Révisions coquines
16 janvier 2023Pendant leur séance de révsions, une revue porno tombe de l’étagère. Ce qui donne des idées à Lyan et ses amis.
Je m’appelle Lyan, j’ai vécu une scène dans ma vie qui m’a marqué à jamais. Alors que j’étais encore étudiant, j’avais invité dans mon appartement deux de mes camarades de classe de mon école d’ingénieur. Nous nous sommes tous les trois assis de part et d’autre de ma table en bois. Nous devions réviser avec nos livres et nous lancer dans des calculs plutôt complexes. À un moment, j’ai voulu chercher un autre de mes livres, persuadé qu’il nous éclaircirait davantage sur la solution. Et devinez quoi ? Une de mes revues pornographiques est tombée de mon étagère, pile au pied d’une de mes camarades. Je ne sais plus s’il s’agissait d’Union, il faut dire qu’à cette époque j’achetais tous ce qui était coquin chez le kiosquier en bas de chez moi. Mais c’est probablement votre magazine qui m’a mis dans de beaux draps ! Les deux chipies se sont alors partagé les bonnes feuilles, en commentant chacune des images osées et érotiques. Elles m’ont aussi traité de gros pervers, de petit cochon qui aimait se rincer l’œil sur des filles nues ! J’étais rouge de honte et j’ai eu droit à la morale : « Alors, est-ce que tu aimerais, toi, te retrouver nu et que l’on te regarde ? Bah vas-y quoi, fous-toi à poil que l’on voit ta bite de pervers, tiens ! Allez ! » Je pensais à une boutade, mais elles ne lâchaient rien. Penaud, j’ai fini par retirer mon tee-shirt et mon pantalon sous leurs piaffements amusés.
Tout doucement
Elles m’ont trouvé des tétons ridicules, des épaules malingres, un nombril trop proéminent. Elles n’y allaient pas de main morte, elles se moquaient de chacun des détails de mon anatomie. Et curieusement, à ce moment précis, je me suis mis à bander. Plus elles se montraient méchantes, plus cela m’excitait pour une drôle de raison que je n’arrivais pas vraiment à m’avouer. Les vilaines se sont rendu compte que j’avais du mal à masquer mon désir, aussi, elles m’ont ordonné d’arrêter de « mouiller mon caleçon dégueulasse ou j’allais finir par me juter dessus » et de me retourner pour le baisser sur mes chevilles en leur montrant mon cul. Ce que j’ai fait, en me penchant d’un coup, comme chez le docteur. Elles se sont alors esclaffées en jugeant ma raie, « trop poilue », « trop marron ». Et enfin, je me suis retourné. Ça leur a déclenché des hurlements de rire, elles se tenaient les côtes pour ne pas tomber de leur chaise. Elles n’avaient rien vu d’aussi petit, minuscule, « tout rikiki » de leur vie. Elles trouvaient mon gland ridicule, un champignon à peine mature, elles comparaient mon sexe à un coton-tige au-dessus de deux pruneaux secs et mous. Elles m’ont demandé si j’étais puceau, persuadé qu’aucune fille n’aurait jamais eu envie de moi, et j’ai bien été obligé de leur avouer que je n’avais connu aucune expérience sexuelle. Jamais. Alors elles ont commencé à me montrer leurs nichons en riant, je les ai trouvés aussi beaux et gros que ceux des magazines, en me disant de « bien en profiter car jamais je n’aurai le droit de les toucher. » C’était si méchant, si pervers, que j’ai fini par m’éjaculer dessus, sur mes pieds, de honte et de plaisir mêlé. En voyant le carnage, les filles ont hurlé de rire et sont parties de chez moi à grand bruit, me laissant seul, nettoyer mon foutre. Depuis, dès que je rencontre une nouvelle femme, je suis toujours très attiré par ses moqueries, ses vannes, ses plaisanteries. J’aime les femmes autoritaires et mon grand plus grand fantasme serait que l’une d’entre elles m’oblige à porter une cage de chasteté. Je ne sais pas si je suis normal, ou si ce souvenir bizarre a modifié ma sexualité à jamais. Mais en tout cas, je lis toujours avec plaisir vos récits, surtout quand les femmes se montrent sadiques avec les hommes !
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