Stop ou encore ?
30 juin 2016Bien sûr, Agen, ça fait loin quand on arrive de la Picardie, tout le monde le lui avait dit ! Mais elle n’est pas du genre à renoncer… Quitte à risquer une petite aventure. Heureusement qu’il se trouve de preux chevaliers pour recueillir les pauvrettes en détresse au bord de la route !
J’en avais vraiment marre d’attendre dans le froid et sous la bruine en plus ! Une heure comme ça, à traîner des talons sur le bord de la route sans jamais trouver une bonne âme pour s’arrêter. Le stop, c’est vraiment plus pareil ! Mais soudain, mon sauveur est arrivé. Son destrier était noir comme un corbillard, l’homme au volant était plutôt beau gosse et il m’a gentiment proposé de m’emmener quelques kilomètres plus loin.
Il m’a un peu chambrée en me disant que je ne risquais pas de trouver beaucoup de conducteurs se dirigeant vers Agen vu où je m’étais postée… À la réflexion, il n’avait pas tout à fait tort. Bref, il m’inspirait confiance alors je suis montée sans trop réfléchir…
C’est tout moi ça ! Impulsive, optimiste et aventureuse. J’iame profiter de l’instant présent, que voulez-vous. Et après tout, que nous reste-t-il comme temps à passer sur cette Terre ? Qui peut le dire ? Comme on dit sur Internet : YOLO («on ne vit qu’une fois »). Bien évidemment, je ne suis pas du genre sainte-nitouche, alors quand il a commencé à tâter de ma cuisse dans sa grosse berline puissante…
J’ai écarté les jambes sans hésitation ! j’ai même rendu la politesse en le branlant du bout des doigts. Tant et si bien qu’il a fallu faire une pause sur l’aire d’autoroute pour nous délasser quelque peu… À peine étions-nous descendus de voiture que nous nous sommes dirigés vers les toilettes.
J’avais une immense envie de pomper mon héros, ça tombait drôlement bien. Il m’a foutue à poil en un tournemain et je me suis jetée sur sa queue comme une morfal ! Je me suis bien amusée à pincer mollement sa hampe avec mes lèvres. J’ai léché son gland. Des manières de petite chatte. Bien proprette. J’ai pris énormément de plaisir à le pomper, mon chevalier cochon, mais il m’en fallait plus, beaucoup plus ! Il a enfilé une capote et je me suis mise en position pour me faire bourrer comme une garce.
Sa queue a hésité un instant entre mes deux trous, mais c’est mon cul qui l’a aspirée. Il faut dire que mon petit conduit a une grande habitude, il aime être visité, il est de nature chaleureuse.
À dada ! C’était bien parti la ritournelle ! Il m’a déglinguée ! C’était carnaval, franchement ! J’avais du jus de cramouille qui coulait carrément direct par terre. Il m’a tellement démonté que je m’en suis cogné le visage contre la faïence des WC. Je me sentie un peu sonnée, c’était encore plus dégueulasse, donc ça m’a excitée davantage… Je suis bizarre hein… C’est tout moi, ça !
Bref, il me déployait tellement bien dans le dedans, que je me laissais faire comme une poupée de chiffon. J’ai même tiré sur mon cul pour qu’il me pousse tout son bazar à fond les tripes. Je voulais sentir ses deux bourses claquer entre mes cuisses pendant que son bélier venait me ramoner à fond de cale !
Il fallait que ça résonne dans les chiottes, sinon ça ne valait même pas le coup !
Il m’enfonçait drôlement bien le conduit, le petit cochon. On m’avait rarement aussi bien mise. Il m’enculait super bien ! Ça devenait de plus en plus délicieux. Je le sentais si loin ! Cela coulissait admirablement, il me nettoyait prenait avec une régularité de métronome et j’entendais maintenant très distinctement ses couilles qui claquaient contre ma chatte. Mes voeux étaient exaucés !
La cadence a soudain pris une tournure plus athlétique. Il commençait à vraiment me baiser en fait ! Quel bonhomme ! J’avais le derrière en feu. J’étais sa jument, il était mon cavalier sans tête… Il me pilonnait comme un esprit frappeur, quelle aventure ! Il n’y avait plus qu’un objectif : ma lune. J’étais devenue un astre, j’étais réduite à mon postérieur. Et devinez quoi ? Ça m’allait parfaitement. Il m’a saisie par la crinière pour me monter à cru de façon encore plus efficace. J’étais traitée comme une vraie nana de marin ! C’était super.
Mais lui, il en a eu marre de mon derrière… Il s’est retiré dans un « schlop » particulièrement répugnant et il a rhabillé sa bite avec une autre capote. C’était le tour de ma minette !
Je suis remontée d’un étage et j’ai posé les mains sur la lunettes des WC pour me faire mieux prendre dans la chatoune. C’est entré comme dans du beurre, évidemment… C’était une vraie joie de me faire trombiner dans ce tendre orifice après avoir donné de la rosette. Sa queue s’est épanouie et elle me paraissait, paradoxalement, encore plus épaisse de ce côté-là.
Le membre a coulissé et j’ai senti, ressenti, chaque centimètre. C’était le paradis. Je me sentais très sensuelle, tout à coup. Nous sommes allés lentement et j’ai pu profiter de cette drôle d’occasion. Il allait en moi avec tant de douceur à présent. Je me sentais investie d’une mission : devenir une fleur, ouvrir mes pétales au contact des rayons du roi soleil. Je fleurissais à vue d’oeil. Il me mettait bien, mon petit chauffeur.
Sa queue était longue et épaisse, comme toutes les femmes en raffolent !
Son serpent magique me taquinait les tréfonds de l’âme avec une langueur pas si monotone. La tête de l’animal se lovait au creux de ma petite grotte et cela me faisait comme un massage très intime. Je m’attendais presque à me faire mordre. Je pouvais sentir les anneaux de la bête qui serpentaient contre mes parois et au bord de mes petites lèvres.
Les mains de mon chauffeur sont venues se poser sur mes fesses. Il les a solidement agrippées. Je me suis sentie aller d’avant en arrière, mais à son rythme. La précision était extrême. Il prenait un soin de félin tout à coup, comme un Asiatique avec son robot, si vous voyez ce que je veux dire.
J’étais la machine à baiser, un sextoy quoi ! Après toute cette violence, c’était presque émouvant. Il m’a burinée, mais en douceur, sa bestialité était contenue, rentrée.
Elle se cachait, tapie dans les ténèbres de son insondable caractère, mais elle était bien là, je la sentais. Telle porteur de l’anneau dans les livres de Tolkien, je pouvais sentir son emprise, invisible, bien que palpable. J’étais à l’affût, je sentais qu’il allait surgir pour me manger toute crue. La dévoration guette toujours les jeunes femmes innocentes… Tous les amoureux des contes savent ça !
Sa tige était parfaitement bien plantée dans mon intimité chaude et débordante d’amour liquide. Elle a commencé à ondoyer avec une régularité plus soutenue. Quelque chose changeait… Le métronome s’accélérait. Le marteau-piqueur visait mon coeur et il y avait encore du chemin à parcourir ! Ses bourses ballotaient sous moi. C’était bon de le sentir si concentré, prêt à bondir pour lacérer ma palette sensorielle.
Littéralement fichée sur son engin, il m’a fait pivoter contre l’autre mur tout en me relevant. Notre tango chelou prenait encore un nouveau tour, bon sang ! Cette fois, le mouvement me venait d’en dessous et son scrotum tapait contre ma cuisse. Je l’ai regardé dans les yeux et je l’ai encouragé à me baiser avec une passion de dragon.
Je voulais être consumée par son regard de feu, par son membre en acier brûlant. Il me remontait bien ! Il faisait une chaleur de sauna dans notre petit water-closet. C’était vraiment une aventure rare ce qui nous arrivait. Dans sa quête de l’anneau, mon hobbit s’était transformé en orque et c’étaient mes deux petits anneaux qui avaient été enfilés. Mais je sentais que la cavalcade touchait à sa fin…
Les râles du dragon se faisaient plus longs, plus profonds, la créature suait, soufflait, était rendue. Tout l’équipage tanguait sur le pont et l’océan était démonté. Mon dragon m’a attirée contre lui et notre corps à corps a viré à la prise de judo. J’aimais tellement être sa chose. Son haleine mentholée de représentant de commerce me comblait d’aise. Tout était correctement rangé à sa place dans ce bas-monde et sa queue était pile poil au bon endroit : dans ma chatte avide.
Les étoiles étaient parfaitement alignées quelque part et je me suis fait la remarque pendant un instant que c’était exactement ça la sensation qu’on recherchait quand on se faisait déglinguer dans un chiotte infect au bord de l’autoroute, un défi ultime jeté à l’équilibre du monde. Pour voir si on pouvait déstabiliser le réel et ainsi constater que c’est impossible… Prouvant ainsi, sans doute possible, qu’une force supérieure nous gouverne, quelque part…
Mais c’est à ce moment-là qu’il m’a agenouillée pour jouir sur ma langue… J’ai abandonné la philo et j’ai ouvert grand… Pour avaler sa bonne semence !