Signe zodiacal : vierge, pour le reste …

La rédaction 7 novembre 2024

Céline, 28 ans de Paris est hypersexuelle. Pour combler son appétit, avec l’accord de son compagnon, elle décide d’initier des puceaux au plaisir du sexe.

Pas encore trente ans et en couple avec mon chéri depuis plus de quinze !? On l’a fait très tôt et on n’a jamais arrêté de tester de nouvelles expériences. Voici notre histoire de sexe amateur.

Que la chasse aux puceaux commence !

Très vite nous nous sommes amusés avec un autre partenaire, le désert affectif et sexuel des jeunes hommes est terrible. Je suis hypersexuelle, j’ai envie, besoin de jouir tout le temps, que ce soit avec un rapport ou par la masturbation et même mon copain a du mal à suivre le rythme, alors pourquoi ne pas allier notre militantisme amoureux et le plaisir ? La décision était arrêtée, nous allions partir à la chasse aux puceaux ! Le magasin de jean où je travaille à Paris est un terrain de battue idéal, je m’occupe des clients de la cabine d’essayage à la caisse.

Le dernier vestal que j’ai pris dans mes filets et entre les jambes, c’est Manuel, un jeune étudiant bien gauche et dont la meilleure amie, depuis l’adolescence, était sa main droite. Une fois la surprise passée de voir mon mec présent, un appareil photo en bandoulière, et surtout dès qu’il a découvert mes seins en vrai et qu’il a pu les toucher, il n’a eu d’autre idée en tête que de me foutre le plus vite possible. Je lui ai intimé l’ordre de stopper immédiatement cette ruée décousue et inefficace pour me permettre de le guider doucement vers les cieux éblouissants des joies du sexe à deux. D’abord me déshabiller, soulever mon marcel, dénuder ma poitrine, la parsemer de baisers très doux, tout en commençant à me caresser plus bas à travers le tissu de mon pantalon.

Quand je l’ai senti dans le rythme, je lui ai indiqué qu’il pouvait m’enlever le reste de ma tenue ainsi que ma culotte. Sa tête lorsqu’il a découvert mon minou épilé et déjà trempé d’excitation ! Bien évidemment, il a voulu me fourrer tout de suite, de nouveau j’ai dû temporiser, ôter ses doigts qui désiraient me fouiller avec trop d’empressement et le guider presque mot à mot afin qu’il glisse sa mine curieuse entre mes cuisses. Il m’a reniflée comme un chien, humée, détaillée sous toutes les coutures avant d’oser obéir à mon injonction de me lécher la chatte. Visiblement le jeune homme était très excité de voir faire la chose dans les films pornos, mais beaucoup moins disposé à le faire en vrai. J’avoue que les mouvements désordonnés de sa langue, éparpillés de mon clito à mon trou, n’ont pas été pour me déplaire, j’ai même été surprise par un petit orgasme qui l’a rendu très fier.

Une pine et une pénétration pour une première fois

Seconde phase, bien évidemment, la pipe, mais monsieur s’était laissé aller dans son caleçon pendant le cunnilingus. Interruption technique et direction la douche pour un rinçage en règle, j’en ai profité pour raser un pubis digne d’une forêt primaire. Bon point, Manuel n’avait ramolli à aucun moment, c’est donc pine bien dressée que nous avons regagnés le lit. Pour bander, il bandait le petit salaud, j’ai rarement eu une bite aussi dure en bouche, un vrai plaisir. La colonne palpitait entre mes lèvres et Manuel donnait des ruades avec ses reins, si bien que sa queue échappait parfois au contrôle de mes mains et allait taper au fond de ma gorge, sensation très désagréable lorsqu’on ne s’y attend pas. J’ai mordu un peu fort la base du gland pour lui faire comprendre que s’il ne se calmait pas, les quenottes seraient plus impitoyables.

Finalement, je l’ai fait s’allonger sur le dos et j’ai retiré mon top pour qu’il puisse jouer avec mes seins. Ainsi occupé, il a cessé ses à-coups anarchiques et a profité du travail expert de ma bouche sur sa hampe et son gland. Je suis alors enfin passé à la dernière phase, la pénétration. Toujours dans ma volonté de guider et de maîtriser, c’est moi qui suis venue sur lui dans un premier temps. J’ai coulissé doucement sur le manche raide, ma fente trempée lubrifiait parfaitement nos deux sexes s’encastrant l’un dans l’autre, et, voyant que Manuel tenait son rôle à la perfection, je lui ai permis de me prendre en missionnaire. Ses mouvements, que j’ai accompagnés au départ avec mes mains sur ses hanches pour le rythme et la puissance, se sont réglés sur mes préférences et je me suis régalée d’un second orgasme, intense celui-ci, long et très profond.

J’ai fini par une caresse que j’affectionne tout particulièrement, à genoux, dos contre le torse de Manuel, j’ai pris son gros chibre entre les cuisses, mes lèvres intimes massant le dessus de sa queue, ses doigts sur mes petits nichons, et je me suis balancée lentement, le masturbant ainsi avec mes nymphes, jusqu’à ce qu’il éjacule sur la couverture de laine. Il avait encore une bonne dose de sperme pour quelqu’un qui avait déjà juté une heure plus tôt !

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