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L’hymne à l’amour
20 février 2025Puisque Madame a des souhaits de plans à trois conjugués au féminin, Vincent va joindre l’utile à l’agréable en exauçant le vœu de sa belle épouse. Que ne ferait-on pas par amour ?!
Vincent est un homme heureux, Kim, son épouse, est une femme magnifique avec une libido exacerbée. Jeunes mariés, le sexe occupe une grande partie de leur temps libre, mais la jolie blonde au corps de rêve a d’autres fantasmes, des souvenirs de ses années de pensionnat qui reviennent la hanter la nuit et qui la réveillent, l’entrejambe trempé, les seins pointés, gonflés et douloureux.
Dans ces instants d’excitation ultime, seule la masturbation vient à bout de ses désirs brûlants et saphiques. Mais quel homme ne souhaiterait pas combler sa compagne ?
La suite qu’ils avaient choisie était somptueuse, l’hôtel l’avait décorée avec des touches japonisantes très chics et c’est sous le regard tout à la fois complice et curieux de Kim que les premiers élans prirent leur envol.
Vincent enlaça Marine. Cette dernière, d’ordinaire enjouée, en devint presque grave. Ses paupières charbonneuses s’abaissèrent et c’est comme si tout son corps avait basculé en mode « amante de feu ».
Elle posa une main sur le torse de ce mâle au parfum ambré, sûr de lui, qui lui explora directement les fesses. Le petit cul, ceint d’une jupe en jean, tenait ses promesses, ferme et docile, il se laissa palper et caresser avant que Kim ne les rejoigne, bien décidée à passer au chapitre suivant.
Il ne fallut que quelques secondes à ces deux femelles pour encercler leur proie, s’attaquer à la braguette de pantalon et en extraire un pénis déjà en érection et qui, ô joie pour Marine, affichait une longueur et une épaisseur tout à fait en adéquation avec ses attentes gourmandes. Amatrice de grosse queue, elle allait être gâtée.
Après avoir souligné la chance que Kim avait, les deux bouches féminines et pulpeuses se posèrent de part et d’autre de la colonne de chair. Elles firent coulisser leurs lèvres tout le long des côtés de la hampe, masturbant un Vincent ravi, sans avoir recours à leurs mains !
Honneur à l’invitée, c’est Marine qui fut la première à prendre l’énorme vit en bouche.
Écartant les pans de la culotte, elle trouva un abricot pas tout à fait entièrement lisse – la belle blonde avait en effet conservé un triangle de poils clairs et taillés très ras sur le pubis – mais en revanche terriblement mouillé. C’était le signal attendu par tous, le trio monta sur le lit, les choses sérieuses pouvaient commencer. Marine s’allongea à plat dos, la gorge désormais envahie par la bite volumineuse de Vincent qui s’enhardit.
Posant une main sur la chevelure bouclée, il imprima un mouvement de va-et-vient, baisant cette bouche comme s’il s’était agi d’un vagin au fond duquel une langue malicieuse venait lui taquiner le frein et le gland.
Pendant ce temps, opportune, Kim n’avait rien abandonné de son objectif et, écartant un peu plus la culotte de son amie, c’est avec un appétit non dissimulé qu’elle a commencé à lécher le con offert. Les nymphes roses s’ouvrirent de bonne grâce, elle titilla le bourgeon encore timide et la petite étamine sensible se gorgea de sang, faisant émerger une magnifique stalagmite luisante de cyprine et de salive.
Gênée par le string couleur chair, elle fit glisser le fin coton le long des cuisses, libérant ainsi tous les orifices de son amante qui propulsa ses longs fuseaux en arrière. Vincent la saisit par les mollets et donna l’opportunité à sa femme d’aller explorer en profondeur et jusque dans les moindres recoins, le sexe et l’anus poudré de Marine, toujours affairée sur son mât et ses bourses lisses et douces.
Kim n’eut pas à attendre longtemps, sa minette eut très rapidement l’effet escompté, enfilant ses doigts dans le vagin serré, elle crocheta ses phalanges afin de stimuler la zone légèrement grainée du fourreau qu’elle léchait avec entêtement et Marine succomba à son premier orgasme. Une volupté interminable et diffuse qui se propagea dans tout son corps, hérissant sa peau d’une chair de poule divine, la laissant dans une torpeur que seul le firmament du plaisir sexuel peut offrir.
C’est la main opportune de Kim qui guida l’engin vers sa zone de lancement. Le gland bien ajusté, elle le frotta à l’orée du sillon qui perlait de désir. Elle n’en revenait pas de l’excitation qu’elle ressentait alors qu’elle s’apprêtait à enfiler elle-même le braquemart de son mari dans une autre chatte que la sienne.
Le corps de déesse de Marine s’abaissa lentement et elle regarda avec fascination la tige tant aimée de Vincent disparaître dans le brasier sirupeux jusqu’aux couilles.
L’apathie calculée de la pénétration la fit frissonner, elle toucha son propre sexe, il était noyé dans un flot de cyprine parfumée et délicieusement huileuse. Elle se doigta jusqu’à l’orgasme, ne quittant pas des yeux la danse sublime qui se déroulait à quelques centimètres de son visage.
Le duo resta un moment dans cette posture, les protagonistes tirant un plaisir visible à cette chevauchée torride, les petites lèvres de Marine dessinaient les contours tout en arabesques de la couronne du gland, le prépuce se rétractait et recouvrait le fruit en alternance. Kim reprit son cunnilingus, sa langue allant des bourses de son homme au clitoris de leur amante commune.
Elle alla même jusqu’à taquiner l’anus de Vincent qui écarta les fesses, trop content de recevoir sa caresse favorite, une feuille de rose, la première qu’il obtenait tout en ayant sa queue profondément fichée dans un vagin aussi étroit que lubrifié.
Le combo pénétration, léchage de bourgeon eut très rapidement raison du plaisir de Marine qui partit pour un second orgasme, encore plus ravageur que le premier, cette satanée langue continuant de butiner sa perle alors que tout son corps était en proie à un insupportable délice.
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Elle bascula sur le côté, offrant son dos et ses globes à Vincent. Avait-il la berlue ou Marine était-elle bien en train d’assouplir sa petite rondelle avec son index et son majeur ?! Qui ne tente rien n’a aucune chance d’obtenir quoi que ce soit, il poussa son avantage et lança sa queue un peu au hasard. Victoire, la belle blonde s’en saisit et se l’enfila directement dans le cul !
Il n’eut plus qu’à donner un coup sec avec ses hanches et il se retrouva à sodomiser Marine.
Kim comprit immédiatement ce qui se déroulait entre les cuisses de leur hôte et vint poser sa jolie moule toute lisse sur son visage.
Mais les filles réalisèrent vite que ces acrobaties ne mèneraient à rien et décidèrent de concert de se faire du bien en soixante-neuf, chacune s’occupant de la chatoune de l’autre tandis que Vincent reprenait le chemin du tunnel serré de Marine, ses grosses bourses juste au-dessus du profil angélique de sa moitié.
Chacune leur tour, elles se mirent en position de dominante et de soumise, permettant au seul homme présent d’enculer tantôt l’une, tantôt l’autre.
Les anneaux s’ouvraient sans difficulté, parfois une langue abandonnait sa cible privilégiée pour venir se darder sur le scrotum qui s’agitait au rythme des coups de reins.
La chambre n’était plus remplie que par les gémissements des femmes et les bruits mouillés des lapements avides.
Un parfum de sexe flottait dans l’atmosphère, mixologie olfactive subtile où se mêlaient les odeurs des deux cyprines, l’une légèrement acidulée, la seconde plus florale, le tout rehaussé par les fragrances musquées des anus que Vincent continuait d’explorer sans relâche.
Il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il avait une chance folle à voir ainsi son épouse le laisser baiser une autre femme, mieux même, c’est elle qui écartait les fesses de Marine afin de frayer un passage à sa queue et lui permettre de fouiller le puits serré jusque dans ses abysses.
Surplombant ces deux nymphes au sexe et au petit trou exposés, il n’eut plus qu’à incliner son énorme dard et à, de nouveau, enculer en alternance Kim et Marine.
Cette position eut raison de son endurance, l’excitation était trop forte. Il sentit le foutre monter dans sa colonne.
Les filles le supplièrent de se retenir encore un peu et se ruèrent sur l’engin qui commençait à décharger.
Elles firent un festin de son sperme chaud et crémeux.