Un new-yorkais dans ma chatte

La rédaction 2 octobre 2021

Vous connaissez le jeu action ou vérité ? Bien sûr ! Mon gage est de vous écrire et de vous conter mon histoire porno. Je m’appelle Emilie, j’ai 26 ans et je suis esthéticienne et une grande sportive. On ne va pas se mentir, je fais du crossfit à haute dose. Je fais un mètre soixante-dix, pour 48 kilos, que du muscle mais aussi une belle paire de seins, un cul ferme, des hanches dessinées et une souplesse qui le dispute à mon endurance. Pour finir le tableau, je suis célibataire, indépendante et j’aime bouffer la vie par tous les bouts ! Il y a peu j’ai reçu une bonne nouvelle, Mathieu, un ami de longue date parti vivre à New-York était de passage en France. Il n’avait jamais été question de cul entre nous, c’était une connaissance de ma salle de sport devenu un ami intime, point.

Le retour du New-Yorkais

Mathieu a sonné à ma porte le soir de son arrivée, toujours aussi grand et musclé, ce mâle était quand même, je devais bien me l’avouer, l’archétype de ce que j’aime chez un homme : grand, une musculature volumineuse mais proportionné, des cuisses impressionnantes, un regard franc et un cerveau bien huilé (il travaille dans la finance internationale et gagne un fric démentiel !) Il débarquait de l’aéroport avec ses affaires et une bouteille de Moët et Chandon millésimé, s’il vous plaît !

J’avais préparé un bon petit repas et tandis que j’allais terminer les préparatifs Mathieu m’a demandé s’il pouvait aller prendre une douche. Je lui ai bien sûr répondu que c’était sans problème, le temps que je lui apporte serviette et gel douche il était déjà en boxer ! Wouhaou ! Quelle machine de guerre ! Son corps sentait l’homme mais pas la vieille sueur, un mélange de musc et de parfum, ses muscles roulaient sous sa peau légèrement ambrée. J’avoue que cette vision m’a fortement troublée. Et c’est sans parler de ce que je n’ai pas pu m’empêcher de regarder, la bosse qui se formait sous son slip, énoooorme ! Un truc de fou ! Je me suis même demandée s’il n’avait pas rembourré pour donner plus de volume, l’avenir allait me prouver que j’avais tort !

Il est sorti de la douche habillé d’un jean propre et d’une chemise blanche, j’avais passé une petite robe courte qui faisait ressortir mes jambes fraîchement épilées et nous sommes passés à table. On s’est raconté nos vies en vidant la bouteille de Moët, une bouteille de vin et on a fini assis dans le sofa en sirotant un vieux rhum qu’il avait rapporté de la Barbade. Je tiens bien l’alcool mais quand même ! et devinez quoi ? On en est venu à parler sexe ! Evidemment !

Nous étions chacun à une extrémité du canapé, il n’y avait aucun geste de l’un envers l’autre quand il m’a dit « Si on jouait à action ou vérité pour pimenter un peu ». Je n’étais plus en capacité de dire non et voilà comment tout a commencé. Des questions anodines en gage mignon (raconte le truc le plus inavouable qui te soit arriver, reboire un verre du rhum) nous sommes vite passés à « As-tu déjà essayé la sodomie ?», «Montre-moi ce que tu portes en dessous !».

Comme je ne portais rien en-dessous et que je me sentais d’humeur provocatrice, j’ai enlevé ma robe devant ses yeux totalement ahuris. C’est drôle de figer ainsi un molosse, juste par l’apparition d’une nudité inattendue. Moi qui suis si pudique, j’étais vraiment désinhibée par l’alcool et j’avais envie d’en avoir le cœur net quant à la bosse qui déformait son boxer ! Crânement je lui ai lancé « Et toi ? C’est ta vraie queue dans ton slip ou c’est du coton pour jouer les acteurs pornos !? »

Je m’en suis voulu instantanément, Mathieu est adorable et je ne voulais pas le vexer ou le mettre mal à l’aise, j’étais toute penaude avec ma robe à la main et les nichons à l’air. Mais il ne s’est pas démonté, il s’est levé en disant « Action ! » et il a joint le geste à la parole et se foutant à poil !

Oh mon dieu ! Certes j’ai, comme tout le monde, vu des queues de hardeurs en film, des trucs gores envoyés par les copines ! Mais là ! Ca dépassait l’entendement ! Il avait une demi-molle et déjà son sexe avait le diamètre d’une canette de soda et pendait entre ses cuisses sur la longueur de mon avant-bras ! Je me suis figée ! Une statue ! Il s’est avancé vers moi « Alors ? C’est du coton ! Touche-là, tu vas voir, c’est plutôt une barre d’acier dans une enveloppe de velours »

Je vous jure que j’étais hypnotisée par cette bite hors gabarit ! Je l’ai attrapée par le milieu et l’ai portée à ma bouche sans réfléchir, elle a encore pris du volume au contact de ma main. Impossible de sucer correctement cet ovni, il aurait fallu se déboîter la mâchoire, je me suis contentée de lécher la hampe et le méat, je pouvais presque y entrer ma langue ! Ses couilles étaient deux sacs qui pendaient au bout de ce mât de cocagne, je les ai soupesées, elles étaient lisses et lourdes. Et puis d’un coup je suis revenue à la réalité, j’ai lâché son sexe comme s’il me brûlait la main, je me suis relevée d’un bond et je lui ai dit « Désolée ! ». Je devais avoir l’air con !

Mais pour toute réaction il m’a embrassée fougueusement et m’a soulevée de terre comme un fétu de paille. Il m’a portée jusqu’à ma chambre et m’a déposée avec mille précautions sur le lit. Sa queue subissait des à-coups tant il bandait, elle était magnifique, circoncise et … effrayante ! Moi qui aime les blacks, je n’avais jamais eu ce modèle dans ma chatte !

Transpercée de plaisir

Il s’est allongé à mes côtés : « Tu as autant envie de moi que j’ai envie de toi ? » Je lui ai répondu que oui mais que j’avais un peu peur. Il m’a souri, il m’a embrassé avec encore plus de fougue tout en me caressant les seins, les fesses. Ses mains étaient aussi puissantes que douces. Mais je n’étais pas au bout de me surprises ! Il a calé sa tête sur un oreiller et m’a dit : « Viens t’asseoir sur moi, pas sur ma queue, là. » en me montrant sa tête. Bon … ben il nous reste le cul ! Voyant mon incompréhension il m’a guidée. « Mets-toi debout sur le lit, le dos vers la tête de lit et accroupis-toi sur mon visage, assieds-toi presque sur moi. »

Au point où j’en étais … j’ai obéi et je me suis écartelé le sexe au-dessus de sa bouche, je sentais mon anus palpiter au rythme de mon cœur battre contre son nez ! Ma chatte s’est écrasée comme un petit baba au rhum juteux contre sa bouche. Quelle sensation ! Je suis plutôt passive dans le sexe, quand je dis passive, je m’entends, je ne suis pas allongée comme une étoile de mer en attendant que ça se passe mais j’aime sentir que c’est mon partenaire qui guide la manœuvre, là c’est moi qui avais le volant !

Je pouvais augmenter la pression, la diminuer, pousser sur mes cuisses afin de limiter le contact de sa langue sur mes petites lèvres ou mon clitoris ou basculer le bassin afin qu’il me lèche ma petite rondelle ! C’était diabolique ! Je me sentais sûre de moi, totalement libre de mes mouvements, je me découvrais un petit côté dominatrice et j’adorais ce sentiment de puissance ! Surtout vu le morceau de choix que je faisais parfois suffoquer tant j’appliquais mon sexe de plus en plus baveux de mouille contre sa bouche et son nez !

« Je veux te voir te branler ! Ca m’a toujours excitée de voir un mec se masturber ! Vas-y … astique ta grosse queue pour moi ! » La main de Mathieu s’est nouée autour de son menhir gigantesque, je voyais son gland gonflé, son rythme était lent comme j’aime, le fruit disparaissant au creux de sa paume puis réapparaissant. Je n’en pouvais plus d’excitation, ses bourses montaient et descendaient au rythme de sa branlette et moi je sentais mon con se liquéfier …

Il a glissé son autre main derrière mon cul, caressant mon sillon, je le sentais vouloir me doigter, j’ai soulevé un peu les hanches, j’ai senti une fraîcheur sur mon sexe tandis que Mathieu avalait une large goulée d’air puis sa langue a repris son staccato sur mon bourgeon sensible, je pouvais sentir les effluves de mon sexe qui remontaient vers moi, je sentais le désir, un désir capiteux et épais !

Il a touché mon anus, j’ai senti ses doigts se poser doucement sur mon petit œillet rose, je me suis détendue, je porte souvent cockring, du coup, mon petit trou est habitué, il a glissé deux doigts dans mon anneau souple et a commencé à me donner des à-coups sur mon vagin, sa langue était en mode vibration sur mon clitoris totalement sorti de sa gangue lorsque j’ai vu les jets impressionnants de sperme épais fuser de son énorme bite ! C’en était trop, cette vision a été l’éclair déclencheur, j’ai joui d’un coup ! Mon cerveau a été inondé de sérotonine, son visage de ma cyprine abondante.

Mes cuisses tremblaient, les deux doigts continuaient de fouiller mon cul, je me suis écroulée en avant et j’ai léché le foutre chaud qui recouvrait son ventre jusqu’au nombril, j’ai gobé son gland, sa queue palpitait mais gardait toute sa rigidité. Je me suis relevée, j’ai fait volte-face et je me suis empalée sur son pénis fabuleux. Ma chatte était dilatée à l’extrême mais ma lubrification abondante a fait son office, le chibre de Mathieu s’est retrouvé dans ma grotte, je le sentais loin, loin dans mon ventre. Mon bourgeon était hyper sensible, je me suis immobilisée, il m’a léché les seins, longtemps puis m’a prise par les hanches et m’a soulevée en rythme. A chaque fois qu’il me relâchait son glaive me pourfendait, jamais je n’avais connu telle sensation !

Il m’a baisée toute la nuit, je l’ai baisé toute la nuit, il m’a même initiée à lui faire une feuille de rose mais je vous le raconterai dans une prochaine lettre si celle-ci vous a plu …

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