Si désirable…

La rédaction 24 septembre 2019

Carole, 31 ans

Cher magazine, voici la folle aventure qui m’est arrivée dernièrement. Je m’appelle Carole, j’ai 31 ans et je viens d’accoucher de mon petit premier : Yanis. Aujourd’hui, je suis bien dans ma peau, mais pendant ma grossesse, ce n’était pas facile tous les jours. Je me sentais souvent mal à l’aise avec mon corps que je trouvais difforme. J’avais l’impression que je ne redeviendrais jamais plus comme avant, et que les parties de jambes en l’air devraient attendre ma prochaine réincarnation. Mon mari avait beau me dire que j’étais superbe comme ça et que, par ailleurs, il continuait à avoir des besoins même pendant ma grossesse, je n’arrivais pas à me lâcher. Je ne me trouvais pas désirable.

Pour me prouver que j’avais tort, Karim a invité un collègue à dîner à la maison : Alex. Il voulait son avis en la matière. Je leur avais concocté de bons petits plats. Je n’avais pas du tout envie de montrer mon corps à qui que ce soit, mais mon homme avait été assez insistant, alors, j’ai enfilé mes plus beaux dessous, au cas où… Après le dessert, notre invité était bien imbibé et il n’était pas question qu’il rentre en voiture aussitôt. Karim m’a regardée et a souri de la façon la plus vicelarde qui soit. J’avais plus envie de me coucher qu’autre chose, mais en même temps, j’avais besoin de relever le défi. Alex devait déjà être au courant du spectacle qui l’attendait car il me scrutait intensément sans rien dire. Il patientait ! Je ne suis pas trop du genre bégueule, alors j’ai commencé le show. Et puis, après tout, il ne serait pas le premier à me voir toute nue. J’ai eu une vie sexuelle très libre avant de me marier…

J’ai mis un morceau de David Guetta (intitulé « Sexy bitch »!) sur la chaîne hi-fi du salon et je me suis déhanchée, dos aux garçons, au rythme sucré de cette musique de plage. La lumière était tamisée, et je me sentais protégée par la pénombre. J’ai réussi à me laisser aller. Je caressais mes hanches, mes cuisses et mon cul, puis je remontais vers mes nichons énormes et tendus. Ça devenait bon, j’en ai profité pour me passer la main sur la culotte, sous ma petite robe, j’ai senti mes lèvres gonflées à travers le tissu. J’ai pincé mes tétons et j’ai enfin osé me retourner. Les mecs étaient aussi attentifs que des chats qui attendent de voir un oiseau tomber de son nid. Dans l’élan, j’ai soulevé ma robe et je l’ai jetée à l’autre bout du salon, Karim a sifflé comme le loup de Tex Avery pendant qu’Alex applaudissait au rythme de la musique. J’ai fait rouler mes nichons entre mes mains, et mon soutien-gorge a bientôt suivi la robe. J’ai quand même caché un peu mes seins avant de me retourner. Puis, de dos, j’ai osé enlever ma culotte, tout doucement, après leur avoir donné quelques fausses joies… J’ai bien écarté mes jambes pour qu’ils voient ma minette ouverte et je me suis mise face à eux en couinant un « poupoupidoupou ! » Et la musique s’est arrêtée. Mes deux étalons étaient sans voix, ils ont applaudi à tout rompre. Ils bandaient comme des ânes, je l’ai constaté quand ils se sont levés pour mieux m’ovationner. J’ai filé « en coulisses » dans notre chambre où j’ai pu passer une tenue un peu plus décente. Quand je suis revenue, Alex m’a encore une fois félicitée pour mes charmes et mes talents, puis Karim a proposé de lui appeler un taxi.

Le soir après avoir tout rangé, mon homme est venu me rejoindre au lit et m’a demandé de remettre mes sous-vêtements qui avaient tant plu à notre invité. Je n’avais plus du tout envie de dormir et je me sentais plutôt d’humeur câline. Nous n’avions plus fait l’amour depuis si longtemps que je n’osais même plus compter les jours (ou les mois…). Cela nous a fait un bien fou de nous retrouver. Il a caressé mon corps, a enfoui sa tête entre mes gros seins et m’a léché le minou comme il sait si bien le faire. Puis il s’est mis debout et je me suis assise au bord du lit pour le sucer. J’avais très envie de sa queue dans ma bouche, le strip-tease m’avait chauffée à fond. J’ai léché ses couilles, son gland et tout le long de son engin, j’ai bavé dessus en le regardant dans les yeux. Il était au bord de l’explosion, je lui ai proposé de rester debout pour mieux me prendre en levrette. Bon sang que ça m’avait manqué de me prendre sa bite dans la minette ! Il s’est enfoncé dans moi très facilement et il est allé et venu pendant seulement quelques minutes avant de jouir en gémissant comme un possédé… C’est sûr que ça devait être mieux que la branlette, hein mon chéri ?!

Nous avons enfin pu nous endormir, repus de sexe et soulagés de nous sentir vivants à nouveau. Cette expérience m’a fait beaucoup de bien. Nous avons été très cochons au cours des semaines suivantes. Je vous laisse découvrir un extrait photographique de cette période. J’espère que ça vous plaira ! Merci de me publier et à bientôt, peut-être…

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