Une blonde peut en cacher une autre

En janvier dernier j’ai dû partir à Odessa pour régler un problème professionnel. C’était une première pour moi que de découvrir un pays de l’Est. Un ancien satellite de l’interstron.ru soviétique qui plus est, avec tous les a priori que l’on peut avoir sur ces contrées des confins de l’Europe. Quel choc ! L’Ukraine est une nation moderne, Odessa c’est Paris au bord de la mer noire. Avec ses buildings du centre d’affaires, ses quartiers branchés, ses boîtes de nuit grandes comme le stade de France. Moi qui pensais être logé dans un sinistre appartement stalinien, j’avais une chambre d’hôtel avec vue sur mer !

Je m’appelle Malek et voici mon histoire de sexe !

Une Ukrainienne torride

Dès mon premier soir, j’ai décidé d’aller boire un verre en ville. Comment décrire les Ukrainiennes ? Des avions de chasse ! Élancées, blondes pour la plupart, des sourires qui vous arrachent les yeux et des décolletés qui ne laissent pas indemne non plus.

Je ne suis pas timide par nature, mais j’ai été cueilli. C’est une sylphide tout droit sortie d’un magazine de mode qui m’a abordé. Dans un anglais impeccable, elle m’a demandé d’où je venais. Quand j’ai répondu « Paris » son regard s’est enflammé. Nous avons siroté quelques verres et elle m’a proposé d’aller chez elle. Sa colocataire ne devait pas rentrer avant longtemps et nous pourrions discuter loin du bruit assourdissant du club où nous nous trouvions.

Quelques minutes plus tard, nous étions enlacés dans son salon à nous embrasser et à nous caresser. Sa peau était un velours où couraient mes doigts, elle était brûlante et son cou exhalait un parfum vanillé qui me rendait fou.

Elle m’a laissé la déshabiller, quelle surprise ! Sous ses vêtements Irina portait une combinaison en résille juste ouverte au niveau de son sexe ! Elle s’est levée et m’a invité à la suivre dans sa chambre. Elle s’est mise à danser et prenant ses seins à pleine main ou en cambrant les fesses à mort. Je bandais à m’en faire exploser la bite.

Bien plus qu’un strip-tease

Elle a retiré sa tenue qui ne cachait pas grand-chose. Son corps était une perfection et j’allais baiser ce top model ? Je n’en revenais pas lorsqu’une voix féminine a résonné. De l’ukrainien à n’en pas douter et une nana est entrée dans la chambre !

« Oh Tamara … » je n’ai pas compris le reste, enfin, rien de ce qu’elles se sont dit parce que la suite, je l’ai très bien saisie. La Tamara en question était en slip et en soutif. En deux secondes elle était à poil comme Irina et les deux s’enlaçaient avec tout le naturel d’amantes rompues à ces jeux lesbiens.

Je me suis pincé pour réaliser ce que j’étais en train de vivre.  Le couple s’est allongé sur le lit, leurs chevelures se sont mêlées, leurs lèvres se sont épousées puis sont venues les caresses de leur poitrine, la main de l’une a glissé dans l’embrasure des cuisses de l’autre et des gémissements ont fleuri aussitôt.

J’étais figé devant cette scène hallucinante, j’ai quand même eu la présence d’esprit de me foutre à poil moi aussi. Je me suis approché, ma queue droite comme un I, mon téléphone allumé, prêt à me faire gifler pour ce que je m’apprêtais à faire. Tamara a vu mon manège et les filles ont carrément pris la pose pour moi. Elles se sont roulé des pelles, elles se sont léchées les seins, le ventre, embrassées à n’en plus finir tout en commençant à se caresser le minou.

Voyeurisme et action

J’avais une envie folle de les rejoindre, mais mon petit doigt m’a soufflé de les laisser profiter de cet échauffement entre elles, mon tour viendrait. Et il est venu. Après s’être bouffé la chatte en soixante-neuf, c’est Irina qui a tendu ses lèvres vers mon pieu d’où coulaient des perles de rosée abondantes et transparentes.

J’ai eu le droit à ma première pipe à deux bouches ! Il m’a fallu toute ma concentration pour ne pas cracher mon foutre au bout de cinq secondes de ce jeu à deux langues.

La suite n’a été qu’un rêve fou. L’une m’offrait son con à pénétrer tandis que la seconde m’embrassait, me caressait les couilles ou donnait sa fente à lécher à sa copine. Puis elles échangeaient leur place, Tamara m’a même proposé son petit trou, je l’ai sodomisée alors qu’Irina lui chatouillait le clito et lui fourrait son index et son majeur dans le vagin.

J’ai pris confiance et je leur ai demandé un truc qui m’a toujours fait décoller dans les pornos que je regarde pour me branler : qu’elles s’installent toutes les deux côte à côte à quatre pattes, le cul dépassant du lit et je les ai baisées chacune leur tour.

Accomplissement des fantasmes

Ces deux bombes étaient mes douces petites esclaves. Elles aimaient ma queue large, mon teint basané, mes cheveux corbeau. Moi j’étais en extase devant leur blondeur, leur peau laiteuse et leur appétit sexuel sans fin.

Ces culs exposés à ma vue, offerts à tous mes désirs ! J’ai limé ces deux beautés slaves jusqu’à ce qu’elles atteignent l’orgasme l’une après l’autre. Après quoi je me suis autorisé à me laisser aller.

Tamara, décidément la plus riche d’initiatives, s’est glissée entre mes cuisses pour me gober les couilles et me lécher le trou de balle. Jamais aucune femme ne m’avait fait cela sur l’anus, j’ai adoré cette sensation. Entre chatouilles et réel aiguillon érogène. Pendant ce temps Irina me masturbait et me suçait le dard.

Finalement c’est entre les mains de Tamara que j’ai juté, Irina, à quatre pattes devant moi. Le con ouvert par ses doigts fichés profondément. Mes yeux exorbités ne pouvaient se détacher de cette féminité sans tabou, de ce sexe donné à mon regard crûment. Mon foutre a été expulsé avec tant de force qu’il a atteint le dos de cette belle salope, laissant de longues cicatrices ourlées et blanches sur sa peau diaphane.

J’ai baisé ainsi toute la semaine, encore avec elle et aussi avec d’autres copines du couple ! On a même fait une partie à quatre, mais la fille ne voulait pas de photos. Pas grave, tout est imprimé dans ma tête et surtout, j’ai décidé de retourner à Odessa pour les fêtes de Noël, Irina et Tamara m’ont promis des tas de cadeaux !

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