Sauce salsa partagée

La rédaction 1 octobre 2024

Greg, 42 ans de Gironde se fait trainer en boîte par sa femme et son amie. Il retrouve vite sa bonne humeur lorsque la soirée tourne à la partouze générale.

C’était les premières vacances depuis les confinements, Arianne, ma femme, Ursula, sa meilleure amie, fraîchement séparée et moi sommes partis en villégiature … à Paris ! L’occasion pour nous de vivre une époustouflante histoire de sexe amateur et de vous la raconter ! Mon épouse et sa copine se sont rencontrées à un cours de salsa, elles ont donc insisté pour me traîner dans une boîte afro-caribéenne pour danser. Franchement, me déhancher sur une piste exiguë, ce n’est pas mon truc, le sexe à plusieurs en revanche

Gang Bang à l’hôtel

Très rapidement les filles ont été abordées par trois blacks charmants et un blanc un peu bedonnant, mais très drôle. Les cocktails à base de rhum ont fait tomber les inhibitions et quelques heures plus tard, nous ramenions tout ce beau monde à l’hôtel avec une jolie blonde ultra coquine en prime. C’est parti en folie, direct ! Les femmes se sont déshabillées à la vitesse de l’éclair, nos invités idem et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ça suçait, ça léchait, ça se doigtait dans tous les sens ! Toute la troupe avait envie de sexe et de baise brute. J’ai eu le réflexe de sortir mon appareil photo et, avant de rejoindre la mêlée générale, j’ai immortalisé quelques instants de cette soirée mémorable.

Arianne, après avoir pompé goulûment toutes les bites présentes dans la pièce, s’est tournée pour donner son trou du cul au mieux membré du groupe. Le gars lui a juste étalé sa cyprine sur l’anus et l’a sodomisée sans ménagement jusqu’à ce qu’elle jouisse à en mordre l’oreiller. Pendant ce temps, les deux autres nanas se gouinaient en soixante-neuf tandis que deux braquemarts colorés s’offraient à leur bouche ou à leur chatte. Tout le monde geignait, feulait, la chambre empestait la transpiration mélangée à des effluves féminins saturés d’hormones de désir. Je bandais dur et un des garçons est venu prendre le relais avec l’appareil photo. Arianne m’a accueilli entre ses lèvres, un des blacks derrière elle continuait de lui peloter les seins et lui doigter la foufoune.

Quel que soit l’endroit où je posais mon regard, ce n’était que gorges profondes, enculades et autres débauches de corps. J’ai abandonné les lips confortables, mais connues, de ma femme pour me proposer à qui voulait bien me pomper le nœud. J’ai eu le droit à une pipe à deux bouches pendant que leurs propriétaires se faisaient démonter en levrette. Nous avons même entendu quelques lattes du sommier céder sous le poids de tous ces corps qui s’adonnaient au sexe sans limite. La jolie blonde au nez retroussé suçait à merveille, mais elle a eu envie de chevaucher un cavalier noir. Cela a donné des idées à mon épouse, qui s’est offerte en missionnaire, les jambes bien relevées et écartées à un autre de nos compagnons de couleur.

Partouze générale

La partouze était désormais générale, les queues se succédaient dans tous les orifices des femmes. À un moment, elles se sont, toutes les trois, alignées sur le matelas, postérieur en arrière, reins cambrés et ont demandées à être prise à la chaîne, chacune essayant de deviner qui lui pénétrait le con ou le cul. Le trio a joui quasi simultanément, je les ai même surpris à se caresser mutuellement qui les seins, qui le clitoris. Aucun des hommes ne s’était laissé aller, ces demoiselles, très serviables, se sont donc enquises de ce qui leur plairait pour atteindre l’orgasme. La sodomie a reçu le plus grand nombre de suffrages.

C’est ma belle Arianne qui a pris le premier dans le rond, il l’a limée jusqu’à s’épancher dans son petit trou. Il y avait tellement de sperme que le jus fusait à l’extérieur ! Une autre s’est fait démonter en levrette, le gars derrière elle lui balançant des fessées puissantes qui lui ont fait rougir les globes. Le dernier, un Cubain je crois, a voulu se branler pour une faciale sur le visage de ma moitié pendant qu’elle me vidait les couilles en me suçant. Il lui écartait les grandes lèvres et sa chatte bâillait, sa jolie couronne de poils déformée par les doigts qui l’écartelaient de plus en plus ostensiblement. Je ne pouvais détacher mes yeux du con rose entièrement ouvert.

J’ai balancé ma purée à moitié dans sa bouche, à moitié sur son menton et son cou, le second s’est fini dans ses cheveux, s’astiquant la pine complète avec une mèche entourée autour du gland.

Le dernier, celui qui prenait les photos à ma place, s’est vu alors gratifié de trois boules en accès libre. Il a possédé chaque fille l’une après l’autre, enculant encore ma femme au passage, et leur a demandé de se retourner au moment fatidique. Belle maîtrise, il a lâché deux éjaculats dans chacune des bouches accessibles, les femmes se sont roulé une pelle à trois, avalant le foutre en gloussant de plaisir.

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