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Le bassiste aux doigts de fée…
8 novembre 2015Mon mec m’avait bien eue ! Il avait décidé de partir pour trois dates de concert, mais sans moi ! De toute façon, depuis que le groupe dont il était le lead guitariste commençait à avoir un petit succès, Vincent se la jouait grave ! C’est simple, je ne le reconnaissais plus. Sa décision de me laisser en plan alors qu’il se tirait tous frais payés dans le Sud était une goutte d’eau qui faisait déborder mon sting !
Question cul, j’étais aussi mise de côté : « Tu comprends, il faut que je m ‘économise pour mes lives ! » ou encore : « Non, pas ce soir ma puce, j’suis complètement cuit ! » Voilà ses principales réponses à mes désirs. J’en avais vraiment ma claque de son air hautain et de sa façon de se la raconter. Les rares fois où il voulait bien sortir, les petites groupies commençaient à tourner au tour de lui. Et Vincent ne faisait strictement rien pour les en dissuader. Au contraire, il kiffait ça à mort. Je devais réagir vite ! Son départ en solo était l’occasion rêvée.
Manu, bassiste à ses heures, assumait le rôle d’homme à tout faire du groupe. Réserver les hôtels, booker les tourneurs, remplir le frigo de bières ou encore, comme c’était le cas actuellement, s’occuper de mettre en place leur nouveau studio de répét, Manu ne disait jamais non !
Tout comme moi, le pauvre avait été laissé pour compte lors de cette mini-tournée d’un groupe pour lequel il se dévouait corps et âme. Mais j’étais bien décidée à réparer cette injustice d’une manière un peu particulière. Je savais que Manu flashait grave sur moi. Un petit break en ma compagnie ne serait certainement pas pour lui déplaire.
Lorsque je suis arrivée près du local où il s’activait, il m’a regardée avec ses grands yeux ébahis. Je n’y suis pas allée par quatre chemins et, en lui faisant découvrir mon petit string, je lui ai simplement glissé d’une voix chargée de sous-entendus : « Et si on profitait du départ du groupe pour s’amuser un peu ? » Mon regard de coquine et mon allure d’allumeuse n’ont eu aucun mal à le persuader. D’une main fébrile, il a laissé tomber son occupation du moment pour m’emmener dans le sacro-saint studio où mon mec passait désormais la majeure partie de ses journées…et de ses nuits ! Le pauvre devait attendre ce moment depuis des lustres !
Il était si excité, on aurait dit un jeune puceau fou d’excitation à l’idée se taper enfin une nana. Il s’est jeté sur mon string pour détailler ma chatte avant de me retrourner pour y glisser ses doigts. Il soufflait comme un taureau en rut et répétait en boucle : « Ce que tu es bonne…Putain, ce que t’es bonne ! » L’excitation devait être contagieuse car ma chatte, pleine de ses doigts, mouillait violemment.
J’avais l’impression de transgresser les règles, de jouer le rôle de la parfaite salope qui trompe son mec avec le roadie du groupe. Il avait bien mérité un petit moment de détente, depuis le temps qu’il jouait les nounous pour quatre types qui ne se fendaient jamais d’un merci à son égard ! J’étais un peu comme un cadeau à déguster sans modération.
Sa bite épaisse s’est vite frayée un chemin entre mes cuisses. J’avais l’impression de commettre un péché délicieusement jouissif. Mon mec pouvait bien s’éclater à mille bornes d’ici. Moi j’avais décidé de prendre le taureau par « la » corne ! La tige du roadie était légèrement courbée, et ses coups de reins m’arrachaient des cris de plaisir.
L’idée de me faire baiser dans le studio de répét’ du groupe n’était bien sûr pas pour me déplaire.
J’imaginais déjà mon homme poser ses mains là où je venais de me faire enfiler par Manu…Quelle merveilleuse vision, vous ne trouvez-pas ? Je me suis retournée afin d’offrir ma croupe à mon « assaillant ». Une vraie pute en chaleur ! En levrette, la courbure de la belle queue veinée de mon partenaire me propulsait au nirvana. Son gros gland venait taper au fond de ma petite chatte, écartelée par tant de secousses.
Je criais et j’invitais Manu à poursuivre ses coups de reins assassins au creux de mon ventre : « Allez, oui, baise-moi ! Fourre-moi bien comme une petite garce, je suis à toi ! Cogne fort au fond de ma chatte, défonce-moi ! » Le souffle de mon partenaire se faisait plus rapide. En plus, il commençait à se lâcher, lui aussi : « Tu ailes ça petite traînée ? Tu kiffes ma grosse pine en toi ! J’suis sûr que j’te donne plus de plaisir que ton mec, hein ? ».
C’est vrai que question baise, Manu n’avait de leçons à recevoir de personne, et surtout pas de mon homme ! Mon jules était plutôt doué de ses doigts, mais essentiellement sur un six cordes ! La poigne de Manu, elle, était ferme, virile. Je me sentais possédée par ce mec un peu bourru mais si bien pourvu par la nature ! C’était le pied…
Mais là, étonnamment, le solo se faisait en binôme, et je crois que l’on se débrouillait pas mal ! Manu était comme un diesel. Il avait commencé assez doucement, se laissant guider par mes envies, mais il avait vite pris de l’assurance. Désormais, c’est lui qui menait la danse du tandem que nous formions. Soudain, mon portable a sonné. J’ai jeté un œil à l’écran : c’était Vincent qui essayait de me joindre. Cela n’a fait qu’accroître mon excitation. S’il avait su que sa petite puce se faisait baiser par son roadie et qu’en plus, elle aimait ça ! Secrètement, j’aurais souhaité que mon gratteux puisse me voir et surtout m’entendre gémir sous les coups de boutoir de Manu. Et qu’il en soit vert de jalousie. Il n’avait pas voulu que je l’accompagne, tans pis ! Moi aussi, je pouvais prendre du bon temps…
Manu avait trouvé sa groupie. Et, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il la soignait ! Je lui avais offert un pass pour toutes les parties de mon corps, et il comptait bien en profiter jusqu’au bout. Il me passait en revue toutes les positions du Kama-sutra, comblant ma chatte de ses coups de reins magistraux. C’était la première fois que je trompais un mec. J’aimais assez l’idée de transgresser un interdit. Je pensais que m’envoyer en l’air avec Manu serait juste un moyen d’assouvir ma vengeance, mais je me prenais au jeu.
Assise à califourchon sur son pieu de chair, je m’étonnais même à l’embrasser goulûment, mon corps tout entier vibrant sous ses caresses. Je faisais onduler mon bassin pour mieux sentir son gourdin me remplir. Le frottement de mon clito contre son bas-ventre ne faisait qu’accroître mes sensations. Ma mouille coulait sur les couilles de Manu. Chaque mouvement de reins était ponctué par un clapotis significatif de mon état. Cela faisait bien longtemps qu’une bite ne m’avait pas emmené aussi loin dans le plaisir.
Mais malheureusement, après un corps à corps si sauvage, mon amant m’a fait comprendre qu’il était arrivé au point de non retour. « J’ai très envie de me finir dans ta bouche ! », a-t-il susurré à mon oreille. Il était bien tombé ! J’adore qu’un mec me jouisse sur le visage. Le guider jusqu’au plaisir, donner le rythme d’une main habile, idéal pour une petite cochonne comme moi.
C’est à ce moment précis que mon portable s’est remis à sonner. Rien de plus efficace pour me transformer en une véritable chienne lubrique et avide de sperme (sachant pertinemment que c’était mon mec qui tentait de me joindre !).
Quant à Manu, je me le garde sous la main. On ne sait jamais !