Une tarte aux poils

La rédaction 24 juillet 2020

Pedro, 26 ans, s’essaye à un atelier de pâtisserie. Il rencontre Elsa avec qui la préparation de la tarte va se passer différemment.

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J’ai décidé de me mettre à la pâtisserie en début d’année. Un atelier s’était installé dans mon quartier et j’adorais passer devant la vitrine qui montrait des photos des créations. Des choux colorés, des cupcakes, des pièces montées décorées… J’en salivais. Je suis un gourmand et ça se voit : j’ai un côté nounours et bon vivant. C’est ça qui a plu à Elsa, ma nouvelle chérie.

Ce qui nous a fait flasher ? L’attirance physique, d’abord. Je l’ai tout de suite repérée durant le premier cours de pâtisserie pour débutants auquel je me suis inscrit. Une belle blonde, ronde elle aussi, avec des fossettes à croquer et des seins très appétissants. Elsa m’a avoué plus tard qu’elle avait été séduite par mon sourire, mais aussi par ma drague pas vraiment subtile… L’atelier était consacré à la tarte aux fruits. Au moment de former des binômes, je suis allé rejoindre Elsa à son plan de travail sans demander l’avis de personne. Ça l’a fait rire. Mais elle a été moins emballée quand on s’est mis à cuisiner. Elsa était mauvaise ? J’étais pire. Notre pâte à tarte était un vrai gloubi-boulga, les morceaux de poires étaient irréguliers et coulaient partout, le four n’avait pas assez chauffé pour qu’on cuise notre désert… Bref, une cata. A côté, les autres binômes s’en sortaient très bien et ça commençait à sentir bon le fruit cuit du côté de certains postes de travail. Alors on a juste décidé d’abandonner. Elsa m’a dit d’un air faussement triste : « Bon, c’est foutu. On va chez moi ? »

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Je n’étais même pas surpris de sa proposition. On venait de passer une heure à rire, à nous barbouiller d’œufs et de farine, à se moquer l’un de l’autre… J’avais l’impression qu’on se connaissait d’une vie antérieure, elle et moi. Arrivés chez elle, nous avons claqué la porte et nous nous sommes rapprochés l’un de l’autre, le sourire aux lèvres. J’ai enlevé un petit morceau de pâte des cheveux blonds de ma pâtissière en disant : « Tiens, il te reste un peu de gloubi-boulga ! » Nous avons éclaté de rire, avant de nous embrasser avec gourmandise…

A peine le temps d’arriver dans la chambre d’Elsa, le sol était jonché de vêtements. Hop, mon pull ! Hop, ses collants ! Nous nous sommes réfugiés sous la couette, toujours en riant.  On n’avait pas été bons en tarte, eh bien les préliminaires n’ont pas été dingues non plus. On se marrait trop, impossible de se mettre dans une ambiance romantique. Nos caresses ressemblaient plus à des chatouilles et ça commençait à devenir gênant… Alors Elsa a proposé : « Cuisine-moi une tarte, tu veux ? », et elle m’a ouvert grand ses belles cuisses rondes. J’ai découvert la plus jolie des douceurs : une petite chatte à l’amande, avec des poils dorés sur le dessus et une garniture framboise qui avait l’air sucrée à cœur. J’ai brandi mon rouleau à pâtisserie et j’ai entrepris de le faire glisser sur ses cuisses et son ventre doux. Quelques minutes plus tard, nous étions bien plus appliqués dans le suivi de la recette. Je sentais même que la pâte devait être enfournée avant que l’appareil ne retombe…

J’ai enchibré ma belle Elsa avec précaution. Mais elle en a redemandé dès le premier fourrage. Elle était à température parfaite et la position me permettait d’enfoncer mon visage entre ses deux cheesecake blancs et fermes, tandis que je pénétrais sa tartelette. J’étais si bien aux fourneaux ! Je suis allé et venu de longues minutes en me concentrant pour faire durer le plaisir. Et j’ai été plutôt bon, puisque c’est Elsa qui m’a dit la première : « Ça vient, oui, comme ça ! » J’ai levé les yeux au ciel en espérant tenir encore un peu mais elle m’a attiré sur elle, la tête entre ses deux miches. Etouffé en haut, pressé en bas, j’ai joui en même temps qu’Elsa.

Le résultat de notre duo : une belle tarte à la crème, dont ma chérie s’est délectée. Nous sommes désormais autant en cuisine, pour nous entraîner, qu’au lit à faire monter la sauce ! Un couple toqué mais surtout, étoilé…

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