Suzy q.

La rédaction 20 janvier 2020

Julie, 39 ans

Anne et moi sommes un couple homosexuel naturiste, ce n’est plus un secret pour personne. Dernièrement, Anne m’a demandé si cela ne me dérangeait pas que nous hébergions Suzy, sa nièce de 20 ans. Elle venait de décrocher un travail dans le coin, mais n’avait pas encore trouvé de logement. Cela ne m’embêtait pas, mais je ne souhaitais pas que cette situation s’éternise. Cela nous obligeait à mettre de côté notre façon de vivre (nous vivons nues en permanence chez nous), par respect pour sa nièce.

Suzy nous savait lesbiennes et ne portait aucun jugement de valeur là-dessus. Durant les deux premières semaines de son séjour avec nous, il ne s’est rien passé de spécial. Mais, cela devenait contraignant de ne plus pouvoir rester nues chez nous. Suzy travaillait dans une boulangerie, elle partait très tôt le matin. Aussi, nous profitions de ses absences pour nous retrouver et nous faire des câlins. Mais, un jour, elle a oublié de nous prévenir qu’elle avait pris sa journée pour visiter des appartements. Comme nous ne l’avions pas vue en nous levant, nous avons pensé qu’elle était au travail. Quand elle s’est levée, elle nous a surprises entièrement nues, en train de finir notre petit-déjeuner. Ne pouvant rien faire de plus, nous avons continué comme si de rien n’était. Elle a semblé un peu gênée au début, mais elle a vite vu qu’il n’en était rien pour nous. Elle s’est alors détendue, elle aussi. Puis, elle est partie visiter un appartement.

Le soir venu, c’est nous qui avons eu la grande surprise de la voir nue ! A son retour, elle avait profité de la maison pour « se laisser aller ». Dès lors, nous avons pratiqué le naturisme toutes les trois à la maison. Cela n’allait pas plus loin, mais je gardais le secret espoir de ne pas en rester là. Je n’en parlais pas à Anne, de peur de la choquer. Il ne m’a pas fallu attendre bien longtemps ! En fait, Suzy n’espérait que ça, mais ne savait pas trop comment aborder le sujet. Elle a d’abord cru que se mettre nue en notre compagnie suffirait, mais elle a fini par comprendre que nous ne ferions pas le premier pas. Le hasard faisant bien les choses, elle est tombée sur le numéro d’interstron.ru où nous racontions nos ébats devant la voie de chemin de fer. Elle nous a tout de suite reconnues dans ces lignes, et cela l’a bien excitée. Anne l’a surprise en train de se caresser tout en lisant notre récit. Moi, je prenais ma douche. Apparemment, Suzy n’avait même pas cherché à se cacher pour se donner du plaisir : preuve qu’elle voulait qu’on la voie, et certainement qu’on la rejoigne !

Je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé pendant que je finissais de me doucher mais, à mon arrivée, j’ai trouvé Anne en train de brouter le minou de Suzy. La miss m’a vue, m’a souri et a joui dans un gémissement qui en disait long. Ce spectacle m’avait mise dans tous mes états. Et, comme Anne n’avait pas eu sa « dose », je l’ai attrapée et j’ai fourré ma langue entre ses cuisses. Suzy nous a laissé sa place sur le fauteuil pour que nous soyons plus à notre aise. J’étais tellement occupée à cajoler cet abricot tout doux que je n’ai pas vu qu’Anne tendait à Suzy un de nos godes-ceintures… Il est vrai que ma position était assez équivoque, et Anne qui me connaît mieux que personne savait que je ne demanderais pas mieux qu’on s’occupe un peu de moi ! C’est donc avec une certaine surprise que j’ai senti un engin à l’entrée de ma chatte. Sur le coup, j’ai retiré ma tête du minou trempé d’Anne, mais cette dernière m’a rattrapée comme une furie et m’a replacée immédiatement entre ses cuisses. Excitée comme j’étais, le gode est entré comme dans du beurre. Elle s’y prenait merveilleusement bien, alternant les coups de reins, tantôt amples et lents, tantôt rapides et brutaux.

Anne devait apprécier particulièrement le spectacle que nous lui donnions, car elle a joui à son tour dans un râle. J’étais la seule à ne pas avoir pris mon pied. Anne m’a cédé le fauteuil pour que je puisse à mon tour profiter du spectacle. A son tour, Anne s’est fait défoncer par le gode-ceinture. En même temps, elle me suçait les seins et me doigtait le minou. Je n’ai pu résister longtemps. J’ai vite décollé pour le septième ciel. Depuis ce jour, Suzy cherche moins activement un appartement, mais nous l’y encourageons tout de même. Elle doit vivre sa vie… Nous espérons seulement qu’elle n’habitera pas trop loin.

(Image à la une : Getty Images)

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