
Seins perlipopette
31 juillet 2025Clara complexe sur sa poitrine. Lors d’une soirée chez sa meilleure amie Safia, elle demande au mari de cette dernière son avis. Les complexes vont bien vite disparaître pour laisser place à un trio infernal.
Arrivée tôt pour profiter de sa soirée avec ses amis – Safia et Claude, son mari – Clara était en pleurs lorsqu’elle franchit le seuil de la porte. Un câlin et quelques mouchoirs en papier plus tard, la belle blonde s’était calmée et avait pu, enfin, donner la raison de son état.
Un de ses prétendants lui avait fait une remarque désobligeante sur sa poitrine !

Arguments qu’avait contrés une Clara de nouveau au bord des larmes en lui affirmant que ce n’était pas un avis objectif et que seul un homme pouvait confirmer si, oui ou non, ses seins avaient un problème ou pas.
Safia saisit la balle au bond et proposa que Claude tranche cette question une bonne fois pour toutes. Pris au dépourvu, ce dernier rougi et bégaya un « Oui » gêné.
Il avait toujours trouvé Clara très jolie et, pour tout dire, il fantasmait sur elle depuis leur première rencontre, mais jamais il n’aurait osé faire ou dire quoi que soit à cette déesse scandinave. Il eut beau dire qu’il était sûr qu’elle avait des seins parfaits, il n’eut pas le temps de finir sa phrase que, trop contente visiblement de les montrer, Clara tirait sur sa robe légère et dénudait, d’un coup, ses deux orbes absolument somptueux !
Devant les yeux exorbités et l’air interdit du seul homme présent, il fallut toute la persuasion des femmes pour le pousser à, en plus de la vue sublime, ajouter le toucher à ce test hallucinant. Claude tendit donc des mains tremblantes et hésitantes vers les deux globes de chair. Et Safia propulsa les paumes afin qu’elles se plaquent aux alléchants nichons topless.
Encouragé par sa femme, Claude les caressa d’abord du bout des doigts puis, se laissant aller à cette situation toute particulière, les prit à pleines mains pour les tâter et les malaxer. Lorsque la question fatidique lui fut posée, les seins de Clara étaient-ils, oui ou non, à son goût et les trouvait-il beaux ou pas, il ne sut que répondre, à part démontrer très empiriquement qu’ils étaient parfaits … en désignant l’énorme bosse qui déformait son pantalon.
Il s’apprêtait à subir l’ire de son épouse devant sa réaction toute masculine, lorsque cette dernière tendit les bras à son amie qui se glissa tout naturellement entre eux.
La sulfureuse blonde se lova entre leurs deux silhouettes et se laissa sensuellement manger les mamelons par une Safia qui, de manière certaine, n’en était pas à son coup d’essai avec une femme. Claude était libéré d’un poids, la voie était libre à toutes les folies. Sa femme avait abandonné sa légère robe et Clara lui offrait ses jambes écartées ainsi que l’accès complet à sa chatte qu’un simple petit string avait bien du mal à dissimuler.

L’instant d’après, c’est Clara qui caressait le minou de Safia. Seins à l’air, les deux femmes se roulaient des pelles enflammées et la tête de Claude fut dirigée entre les cuisses de leur hôte. La moule bien épilée se déchirait comme un fruit mûr, elle exhalait des parfums légers et mouillait tellement que des gouttes de cyprine coulaient jusqu’au trou fripé.
Le cunnilingus fut long. Claude était ravi de pouvoir lécher un autre sexe que celui de son épouse, a fortiori devant elle. Il ne cessa de laper les petites lèvres et le clitoris qu’une fois la jouissance de sa partenaire atteinte.
Un sirop au goût subtil ruisselait en abondance au fond de sa gorge et il plaqua sa bouche, en la pressant fortement, sur la chatte prise de convulsions pour écoper le maximum de jus.
Le trio fini de se déshabiller enfin et, d’un doigt impératif, Clara fit signe au mâle qui venait de lui prodiguer tant de plaisir et lui indiqua ainsi où s’asseoir sur le sofa, les deux muses s’installant de part et d’autre de son vit dressé. À son regard, il était évident que le braquemart monumental l’impressionnait.
Il est vrai que Claude avait été gâté par la nature et son chibre était imposant, long et très large, surtout à la base de la hampe. Clara se confia à Safia, lui confirmant qu’elle devait bien admettre que son mari était monté comme un âne ! Claude comprit aussitôt qu’il avait été « chaudement recommandé » en tant qu’amant par sa femme elle-même !
Pas le temps de se remettre de cette information que les bouches du duo féminin se lançaient à l’assaut de la grosse tige bandée à mort.

Son érection était à son apogée lorsque sa moitié lui demanda de la prendre à quatre pattes. Il pénétra le con serré et commença ses va-et-vient tranquillement. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir son épouse bien plus coquine et bisexuelle qu’il ne le pensait !
Cette dernière se pencha sur la conque ouverte de Clara, lui écarta les grandes lèvres de deux doigts et, sans aucune hésitation, plongea sa langue à l’endroit précis où il avait la sienne quelques minutes plus tôt. À entendre les gémissements puissants que ce cunnilingus provoquait, nul doute que sa technique était aussi bien rodée que la sienne, voire plus !
Cette scène surréaliste déclencha des afflux de testostérone dans ses couilles et dans sa queue. Claude s’agrippa aux hanches de sa douce pour lui bourrer la chatte comme jamais. Il se déchaînait si fort que son membre sortait parfois du fourreau et se perdait au hasard des coups de reins soit à l’extérieur du con, soit sur la rondelle arrière offerte. Clara, pourtant peu portée sur la sodomie, ne bronchait pas, elle l’encourageait même !
La brune et la blonde jouirent en même temps, la première sous les coups de boutoir d’un Claude impétueux, la seconde sous cette langue délicieusement vicieuse qui venait de lui visiter tous les orifices, anus compris.
Claude était un peu dépité, certain que les femmes, repues, allaient le faire éjaculer à la main, mais pas du tout. Clara se positionna au-dessus de lui et se laissa coulisser d’un coup, jusqu’à ce que ses fesses s’appuient contre le pubis masculin. Son vagin était encore plus serré que celui de son épouse qui, d’ailleurs, ne resta pas inactive et écartait les globes charnus de son amie pour profiter du spectacle et guider l’imposante matraque au fond des moites profondeurs.
Clara rebondissait sur la queue comme un ressort vivant. Les clapotis qui provenaient de sa chatte écartelée hurlaient son bonheur alors que les pulpes de Safia embrasaient son clitoris érigé.

On lui astiquait le manche avec énergie avant de le réintroduire dans un orifice. Les deux créatures semblaient insatiables et jouirent un nombre de fois impressionnant en se laissant posséder ou en se léchant le minou délicieusement.
Il finit par éjaculer sur le pubis de Safia, épuisé par plus de deux heures de sexe intense. Clara se rua sur son sperme et lapa toute la semence avant de la partager en un long baiser avec son amante brune.
Elle repartit le sourire aux lèvres, rassurée sur la beauté de sa poitrine et … pleine de nouveaux projets à trois !



















