Scène de ménage

La rédaction 23 janvier 2021

Pour payer ses études, Paola fait des ménages dans de belles demeures. Aujourd’hui, le fils de la maison est seul dans la villa. Une bonne occasion pour elle d’aller plus loin avec ce garçon qu’elle avait déjà repéré… Argument de choc, la demoiselle sait jouer de sa croupe et de sa langue. Elle ne va pas ménager sa peine pour arriver à ses fins.

Je m’appelle Paola, je suis étudiante et voici mon histoire érotique.

C’est vrai que ce petit boulot me permet de mettre un peu de beurre dans les épinards, comme on dit, mais franchement, je n’ai pas non plus fait des études de comptabilité pour ça ! Que voulez-vous… En attendant de trouver un vrai travail, c’est la crise pour tout le monde !

Enfin, ce n’est pas parce que je fais la boniche pour les riches que je dois me laisser aller non plus… Je mets un point d’honneur à travailler dans de petites tenues sexy tous les jours, peu importe le client. C’est mon style, ma signature. Mais quand j’ai compris que le fils des Tran était resté dans leur villa tout seul pour le week-end entier, je me suis dit que j’allais mettre le paquet… C’est qu’il m’avait toujours bien plu ce petit jeune homme ! Au début, je me suis affairée dans les chambres, je n’osais pas le déranger, il était en train de travailler…

Au bout d’une heure, il a bien fallu que je me mette à récurer le salon. Mon micro-short de coquine est devenu mon meilleur atout. Je me suis acharnée à tendre ma croupe le plus en arrière possible pour lui faire lever les yeux. Pshit pshit, un coup de pulvérisateur par-ci, pfiout pfiout, un coup de lingette qui grince sur la table en verre par-là… La température montait bien vite dans le living… Et pourtant, il y avait la clim ! J’avais déjà pas mal bossé et j’étais presque sûre que ma petite fleur intime devait lui titiller les narines. Il m’a fait une petite blague, pas gêné, genre : « Très en beauté aujourd’hui Paola, et quelle odeur ! Vous portez un parfum particulier, n’est-ce pas ? »

Je le savais bien qu’il m’avait sentie passer… Je lui ai souri, feignant la surprise. J’ai joué l’effarouchée, pendant quelques secondes. « Mais enfin, que voulez-vous dire ? Moi, je ne sens rien de particulier. Ça doit être mon déo… Ou alors le produit d’entretien ? » Il s’est levé. Très direct. « Non, je crois que cette charmante senteur vient du plus profond de votre être… Mais d’où précisement ? » Il s’est mis à me fouiller au corps. Il avait bien compris où je voulais en venir avec mon micro-short… Il a tâté mes poches, il est remonté le long des mes hanches et m’a tout simplement relevé le t-shirt pour dévoiler mes petits nichons d’amour, bien mis en valeur par mon meilleur soutif.

Effectivement,  ma minette toute trempée commençait à exhaler des fragrances bien épicées. Je ne me suis pas privée pour vérifier vite fait que le fils Tran était dans le même état que moi. Ma main a frôlé sa braguette et j’en ai eu la confirmation ! Sa bonne queue était déjà au garde-à-vous. Plus aucun doute sur ce qui allait suivre…

Galvanisé par ma subtile caresse, il a complètement retiré mon top et s’est baissé pour venir humer ma croupe en feu. Il respirait très fort. Je me suis débarassée de mon soutard et il s’est occupé de mon petit short putassier. Quand il a commencé à tirer dessus, j’ai très clairement senti que la mouille débordait  de mes lèvres. Il s’est félicité d’avoir enfin trouvé l’origine de cette « bonne odeur des bois ». Il a passé une main sur mes fesses toutes douces et a glissé un doigt dans ma chatte en eau. Je n’en pouvais plus… Je me suis baissée, il s’est relevé, j’ai dégainé sa grosse queue et me suis mise à le pomper. Il était bien foutu le petit Tran !

Miam miam, je lui ai tout bien bavé sur sa hampe de lancement en orbite. J’aime faire tourner ma langue autour du gland. Il a soupiré comme une pucelle. Bizarrement, ça m’a excitée encore plus. J’ai gobé tout le gros morceau. Je le voulais dans ma gorge chaude… Mais lui aussi, il voulait de ma petite chatte.

 Il m’a retournée comme une crêpe sur le canapé. Les fringues ont volé et nous nous sommes mis en 69. Mon dieu, qu’il était bon ! Je couinais sur sa tige pendant qu’il flattait mes orifices. Je me frottais contre lui, façon body-body. Je faisais doucement crisser la pointe de mes ongles sur ses couilles toutes dures. Il manipulait mon derrière comme un jouet, il avait une force facile et sûre. J’adore. La cyprine me dégoulinait sur les cuisses…

D’un coup, il m’a voulue, comme un cheval fou ! Il m’a soulevée au-dessus du sofa comme si je ne pesais pas plus qu’une plume… et il m’a tout simplement plantée sur son mât. Ma chatte a englouti le manche brûlant dans un bruit de succion dégueulasse et excitant. Enfin ! Ohlala que c’est bon de s’en prendre une, les copines ! Son missile est monté lentement en moi, centimètre par centimètre. J’ai tout senti passer. Il a bien étiré mon boule pour augmenter nos sensations.

Pas de doute, le garçon me remplissait à plein ! « On est complet ! » Le piston s’est mis à me coulisser dans le fourreau poisseux. La tête du petit alien venait me chatouiller le fond de la grotte, ça cognait là-dedans… Ma petite chatte serait-elle trop étroite pour le joli monstre ? Mais non… J’en ai pris d’autres, voyons ! J’avais l’impression que plus il descendait mon bassin le long de son serpent, plus la chose se repliait dans mon antre et me fouillait de fond en comble. Quel délice… J’aurais voulu qu’il me pousse le matos jusqu’à l’estomac.

Les mouvements se sont faits plus saccadés, toujours plus violents. On avait trouvé le bon rythme. Je m’éclatais sur mon joujou. Il me susurrait des mots d’amour très sensuels auxquels je ne comprenais absolument rien, et pour cause, c’était du vietnamien ! Je me laissais aller, j’avais l’impression de baiser un mec des Triades.

J’ai poussé la machine à fond, j’allais lui en donner pour toute la semaine. Je voulais le vider de toute son énergie. Mais il avait déjà d’autres plans le garçon ! Il m’a saisie par les cuisses et m’a soulevée à nouveau pour changer de position. Sa queue a fait « schflopk » en sortant de mon tunnel. Et hop ! Tourniquet. En une seconde, je me suis retrouvée dans l’autre sens. Il commençait quand même à soupirer très fort, on approchait doucement de la jouissance. Son joli membre bien sombre est revenu se caler dans ma chatte comme s’il ne devait plus jamais en ressortir. C’était sa place, après tout !

Il a recommencé à me besogner comme si je pesais 100 grammes. Quelle santé, ce petit fruit exotique ! Bang bang bang ! J’en prenais plein la chatoune ! Le piston farceur fonctionnait à plein régime. Ses couilles ballotaient et venaient taper sur mes lèvres surgonflées, le bonheur. Plus c’est impromptu, plus c’est sauvage, n’est-ce pas ! Et là, une claque bien appuyée des deux mains sur mes fesses, wahou ! Il m’a basculée et nous sommes passés en levrette.

Il m’a chopé le cou comme une chienne pas sage et a poussé toute sa camelote luisante dans ma fente en feu. Il me baisait si fort que  j’en avançais sur les coussins en cuir dans un bruit du tonnerre. Un homme, un vrai, un dur, un tatoué. J’ai enfoui la tête dans le cuir du canapé et j’ai pris ses couilles en main pour maîtriser son rythme et faire frotter mon poignet sur mon clitoris au passage. On est pas des bêtes non plus ! Enfin si, mais vous voyez quoi… Plus j’écrasais son petit paquet plus il allait loin dans moi. Il couinait le petit Tran. Il allait me balancer sa crème d’homme. Mais je n’allais pas gâcher un si grand plaisir.

Cette fois, c’est moi qui me suis dégagée pour me mettre face à lui. Il s’est levé, je me suis agenouillée et je l’ai branlé à trois mille à l’heure en caressant ses prunes d’amour. Il a levé la tête, tétanisé, il ne disait plus rien, ne respirait plus. Je l’ai embouché tout entier et j’ai fait tournoyer ma langue autour de son gland gonflé à bloc. Il a posé une main sur ma tête et j’ai senti le truc me couler sur les parois des joues. J’ai retiré le bout pour m’en tartiner le menton, je sais que les hommes aiment ça… Et moi, j’aime faire plaisir ! Ça se voit, non ?

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