charmeur, sûr de son potentiel de séduction. Lorsqu’il est arrivé à la maison, je dois dire que j’ai été étonnée par le jeune homme qui se trouvait devant moi. Il semblait hagard, déboussolé par la nouvelle qui lui était tombée sur la tête. Comme je devais refaire les plantations du jardin, mon mari, qui a quinze ans de plus que moi et n’aime pas trop jardiner, a suggéré à Clément de m’aider afin de s’occuper et se vider l’esprit après sa déconvenue.
Le jeune homme, que j’avais trouvé hautain par le passé, me touchait désormais par sa fragilité et le regard triste qu’il affichait en permanence.
Le troisième jour après son arrivée le soleil brillait déjà haut dans le ciel en ce début de matinée. Mon mari avait quitté la maison à l’aube pour un important rendez-vous d’affaires. Clément est arrivé torse nu pour me prêter main forte dans mes semis.
En regardant ce torse de bad boy, ses bras puissants et tatoués, j’ai pensé à Gaby dans Desperate housewives (ma série favorite), et j’ai ressenti un léger frisson dans mon corps tout entier.
Depuis son récent rachat d’une nouvelle agence immobilière, mon mari n’avait que peu de temps à m’accorder. Je ne me souvenais même plus à quand remontait notre dernière relation sexuelle, c’est dire ! » Alors Tata, un coup de main pour biner ? », m’a lancé Clément, un grand sourire aux lèvres. » Tu devrais faire attention, j’ai une vue magnifique qui risque de me déconcentrer de mon jardinage ! », a-t-il poursuivi. Pour la première fois, le jeune homme retrouvait un peu de sa superbe. L’idée que je puisse lui faire de l’effet n’était pas pour me déplaire.
Tantine avait faim de sexe et du mal à réprimer son tempérament après une si longue disette ! Lorsque Clément s’est placé derrière moi et a fait glisser la bretelle de mon T-shirt pour laisser apparaître ma lourde poitrine, je l’ai laissé faire. Bien entendu, il s’est engouffré dans la brèche que je lui ouvrais.
Accroupi derrière moi, Clément a pétri mes doux melons soyeux en me susurrant à l’oreille : « Depuis le temps que tes seins me font fantasmer, ma jolie Tata ! »
Nous n’avions que quelques années d’écart et pourtant, le fait qu’il m’appelle Tata ne faisait que décupler mon désir pour lui. J’avais l’impression de transgresser les règles, et la sensation était délicieuse.
Avec force, Clément m’a redressé, puis il a ôté mon jean et tiré sur mon string pour prendre possession de ma minette avec sa langue.
Je mouillais sous ses caresses, ronronnant comme une chatte à chaque fois qu’il me lapait. Autoritaire, mon beau neveu m’a positionné en levrette. Puis il a joué avec le manche en bois d’un râteau. Le promenant sur ma chatte et mon petit trou déjà ouvert. Je ne me souciais plus des conséquences de mes actes, seule la bite de Clément envahissait désormais mes pensées.
En manque cruel de sexe, j’ai dévêtu le bel homme en un temps record pour engloutir sa bite qui était encore plus longue et épaisse que je ne l’avais imaginé. En bonne chienne que je suis dès qu’il s’agit de sexe, j’ai littéralement mangé cette tige qui s’offrait à moi, prenant soin de faire glisser ma langue jusqu’à ses couilles pour mieux l’avaler.
Le jardin était isolé et personne ne pouvait nous observer. En revanche, mon mari était susceptible de rentrer à tout moment et, aussi incroyable que cela puisse paraître, cette peur au ventre ne faisait que me rendre plus chaude et avide de plaisir.
« Tu voulais te charger des plantations, m’a dit Clément en me fixant droit dans les yeux alors que je le suçais avec fougue. A moi de m’occuper de ton jardin secret maintenant ! »
Avant même que je ne réalise la portée de ses paroles, la grosse queue de mon bel amant s’engouffrait au fond de mon petit fourreau largement ouvert par l’excitation.
« Alors Tata, tu le sens bien mon manche ? Tu aimes te faire baiser comme une bonne petite salope ! Ca te plait hein… » Les paroles sèches et vulgaires proférées par Clément me régalaient. Jamais mon mari n’avait osé me parler de la sorte. Le pauvre, s’il avait su !
Le jeune homme me chavirait de bonheur. Lorsque ces mains se sont abattues sur mes fesses pour me flanquer une fessée, je n’ai pu réprimer des gémissements bientôt suivis de mots incontrôlables.
« Oui, vas-y, baise bien ta petite Tata ! Prends-moi ! Je veux toute ta queue ! » Comment pouvais-je me comporter de la sorte ?
Mystère ! Seul mon corps et le plaisir qui le parcourait dictaient mes actes et mes paroles. Clément, tout sourire, semblait grandement apprécier de voir sa « tantine » dans un tel était d’excitation.
Son gros pieu de chair m’écartelait, et ses assauts devenaient, à ma grande joie, de plus en plus bestiaux.
Je fixais cette queue qui me guidait inexorablement vers l’orgasme. La tige de mon « assaillant »était couverte de ma mouille et luisait sous les rayons du soleil.
J’étais bien, enivrée par le plaisir. L’idée d’être surprise par mon mari ne m’inquiétait plus le moins du monde.
Chaude comme je l’étais à ce moment précis, je crois bien que je lui aurais même proposé de se joindre à nous afin qu’il comprenne le tempérament insatiable de sa femme. Le sexe est quand même le seul plaisir qui vous fasse tout oublier ! Clément ne semblait plus du tout se soucier de son licenciement abusif et moi, ma vie monotone de femme sérieuse et dévouée était perdue temporairement dans une parenthèse dorée.
Pour le moment, seuls les coups de queue que je recevais captaient tout mon attention. Bien assise à califourchon sur le monstre de chair de mon amant, je lui assénais des coups de reins assassins. Transgresser un interdit en compagnie du délicieux neveu de mon mari, c’était une sorte de déclic qui me faisait prendre la mesure de mon potentiel sexuel…Clément m’écartait les fesses tout en me pilonnant.
Je devinais que mon petit trou ouvert n’attendait qu’une chose, qu’une belle bite bien épaisse vienne le posséder.
Hélas, le jeune homme n’a pas osé pousser l’aventure jusqu’à me pénétrer entre les fesses ! Je m’empalais sur sa bite, abattant ma lourde poitrine sur le visage de Clément. Ce dernier en profitait pour me manger les tétons et me lécher les seins, enduisant mon corps de sa salive.
Le rythme de ses coups de queue se faisait plus rapide et je sentais la fin de notre ébat arriver à grands pas. Comme une furie, je me suis jetée sur cette queue qui venait de me donner tant de plaisir et je l’ai sucée avec une fougue qui m’a moi-même surprise.
Clément n’a pas résisté bien longtemps à mes coups de langue assassins, et dans un râle, il a vidé son foutre sur ma bouche, mes lèvres, mes joues…J’ai dégusté son jus avec délice, allant jusqu’à laper les dernières gouttes qui s’écoulaient encore de sa bite tendue.
Clément est resté quatre jours supplémentaires à la maison et, même si les plantations n’ont guère avancé à la grande surprise de mon mari, ma vie sexuelle a repris un élan hors du commun. Aujourd’hui, le jeune homme a retrouvé un travail de commercial. Lors de ses déplacements, il lui arrive donc de rendre visite à sa gentille tantine !