Ma meilleure co(pine)

La rédaction 17 juillet 2025

Je m’étais installée sur le canapé blanc, une brochure de massage entre les mains. Il faisait très chaud et la lumière tamisée filtrait à travers les vitres opaques, enveloppant la pièce d’une douceur feutrée. Je laissais mon esprit vagabonder au fil des pages, imaginant des mains expertes glisser sur une peau nue, délasser les muscles, éveiller les sens. Mon imagination turbinait à vitesse grand V !

Quand Julie et Thomas sont venus me rejoindre, cela n’a rien arrangé. Assis juste à l’autre bout du canapé, Thomas caressait nonchalamment la cuisse nue de Julie tout en me regardant.

Julie et moi avions partagé la même chambre en résidence universitaire. Insaisissable, solaire, imprévisible, elle était restée une amie proche, avec une complicité qui flirtait parfois avec l’ambiguïté. Elle avait rencontré Thomas après nos études.

Grand, sûr de lui, charmeur, il s’était naturellement fait une place dans notre duo, sans jamais en briser l’équilibre. Je savais qu’il m’aimait bien. Peut-être trop… Parfois, je surprenais son regard, la façon dont il me détaillait quand Julie ne regardait pas. Mais en fait elle voyait tout et j’avais l’impression qu’elle jouait avec ça, qu’elle trouvait du plaisir à entretenir cette tension entre nous.

Je feuilletais distraitement la brochure, effleurant une image où des mains habiles massaient une nuque offerte.

– « Tu sais faire des massages ? » ­demanda Julie, rompant le silence, un sourire mutin aux lèvres.

– « Un peu », répondis-je en haussant les épaules.

– « Montre-nous, alors. »

Son ton était léger. Presque innocent. Thomas m’observait, silencieux, attentif au moindre de mes gestes. Julie, toujours assise sur ses genoux, sa silhouette blonde mise en valeur par la lumière, me fixait avec amusement. Ses cheveux raides effleuraient ses épaules nues. Sa peau irradiait une chaleur troublante.

– « Tu nous mates ? » lança-t-elle, espiègle.

– « Peut-être… » murmurai-je avec un sourire.

Elle rit, un son bas, taquin. Puis, sans prévenir, elle se pencha vers moi. Son regard accrocha le mien une fraction de seconde. L’air sembla se charger d’électricité. Puis ses lèvres trouvèrent les miennes. Le contact fut brûlant. Une main glissée derrière ma nuque, elle m’attira contre elle, pressant ses lèvres contre les miennes avec une faim qui me fit trésaillir. Sa langue s’immisça entre mes lèvres.

Derrière elle, Thomas observait.

Julie mordilla ma lèvre avant de l’aspirer doucement entre les siennes. Un frisson me traversa. Je lui rendais son baiser tant bien que mal, inquiète, tout en restant heureuse que notre relation bascule dans quelque chose de plus intime. Et ceci à jamais. Julie avait toujours représenté pour moi un modèle de féminité, et peut-être aussi, que j’en ressentais une forme de jalousie.

En sentant le ballet de sa langue contre la mienne, je me sentais très flattée de devenir à mon tour objet de désir. Cette sensation, d’être admirée, choisie, aimée.

Elle se recula à peine, nos souffles entremêlés.

– « Ça t’a plu ? » souffla-t-elle.

Je ne répondis pas. Je repris sa bouche, l’attirant plus fort contre moi. Un soupir échappa à Julie lorsqu’elle se blottit un peu plus contre Thomas, son corps glissant contre le sien dans une invitation silencieuse. Mais mon attention fut happée par autre chose.

Une main, celle de Thomas, glissée contre ma cuisse, effleurant ma peau dans une caresse hésitante. Je ne bougeai pas, laissant ses doigts remonter lentement, explorer l’espace interdit entre mes jambes.

Chaque frôlement envoyait une onde de chaleur à travers mon ventre. Sans un mot, j’écartai légèrement les cuisses. Ma chatte lui était offerte et il a trouvé facilement les points les plus sensibles de mon anatomie. J’adorais sa façon précise et délicate de me masturber.

J’ai fermé les yeux, savourant cette exploration transgressive avec délice. Est-ce que Julie avait la même chatte que la mienne ? Comparait-il alors nos clitoris, la taille de nos lèvres, la couleur de notre intimité ? J’essayais de chasser ces questions de mon esprit, de me reconcentrer sur mon plaisir. Il était doué et, petit à petit, un orgasme commençait à poindre le bout de son nez.

Julie, tête basculée sur son épaule, yeux mi-clos, regardait avec tendresse la scène. Ça ne devait pas être la première fois qu’elle voyait son homme s’occuper d’une autre femme, car elle le regardait avec beaucoup de douceur. Je l’observai, fascinée, alors qu’elle descendait ses lèvres vers la bite tendue que Thomas avait libérée de son jean.

Il se raidit sous elle, ses doigts se refermant légèrement sur ses hanches. Julie effleura du bout des lèvres son sexe dressé. D’un geste lent, calculé, elle laissa sa bouche l’accueillir, savourant la sensation contre ses lèvres entrouvertes.

Thomas laissa échapper un soupir rauque, ses doigts glissant dans la chevelure blonde sans jamais la forcer.

J’aimais assister à leur complicité discrète, comme un spectacle près de moi, qui se déroulait à mon insu. Puis je me suis dit que c’était mon tour ! J’avais moi aussi envie de goûter à cette queue dressée. Je me suis retournée vers eux et j’ai fait un signe tacite en direction de Julie pour lui demander si je pouvais moi aussi m’occuper de son homme. Elle a fermé les yeux et j’ai enfourné la bite de Thomas dans ma bouche tandis que Julie s’occupait de lécher mon entrejambe.

À la façon dont elle me dévorait, à son envie pressante, je senti qu’elle n’était pas à son premier coup d’essai. Elle avait dû avoir des aventures avec plein de filles et elle me l’avait toujours caché.

J’étais à deux doigts de jouir sous sa langue, quand elle s’est relevée pour murmurer près de mon visage.

– « Tu aimes partager ? » souffla-t-elle contre ma bouche.

J’ai hoché la tête, et sans un mot de plus, nous nous sommes partagé le sexe dur de son homme. Un coup dans sa bouche, un coup dans la mienne. C’était amusant de voir nos deux salives se mélanger sur la même queue et surtout c’était terriblement excitant. Je voyais dans son regard amical qu’elle adorait faire plaisir à son homme et, en même temps, jouer avec son membre comme s’il s’agissait d’un accessoire à filles. J’avais l’impression, régressive, que nous nous “battions” pour un jouet, chacune cherchant à obtenir les faveurs de cette queue. Alors qu’elle s’occupait du gland, je m’occupais des bourses, puis nous alternions, comme deux lionnes, devant un morceau de viande. Thomas ne retenait plus rien. Son corps entier vibrait sous nos attentions conjuguées.

Il s’est redressé, soudain, pour changer de position.

Dans la bascule, je me suis retrouvée allongée sur le dos, les jambes légèrement au-dessus de mon torse. Un frisson me parcourut lorsque je sentis ses mains, fermes, possessives, glisser le long de mes hanches. Sans plus attendre, son sexe s’insinua en moi. Je relevais ma jupe en jean bien au-dessus de mes hanches pour lui laisser le plus de latitude possible. Chaque caresse, chaque pression s’insinuait dans mon ventre comme une vague brûlante. Ses coups étaient secs, précis. Je ne pouvais retenir les gémissements plaintifs et aigus qui sortaient de ma bouche. Il était endurant ce Thomas et je comprenais enfin pourquoi Julie l’avait choisi parmi tous les autres hommes qui bavaient à ses pieds.

– « Il te fait du bien mon homme, non ? » commenta-t-elle taquine.

C’était un bon résumé de la situation.

Mais je sentais qu’elle ne voulait pas non plus être délaissée. Elle se redressa légèrement, m’attirant à elle, ses doigts jouant avec mes mèches de cheveux. Elle m’invita à explorer son sexe brûlant avec ma bouche. Je sentais son corps frissonnait sous mes attentions. J’ai enfoncé ma langue dans ses chairs, au plus profond de son vagin.

Je la découvrais d’une façon totalement nouvelle, et je dois dire que j’adorais ça. C’était impressionnant de voir chaque partie de son anatomie se tordre et vibrer au rythme de mes pressions. Pour ma part, c’était la première fois que je léchais une fille et je pense que je m’en suis sortie honorablement. En tout cas, au son des gémissements de Julie, ça semblait être le cas.

Derrière moi, Thomas se mouvait avec une maîtrise contenue, son rythme se fondait avec le nôtre, chaque mouvement amplifiant la chaleur qui nous enveloppait. L’alchimie était totale, chaque sensation s’entrelaçait dans une belle harmonie.

– « Ne m’en veux pas… je t’abandonne quelques instants, sinon Julie va m’en vouloir » glissa Thomas dans mon oreille, avant de se retourner vers ma copine. Il en avait manifestement terminé avec moi et était prêt à s’attaquer aux parties intimes de sa chérie. Il s’approcha derrière elle, ses mains effleurant sa taille avec une lenteur étudiée. Il la fit basculer légèrement en avant, l’incitant à s’offrir, sa silhouette baignée par la lumière. Julie se cambra, un sourire effleurant ses lèvres alors que son regard trouvait le mien, chargé de malice et d’un désir brûlant.

Nos bouches se retrouvèrent avec avidité, un baiser d’abord lent, puis plus fiévreux, plus insatiable. Sa langue glissa contre la mienne avec une douceur taquine avant de descendre, effleurant ma peau, semant une traînée de frissons sur son passage. Elle visait mon entrejambe, encore une fois. Pas de doute, ma Julie que je connaissais depuis si longtemps était une vraie bouffeuse de chatte ! Je retrouvais, avec beaucoup de plaisir, ses lèvres contre la partie la plus intime de mon anatomie.

Derrière elle, Thomas se mouvait lentement, s’imprégnant du rythme, ses mains maintenant fermement la cambrure de ses hanches. Je profitais de ces mouvements qui obligeaient Julie à enfoncer son nez et son visage encore plus profondément entre mes deux cuisses. Le contraste entre sa posture soumise et la domination subtile qu’elle exerçait sur moi par ses lèvres et sa langue créait une tension exquise. Thomas s’est mis à commenter la situation en nous livrant de jolis compliments comme des mots plus crus. « Ah mes petites catins, vous êtes trop belles ! » « Bravo ma Julie, tu es vraiment une bonne lécheuse de moule.

Ta copine a le visage rouge de plaisir. » J’aimais bien entendre sa voix et sa verve salace. Quelque part, je le voyais comme un professeur un peu pervers, excité à l’idée que sa femme donne du plaisir à une autre. Qu’elle devienne, le temps de quelques minutes, le jouet de plaisir de deux personnes à la fois. Je ne sais pas si un de mes précédents amants aurait accepté d’être aussi partageur que Thomas. Il faut quand même une sacrée estime de soi et un vrai amour pour sa partenaire.

Julie était vraiment forte avec sa langue.Mes cuisses se sont contractées, mon souffle s’est accéléré, j’allais jouir… mais elle s’est arrêtée brusquement, d’un coup.

Zut, je me suis redressée sur mes coudes, un peu frustrée. C’est le moment qu’à choisi Thomas pour changer une nouvelle fois de position ! Il s’est assis, triomphant, entre nous deux, puis a appelé mon corps à se joindre au sien. Je l’ai enjambé et me suis lentement enfoncée sur lui, le regard plongé dans ses yeux. Il avait un air dur, autoritaire. J’adorais le voir maîtriser si bien la situation, là où la plupart des hommes se seraient senti submergés par ces deux corps féminins. Il me tenait par les hanches, fermement, me laissant le soin de trouver mon rythme. Mon bassin se mouvait lentement, trouvant son tempo contre celui de Thomas, chaque mouvement amplifiant le frisson qui parcourait ma peau.

Julie, toujours aussi joueuse, ne se contentait pas d’être spectatrice. Ses lèvres effleurèrent ma nuque, glissant sur mon dos dans une caresse féline, traçant des sillons invisibles du bout de la langue. Puis, elle a plongé sa langue à l’endroit le plus secret de mon anatomie : mon anus. Elle s’est faufilée directement derrière moi, au creux de ma raie, dans les plis et replis sinueux de mon cul. Un frisson délicieux me parcourut alors que ses mains écartaient mes chairs et que ses baisers descendaient toujours plus bas.

Le contraste entre la pression du corps de Thomas en moi, la chaleur de ses mains sur mes hanches et la douceur des lèvres de Julie contre ma peau créait un vertige exquis. Chaque souffle, chaque frôlement, chaque sensation se fondait dans une alchimie parfaite, un équilibre troublant entre abandon et contrôle.

Julie ne se contentait pas de lécher mon petit trou de balle, elle me donnait dans le même temps des petites fessées et me mordillait le cul. Cela fit rugir Thomas : « Est-ce que tu peux te montrer plus douce pour une fois ? » En réalité, j’adorais qu’elle se sente aussi à l’aise pour explorer les aspects plus dominants de sa personnalité, mais je les ai laissé faire. Ils avaient certainement leurs codes, leurs règles, et je ne voulais pas m’immiscer là-dedans.

Mais quand même, je dois bien le reconnaître : c’est la première fois que l’on s’occupait de mon petit cul avec autant de talent.

Mes mains s’accrochèrent alors aux épaules de Thomas. Sa bite dure, solide, écartelait les muscles de mon antre et j’aimais jouer avec la pression pour le comprimer à son tour. Il gémit alors, en révulsant ses yeux.

J’avais un réel pouvoir sur lui, son plaisir, et je dois bien avouer que j’aimais ça ! Julie, espiègle, continuait ses explorations, attisant un feu qui ne demandait qu’à s’embraser davantage. Mais je sentais qu’elle avait envie de participer plus activement au trio, de ressentir à nouveau son homme en elle.

Thomas s’est écarté de moi pour aller s’installer quelques centimètres plus loin et attraper Julie par la hanche. Cette dernière, le regard brûlant, se laissa guider, son corps ondulant contre celui de son homme. La lumière tamisée soulignait la courbe de son dos, la cambrure subtile qui invitait au désir.

Elle se mouvait avec une lenteur calculée, savourant chaque frisson, chaque réaction qu’elle déclenchait. Thomas, sous elle, laissait échapper des soupirs rauques, ses mains épousant la forme de ses hanches, l’accompagnant dans ce ballet sensuel. Le canapé devenait le théâtre de leur abandon, un espace où chaque mouvement trouvait son écho dans le souffle de l’autre.

Je les observais, fascinée par cette alchimie brute, cette comminterstron.ru où ils se laissaient aller à leur plaisir et où ils partageaient une complicité rare, dans une intimité des plus désarmantes. Julie se pencha légèrement en avant, nos regards se trouvant, son sourire espiègle trahissant le jeu qu’elle instaurait.

Puis Thomas accéléra le rythme. Lui seul menait la danse et je senti qu’il voulait arriver au bout de son exploration et que sa séance de luxure, avec ses deux charmantes accompagnatrices, touchait à sa fin.

Chaque mouvement amplifiait la tension qui emplissait la pièce, j’assistais à une montée inexorable vers l’abandon total. Thomas, submergé par l’intensité du moment, se tendit sous elle, son souffle saccadé témoignant de l’instant où le plaisir atteignait son paroxysme. Il était en train de jouir et d’éjaculer son jet blanchâtre partout sur le cul de Julie, et sur le canapé.

Sans hésitation, je me suis approché, accueillant cet ultime frisson. J’ai ouvert grand la bouche et fait quelques mouvements avec ma langue pour récolter les gouttes.

Le sperme de Thomas avait un goût salé et une texture épaisse. Je léchais mes lèvres avec avidité, heureuse de sentir son jus sous ma langue. Julie me regarda, complice, effleurant ma joue du bout des doigts, alors que le silence retombait lentement. Que pensait-elle de moi à ce moment-là ? Se disait-elle, comme moi, que notre amitié avait totalement basculé et que plus rien ne serait comme avant ?

Pour ma part, j’étais heureuse que notre relation bascule dans une forme plus profonde et plus intime. Et que je devienne, d’une certaine façon, leur confidente. Comme une petite souris au sein de leur couple si parfait. Je les avais trouvés très beaux tous les deux, très sexy.

Thomas est resté un moment amorphe et un peu en retrait, tandis que Julie s’est rapprochée de moi.

– « Alors, c’est ça ta définition d’un massage ? » s’est-elle, amusée, sur un ton complice.

C’est vrai que la brochure m’avait donné quelques idées… mais mes amis m’avaient offert un frisson qui allait bien au-delà de mes espérances.

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