Les grandes eaux
19 janvier 2023Anna se savonne sous la douche en pensant à son bel Albert, toujours en retard. Elle est loin de se douter que son étourderie va servir à la réalisation d’un fantasme encore inassouvi dans leur couple : le plan à trois !
Qu’il est bon de prendre une douche après une bonne séance de sport ! Cela faisait longtemps que je n’étais pas allée à un cours de Pilates, mais les abus de l’été m’ont convaincue de me lancer corps et âme dans une nouvelle activité.
J’avais passé mes vacances à enchaîner les mojitos, le cul assis sur un transat, il fallait que j’affine ma silhouette et que je muscle ce fessier si je voulais continuer à plaire à mon homme, Albert.
D’ailleurs, que faisait-il donc ? Il était parti retrouver des amis pour une partie de jeux vidéo (soi-disant) et m’avait promis de rentrer avant moi, pour préparer le déjeuner.
Tu parles !
Les hommes sont tous les mêmes, accaparés par leurs plaisirs abrutissants ils en oublient l’essentiel : le bien-être de leur petite femme. Bien que je ne sois pas réellement sa femme, c’est tout comme. Nous nous connaissons depuis trois ans et j’ai appris avec le temps tous ses secrets, toutes ses manies. Sa famille est devenue la mienne, et inversement.
Il ne me manque plus que la demande en mariage pour être un vrai couple officiel. Et peut-être bientôt mettre un bébé en route ? Enfin, si Albert ne se comporte pas comme un gamin et arrive à tenir ses engagements comme celui de rentrer à l’heure…
Enfin, alors que j’étais en train de m’étaler le savon sur la poitrine, j’ai entendu son pas lourd. Le voilà qui avalait maintenant les marches de l’escalier quatre à quatre, certainement peiné par son retard. Je continuais à me faire mousser la peau, sans me soucier de lui.
« Chérie, je suis rentré ! » l’ai-je entendu hurler du fond du couloir. Espiègle, et certainement un peu fâchée, je ne lui ai pas répondu et je me suis mise à chantonner en me frottant les pieds. « Chérie ? Chériiiie ? » ânonnait-il bêtement, maintenant inquiet de mon silence.
Il a ouvert en trombe la porte de la salle de bain et s’est mis à hurler « Annaaaa ? Tu es lààààà ? ». Et devinez quoi ? Il était à poil, lui aussi. Je me suis mise à rire en le voyant se défigurer face à mon corps de nymphette jouant avec les eaux.
« Qu’est-ce que tu fous tout nu ? J’espère que tu n’es pas sorti comme ça ? » lui ai-je dit en me moquant gentiment. Il m’a expliqué en bégayant une histoire de bière qu’on lui aurait renversé dessus, d’où son retard et sa nudité, il avait mis ses vêtements au sale… Ses excuses pataudes m’ennuyaient au plus haut point.
Je lui ai fermement demandé de se taire et de venir me rejoindre sous la douche. Pas besoin de le dire plusieurs fois, Albert est venu coller son torse et sa teub, contre ma peau.
Mmmh… Ça m’a donné des envies coquines et je crois bien que ces envies ont été réciproques.
Il m’a retournée en un tour de main contre le mur et s’est baissé au niveau de mon petit cul. Son visage n’était plus qu’à quelques centimètres de ma raie. Albert n’a pas semblé perturbé. À l’aide de ses deux mains, il m’a écarté bien fort les fesses pour exhiber mon petit trou tout propre grâce à la douche ! Sa langue s’est trouvé un chemin entre mes plis.
Timide, c’est d’abord la pointe qui est venue caresser doucement ma peau. Puis le plat de la langue a suivi, en lapant sans retenu le long de mon énorme fente. Il partait littéralement du bas de mon coccyx pour terminer sa course à l’orée de mon vagin. C’est la première fois qu’Albert se lançait dans un jeu érotique aussi osé. Est-ce qu’il fallait que je l’arrête ? Qu’allait-il penser de moi si la future mère de ses enfants appréciait de se faire lécher le trou de balle ?
Je n’ai pas eu le temps de poursuivre mes réflexions, sa langue, maintenant en pointe, me perforait littéralement l’anus. Il était en train de me sodomiser le cul avec la bouche.
Le pire dans l’histoire ? J’adorais ça !
Je ne savais pas que cette partie de mon anatomie pouvait être aussi excitante, même si j’avais très peur de ce que les papilles d’Albert devaient vivre à ce moment-là. Ça a quel goût, un cul savonné ? Le sel, l’amer ou le parfum Vanille de Madagascar de mon gel douche ? En jetant un œil par-dessus mon épaule, j’ai vu qu’il avait une trique d’enfer. Ouf, rassurée ! Nous étions deux à apprécier les petits plaisirs honteux de l’anal.
J’avais envie qu’il me “nettoie” la face pile avec la même délectation. Je me suis retournée pour lui présenter mes seins, il les a caressés l’un et l’autre d’une main très douce. Je le branlais un peu en même temps, pour que sa trique conserve sa dureté. C’est agréable de toucher un pénis en érection sous la pluie de la pommette.
Avec l’eau, la main glisse parfaitement sur la peau, et la branlette gagne en sensualité. Ses petits bruits me prouvaient d’ailleurs qu’il appréciait plus qu’à l’ordinaire mon petit massage de teub’. « Mmmmh… mmmmh….mmmh ». Il laissait échapper des onomatopées que je ne lui connaissais pas, comme un drôle d’animal. Sa bite luisante, caressée par la cascade de la douche, me mettait de plus en plus en appétit.
À moi de le goûter ! Je suis descendue près de son entrejambe et j’ai fourré sa queue dans ma bouche. Ma main enserrait fermement son sexe pour bien le gainer et mes lèvres aspiraient autant qu’elles le pouvaient son pénis. Il sentait si bon.
Ses petites couilles ruisselaient et aspergeaient mon visage au passage.
J’en avais partout : sur le menton, les joues, les yeux. Alors que d’ordinaire, j’adore le sucer en le regardant tendrement dans les yeux comme une petite cochonne, j’étais bien contrainte, dans ces conditions, de les fermer pour pouvoir continuer ma fellation.
Albert et moi étions chaud-bouillant, il m’a demandé de me relever, et m’a à nouveau collée contre le carrelage froid.
Je me suis alors cambrée, sans même y penser. Sa bite est venue se plonger en moi, jusque dans mes profondeurs les plus intimes. Je le sentais écarter mon vagin et se mouvoir dans mon petit conduit qu’il connaissait si bien. Qu’est-ce qu’il est merveilleux de baiser sous la douche ! L’eau, les glissades, les sensations, tout semble beaucoup plus fort.
Tout d’un coup, la porte de la salle de bain s’est ouverte et un homme – un plombier, si l’on en croit sa tenue – s’est tout de suite affairé au niveau du lavabo. Sans même nous voir ! J’ai murmuré à l’oreille d’Albert « Mais qu’est-ce qu’il fout ici ? » Albert m’a alors expliqué qu’il avait programmé un rendez-vous pour régler nos problèmes de fuite… et qu’il lui avait ouvert la porte quand il était rentré ! Et puis qu’il l’avait oublié au moment où il m’avait vue nue sous la douche.
J’ai explosé de rire en silence ! « Quoi ? C’est absurde ! »
Notre technicien nous tournait le dos et ne semblait pas voir que face à lui, deux jeunes et beaux tourtereaux étaient en train de s’emboîter l’un dans l’autre. Albert n’était pas plus dérangé que ça par l’intrusion de cet inconnu dans notre intimité, il continuait à me donner quelques petits à-coups discrets.
Moi, je me retenais de rire et de tomber. Mais je trouvais la situation très excitante… j’avais toujours eu le fantasme secret de l’exhibition qui sommeillait au plus profond de moi. Et j’avais l’occasion de vivre pleinement mon fantasme.
Enfin, le plombier s’est aperçu de la scène insolite, alors qu’il s’allongeait sur notre carrelage pour observer les canalisations ! Quelques secondes nous suffirent pour décider avec Albert de la suite des événements.
Sans réellement d’hésitation, notre décision était prise : nous allions l’incorporer à nos jeux.
Comme il était allongé sur le sol, telle une proie attendant de se faire dévorer, je me suis mise à quatre pattes pour le chasser. J’ai d’abord touché très doucement sa jambe.
Il ne réagissait pas, un peu interdit, et surtout, conservait totalement le silence. « Ça vous dérange, si je regarde la qualité de vos outils. De tous vos outils ? » ai-je alors verbalisé, pour rendre la situation moins gênante.
Notre plombier semblait hésiter. Le pauvre, je suis sûre qu’il s’imaginait qu’il s’agissait d’une caméra cachée. Quelle est la probabilité d’arriver chez des inconnus et de les surprendre durant un moment de baise dans la salle de bain ? Cela ne devait pas lui être arrivé souvent dans sa carrière. Mais au bout de longues secondes, qui m’ont paru être une éternité, il a finalement lâché « Avec plaisir, si vous le souhaitez… aussi ! ».
Bien sûr ! Nous avions parfois évoqué avec Albert l’idée de faire un plan à trois. S’il a toujours eu quelques réserves, surtout par crainte de me perdre, l’idée l’a petit à petit grignoté… et là, nous avions enfin une occasion en or ! J’ai commencé à palper l’entrejambe de notre inconnu. J’ai tout de suite deviné à la dureté et à la grosseur de son engin qu’il avait dû nous mater depuis un petit moment tellement son sexe paraissait gros et imposant.
Pendant ce temps-là, Albert s’était positionné derrière moi, au niveau de ma croupe. Il commençait à m’enfoncer un doigt, puis un deuxième, et le souvenir encore brûlant de sa queue en moi qui me pilonnait contre la douche me faisait bien lubrifier.
Très doucement, comme si je ne voulais pas l’effrayer, j’ai dézippé le pantalon de notre hôte et j’ai enfin sorti son sexe, gros, imposant, hors de son pantalon. À peine extrait de sa combinaison, je l’ai mis direct en bouche. J’ai d’abord suçoté le gland, puis la tige, et enfin j’ai commencé à m’attaquer un peu aux couilles. Cela faisait très longtemps que je n’avais pas sucé une autre bite que celle d’Albert et cela me donnait quelques frissons.
J’essayais de comparer les deux membres à l’aide de ma bouche. La bite du plombier était certainement plus longue, mais moins grosse que celle d’Albert ! Et puis, elle avait un goût de transpiration, peut-être même un peu d’urine, aussi ? En tout cas, il était particulièrement bien gaulé et gâté par la nature. Tiens, voilà qu’Albert était maintenant en train de se positionner pour me baiser, en levrette.
En quelques secondes à peine, j’avais maintenant deux grosses bites en moi.
Et pas des petites s’il-vous-plaît ! Deux bonnes et grosses bites qui se mouvaient dans mes orifices, au rythme des envies et des désirs de deux beaux mâles.
Mes deux hommes étaient gentleman et le rythme était plutôt lent. Heureusement ! Tout doucement, chacun donnait quelques impulsions nouvelles, une petite claque sur le derrière, un petit mouvement latéral pour que le gland frotte sur ma joue.
Dans cette position, j’avais réellement l’impression de leur ouvrir en grand les portes de mon intimité.
Je ne pouvais plus m’échapper de leur emprise, j’étais prise en sandwich.
Et puis, quitte à se lancer dans les nouveautés, pourquoi ne pas inverser ? Je me suis embrochée sur la grosse bite du plombier et Albert a positionné sa belle queue dans ma bouche. Les sensations étaient incroyables.
Le plombier me prenait maintenant par les hanches et accentuait les à-coups. Bam. Bam. Bam. Je ne peux pas affirmer qu’il était aussi doux que mon Albert, mais sa poigne avait le mérite de me démontrer l’étendue de son talent d’homme de terrain.
La position était idéale pour que je me touche le clito ! Je me suis mise à me gratter le bouton comme une folle, la bite de mon mec en bouche, la teub de notre prestataire au chaud dans la chatte.
Jamais nous ne nous étions lancés dans autant d’excentricités avec Albert… et je dois avouer que cela me plaisait.
Je me suis levé deux petites secondes pour aller prendre un verre d’eau, près de l’évier. Je les ai regardé m’admirer tous les deux, comme si j’étais la reine des abeilles, et cette sensation sublime, celle d’être désirée par deux étalons en rut, me ravissait. Une fois ma soif étanchée, je me suis assise sur le plombier (qui n’avait toujours pas quitté son carrelage !), le dos bien cambré. Et là, j’ai osé une chose folle : je lui ai roulé une grosse pelle juste sous les yeux d’Albert.
Comment allait-il prendre mon geste ? Le baiser était-il sacré ? Mais j’ai vu aux étoiles dans les yeux de mon homme, et à son petit sourire en coin, que ça l’avait bien excité. Quel cochon ! Si j’avais su que ça le ferait bander de me voir dans les bras d’un autre homme, je me serais autorisée bien d’autres folies !
Albert, très tendre, nous a laissé quelques instants baiser à même le sol, avant de revenir, à nouveau derrière moi. Cette fois-ci, avec plus de détermination. Il avait un projet concret derrière la tête, je le sentais : s’occuper de mon petit cul. Il a enfoncé un doigt, à peine, une phalange tout au plus.
Comme il y avait fourré sa langue quelques minutes plus tôt, il a tout de suite été accueilli par un trou bien ouvert. Il a pu y glisser le doigt tout entier, puis en a ajouté un deuxième. C’était si bon de se faire baiser par les deux trous en même temps.
J’avais l’impression qu’Albert caressait la bite du plombier à travers la fine cloison entre ma chatte et mon cul. Bizarre comme sensation, non ? Peut-être que les adeptes de la double pénétration connaissent parfaitement cette drôlerie, mais en le sentant au fond de moi, j’ai compris que les quelques millimètres de chair qui les séparaient l’un de l’autre étaient tout à fait minimes.
Et puis, comme je l’avais pressenti, Albert a fini par y mettre sa bite. Alors, bien sûr, elle n’est pas rentrée si facilement. Les à-coups du plombier rendaient l’opération très délicate et l’un, et l’autre, se voyaient tour à tour expulsés de leur terrier. Mais petit-à-petit, avec une synchronisation des gestes, les deux ont réussi à s’entendre. Et j’ai senti, avec beaucoup de bonheur, mes deux trous se dilater en même temps.
Une double pénétration ! Un dans le cul, l’autre dans la chatte. Jamais je n’aurai cru que mon corps en aurait été capable. Mais avec de la douceur, il faut croire que tout peut rentrer. Mon Albert était d’ailleurs très prévenant à mon endroit, il me murmurait à l’oreille des mots bienveillants : « Tu es sûr que ça va ma belle Anna ? Je ne veux que ton bonheur, jamais je ne supporterai de te faire du mal. Si tu veux arrêter, on arrête tout de suite. Un mot, un regard et c’est fini. »
J’ai tourné mon cou comme je pouvais en sa direction, et nous avons échangé le plus beau des baisers depuis l’histoire de notre couple.
Et puis, il s’est reculé, a empoigné une mèche de cheveux autour de son poignet et s’est mis à me besogner bien comme il faut dans le cul.
Tout le monde chauffait, les bites étaient frémissantes et je sentais bien que mes mâles frôlaient l’orgasme. On n’allait pourtant pas s’arrêter si vite… Alors sans attendre, j’ai fait un T avec les mains. « Temps mort les gars, et si je vous suçais à la place pour faire retomber la pression ? » Dépités sur le coup, ils ont échangé un regard complice avant de s’installer de part et d’autre de mon visage… et comme on le voit parfois dans les films porno, je me suis mise à faire l’essuie-glace avec ma bouche : un coup à droite, un coup à gauche.
Les deux n’avaient pas du tout le même goût ! Normal, les deux grottes étaient bien différentes. Tandis que le plombier avait le goût acide et doux de ma chatte, Albert, lui, portait le parfum très terreux et salé de mon cul.
Mais le mélange des deux saveurs, en bouche, était assez plaisant. En tout cas, cela m’amusait de savoir que tous les fluides de mon corps se retrouvaient maintenant sur mes papilles. Et puis, on a recommencé un peu la double péné. Cette fois-ci, debout. Les deux hommes plombier me soulevaient par les cuisses.
Le plombier s’est occupé de l’arrière, quand Albert a privilégié l’avant. Pas de jaloux : l’un et l’autre avaient occupé mes trois orifices et avaient pu tester celui qui lui convenait le mieux. J’étais en lévitation, empalée leur chibres. Nous avons réussi à rester quelques minutes comme ça, en équilibre précaire, avant de nous écrouler par terre en riant.
Manifestement, le plombier aimait tellement mon cul qu’il est resté planté dedans, comme un hameçon dans un saumon. Bam. Bam. Bam. Mon anus était tellement dilaté qu’il me limait sans mal.
Albert, lui, a décidé de réinvestir ma bouche. Je crois que le petit coquin avait envie de profiter de la vue panoramique que cela offrait sur mon corps en train de subir les assauts du plombier. Ça le faisait super bander de voir sa jolie petite poupée se faire remplir le cul par la bonne bite d’un mâle qui passait dans le coin.
Peu à peu l’épaisseur de la bite du plombier s’est faite de plus en plus forte, j’ai senti qu’il allait jouir. Ses mouvements étaient plus brutaux, plus saccadés, et dans les secondes qui suivirent, j’ai entendu un long « Aaaaaah » qui nous a arraché un sourire complice, à Albert et à moi.
Albert contemplait maintenant mon cul, le plombier avait balancé de la sauce partout sur le pourtour, il y en avait des litres. Mais depuis combien de temps n’avait-il pas fait l’amour ? Avait-il seulement une petite femme qui l’attendait à la maison ?
« À moi ! À moi ! » s’est écrié Albert qui avait lui aussi très envie de jouir. Je lui ai prêté ma langue comme réceptacle à son foutre salé. Je la tirais le plus loin que je pouvais, tout en le regardant droit dans les yeux en même temps. Derrière moi, j’entendais le plombier, toujours aussi taiseux, qui s’essuyait la bite avec son chiffon de travail sans pour autant perdre une miette du spectacle.
Quel garnement celui-là !
Albert n’a pas mis longtemps à me juter en bouche. Tout son foutre a repeint ma gorge et j’ai avalé le tout sans en laisser une goutte.
Voilà ! La prestation était finie et nous avons remercié chaleureusement notre plombier pour sa compréhension et ses qualités indéniables d’amant. Il pourrait revenir une prochaine fois pour ce problème de canalisation, rien n’urgeait.
À peine a-t-il eu refermé la porte de la salle de bain en murmurant, un peu gêné « Ne vous dérangez pas, je connais le chemin ! Au revoir ! » que nous nous sommes précipités dans la cabine de douche pour nous nettoyer !
Nous riions et plaisantions sur ce qui venait de nous arriver. C’était si improbable. Et il m’a murmuré, à l’oreille, qu’avec ce qu’il venait de se passer, il en était sûr à 100% : j’étais la future mère de ses enfants…