L’ascenseur du 7ème ciel
12 décembre 2019Lorsqu’Anna croise son voisin dans l’ascenseur la tension sexuelle se fait bien vite sentir. Plutôt que le septième étage, c’est au septième ciel que notre duo décidera de faire une halte !
Je l’ai croisé plusieurs fois dans la cage de mon immeuble. Je savais qu’il s’appelait Nathan et je devinais que je lui plaisais bien, vu la façon qu’il avait de me dévorer des yeux dès qu’il m’apercevait.
Une fois, nous avons pris l’ascenseur ensemble et l’attraction sexuelle fut tellement forte entre nous deux que je n’ai pas résisté à l’appel : je l’ai embrassé !
Surpris dans un premier temps, il s’est montré encore plus entreprenant, il a carrément soulevé mon petit pull rose pour embrasser mes seins. Comme l’ascenseur de l’immeuble a des parois transparentes, j’ai très vite mis mes mains pour me cacher. « Tout le monde peut nous voir ici, tu peux venir chez moi ? »
Il n’a pas dit non, et je l’ai ramené à la maison. Heureusement, mes parents étaient partis pour l’après-midi.
Je pouvais enfin prendre le temps de réaliser mon fantasme : m’envoyer en l’air avec mon voisin de palier.
Quand il est entré dans l’appartement, je n’ai pas osé lui montrer ma chambre, je dormais encore dans un lit une place et il y avait des posters de chanteurs un peu « niais » affichés partout. J’ai préféré installer un drap blanc par terre, en lui disant que ça laisserait moins de traces.
Nathan n’avait manifestement pas besoin de beaucoup plus d’explications pour rentrer dans mon petit jeu. Je me suis allongée langoureusement sur le sol et j’ai relevé de mon propre chef le pull qui couvrait mes jolis tétons.
Il a retiré mon jean, puis s’est attaqué à ma petite culotte blanche. Comme je n’avais pas prévu de câlins coquins à la sortie des cours, mes sous-vêtements n’étaient pas vraiment érotiques, mais tant pis ! De toutes façons, il semblait subjugué par le corps qui se dévoilait petit à petit devant lui.
Une fois qu’il eut retiré ma petite culotte, il s’est intéressé à ma chatte. Comme je m’épile tous les jours, j’étais sûre de lui présenter un minou totalement glabre, qu’il aurait donc immédiatement envie de lécher et de goûter, comme un petit abricot sucré.
Il a humé du bout du nez les parfums qui émanaient de ma chatte, et vu son sourire ravi, je pense qu’il y a trouvé son compte. Ça m’amusait qu’un mec prenne autant son temps avant de me pilonner. Je pense d’ailleurs que je préfère ça aux hommes qui se jettent un peu « tête baissée » vers l’entrejambe, comme s’il s’agissait du Saint-Graal. Ça me permettait, à moi aussi, de faire monter ma propre excitation, de sentir ma délicieuse cyprine inonder mes deux petites lèvres, comme un marqueur indiscutable d’une envie d’être pénétrée.
Mais Nathan n’en avait manifestement pas encore fini avec sa douce et délicieuse torture. Du bout des doigts, il est venu écarter mes fines lèvres intérieures qui étaient bien rougies par l’envie.
Il en faisait méticuleusement le tour, comme un orfèvre qui soigne une de ses plus belles œuvres, en analysant les moindres recoins. Soudain, le bout de son majeur a fait connaissance avec mon clitoris – et comme un doigt entre en contact avec un interrupteur – je me suis mise à frissonner.
« Doucement… » lui ai-je simplement murmuré pour qu’il comprenne que j’étais à cran.
Il a humidifié son doigt et réitéré son mouvement, d’abord bien sûr les côtés de mes lèvres puis tout doucement, il s’approchait de mon clitoris, pour enfin appuyer plus fermement dessus. Je n’ai pas pu cette fois-ci contenir un long et plaintif râle de plaisir. J’ai cru que j’allais jouir de cette façon, c’était tellement électrisant.
Il faut dire que le courant passait très bien entre nous deux. Depuis le début de ces délicieux préliminaires, j’avais conservé mes bras au-dessus de ma tête mais là, je me suis dit qu’il était temps de passer aux choses sérieuses.
J’ai enfoncé la tête de Nathan sur ma petite fente pour qu’il se mette enfin à me lécher.
Sa langue a pris avec beaucoup de naturel le relais de son doigt, explorant dans les moindres recoins, les petits bouts rosés de ma fente. « C’est la première fois que je lèche une femme totalement épilée ! », s’est ému Nathan, dont je devinais depuis le départ qu’il ne devait pas avoir eu une connaissance très étendue du corps des femmes. Il était lent et tellement dans la découverte qu’il ne devait pas avoir eu beaucoup d’expériences.
Peut-être même était-ce sa première fois et j’étais en train de le dépuceler ?
Je n’ai pas osé lui poser la question, de peur de lui faire perdre sa précieuse concentration. Car pour être concentré, Nathan était concentré, ses yeux fixaient attentivement ma chatte comme s’il s’agissait d’un cadeau de Noël. « Tu peux venir me sucer ? » m’a-t-il ensuite demandé, comme un juste retour des choses.
Il s’est déshabillé et j’ai découvert un corps plutôt musclé et assez ferme ! Je n’imaginais pas découvrir un Apollon de cette envergure sous ses vêtements, une sacrée belle surprise !
J’ai surtout trouvé sa queue, bien droite, dans une érection particulièrement impressionnante. Je me suis mise à suçoter son gland. C’était un peu salé et crémeux.
Mais le plus dur, c’était surtout de le gober en entier. Le bougre avait un diamètre digne d’un acteur de porno, il fallait que j’ouvre bien grand ma bouche pour pouvoir l’engloutir.
Je n’arrivais pas à en avaler plus de 5 à 6 centimètres, mais j’étais déjà assez fière de moi. Ce n’était vraiment pas si facile et je n’avais jamais vu d’homme aussi bien « membré » ailleurs que dans les films.
À genoux, je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai fait mon regard de « cochonne ». J’avais vu ça dans certains DVD pornographiques, et j’espérais que cela lui plairait particulièrement. En fait, je crois que ça l’a un peu gêné sur le coup, il a détourné le regard et m’a passé une main dans les cheveux. Ah ! Que les hommes peuvent être timides, parfois !
Sa main pesait légèrement plus fort contre ma tête pour que je l’engloutisse plus profondément. Il accompagnait son geste par de rauques grognements. Son gland déformait ma joue en un joli rictus.
Cela ne me faisait pas mal, mais ce n’était pas très agréable. Je me suis dit que la bonne idée, c’était de l’accueillir en moi. Sentir enfin son gros calibre au plus profond de mes entrailles.
Il est entré tout doucement, et heureusement ! Ma chatte s’écartait petit à petit, laissant pénétrer avec douceur ce gros manche en elle. Moi qui pensais qu’il aurait du mal, je m’étais bien trompée. J’étais si excitée, qu’il a réussi à se faufiler comme dans du beurre. Une fois arrivé bien au fond, il a poussé un petit « Gnnnnn » de contentement. Moi, j’avais fermé les yeux, je me concentrais sur les palpitations de ma chatte.
Je pense que je pouvais sentir les battements de mon cœur dans mon entrejambe, tant le moment était intense. Il s’est positionné bien au-dessus de moi, et m’a attrapé fermement les bras. J’avais l’impression d’être devenue sa petite chose, son petit sextoy dans lequel il pouvait faire autant d’allers-retours qu’il voulait. J’étais à sa merci, sans aucun doute possible.
Il prenait le temps d’apprécier mon corps, de caresser mes seins et mon petit ventre plat.Je lui ai demandé de sortir de moi pour quelques minutes, il fallait que je reprenne ma respiration.
On est resté comme ça, un petit temps, à se regarder les yeux dans les yeux, avant de reprendre à nouveau. J’ai fini par monter sur lui, comme si je m’empalais sur mon trône.Sa bite, bien dure, bien bandante, m’a immédiatement provoqué une vague de plaisir intense.
C’était tellement bon de le sentir si profondément, de sentir que ma chatte devenait assez souple pour engloutir pleinement son calibre.
Je me suis ensuite allongée sur le ventre, la poitrine collée sur le coton blanc, les fesses légèrement relevées, attendant qu’il me prenne en arrière. J’adore cette position qui me permet de me caresser en même temps. Nathan faisait des exercices de musculation au-dessus de moi, tout son corps était raide, il me pilonnait avec une force et une vigueur incroyable. Je pense que je devais lui faire un effet de dingue pour qu’il soit déchaîné à ce point-là.
Avec mes petits doigts agiles qui me frottaient de plus en plus rapidement le clito, je me suis faite jouir. Les draps blancs qui frottaient énergiquement mon corps, les bras puissants de Nathan qui m’encerclaient, mon sexe enflé qui demandait libération, tout avait concouru à me donner un orgasme d’enfer.
Je me suis alors retirée de l’étreinte chaleureuse de Nathan et je me suis tendrement collée à lui, pour le « terminer».
J’ai pressé bien fort sa bite bandante entre mes mains et j’ai senti qu’elle augmentait encore de volume.
C’était assez facile de le masturber, il s’était bien rasé comme il fallait, et mes doigts glissaient naturellement sur cette tige bien lisse. Il m’a fallu quelques pressions supplémentaires, savamment dosées près de son gland, pour lui faire éjecter toute sa précieuse liqueur.
Elle s’est répandue sur son pubis, contrastant avec sa peau fine et bien bronzée.
Je l’ai embrassé à pleine bouche, ravie d’avoir passé ce moment torride avec lui.
Il m’a demandé quand mes parents rentraient. Je lui ai répondu dans deux heures. Il m’a proposé de me tenir prête, dans moins de dix minutes, son sexe serait de nouveau au garde-à-vous. « Ça te ferai plaisir un deuxième round ? » Je lui ai souri, tendrement.
Non, cet homme n’était pas vierge, manifestement.