Un collègue très coquin

La rédaction 19 juillet 2020

Emma, 35 ans, n’a jamais trompé son mari. Un jour, elle cède aux avances d’un de ses collègues de bureau. Ils vont être rejoints par un autre homme.

Il y a quelques semaines, j’ai fait une sortie de route de ma petite vie bien rangée et j’ai eu envie de vous raconter cette histoire de sexe. Je suis ce que l’on appelle une femme rangée, loyale, fiable. Je suis mariée à un homme que j’aime et j’ai un boulot que j’adore. Je ne fais pas dans la mesquinerie, ni dans la tromperie. Je suis attachée à ma droiture. Mais j’ai découvert qu’il est bien prétentieux de penser qu’on ne cédera jamais à toute forme de tentation.

Cela faisait des jours que mon collègue Paul me faisait du gringue. Il me décochait des regards appuyés quand nos yeux se croisaient, se levait en même temps que moi pour me suivre à la cafétéria et me complimentait sur mon travail ou ma tenue dès qu’il en avait l’occasion. La plupart du temps, je lui opposais mon indifférence pour bien lui signifier que ses efforts étaient vains. Mais intérieurement, j’étais flattée et parallèlement je me détestais de l’être. Ses œillades en direction de mes hanches, mes seins ou mon visage me troublaient, car je ne me pensais pas particulièrement être attirante. Depuis mon mariage, c’était la première fois que je prêtais attention à cette sensation d’être désirée par un autre homme que mon mari.

Un jour, à la machine à café, alors qu’il se heurtait encore à mon impassibilité, il a eu l’air dépité de ne pas parvenir ne serait-ce qu’à m’arracher un sourire. J’ai craqué. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis sentie poussée par un élan de gratitude envers lui. Je le trouvais beau et j’ai pris conscience du bienfait de se sentir désirable. Je me suis penchée vers lui, la poitrine en avant, mes cheveux effleurant son buste. J’ai touché sa nuque avec mes lèvres et il a posé sa main sur ma cuisse puis l’a remontée sous ma jupe. C’était un moment très furtif ; je me suis dégagée et j’ai filé. Une fois assise devant mon ordinateur pour reprendre mes esprits, j’ai réalisé que je mouillais.

Plus tard, il y a eu un pot de départ au bureau. Paul avait ramené un ami qui travaillait dans un autre service et tous deux me regardaient avec insistance. L’autre était aussi beau que lui et semblait me manifester le même intérêt. Mon imagination divaguait, je me sentais à nouveau excitée, même si j’essayais de refréner cette montée de désir qui m’était si étrangère. Je n’ai pas parlé aux deux hommes, me contentant de ressentir leurs yeux posés sur moi. Je suis descendue au parking chercher ma voiture avant la fin du pot parce que je me sentais fatiguée.

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Alors que je mettais la clé dans la portière, j’ai senti une présence dans mon dos. Je me suis retournée et les deux étaient là, tout proches. J’ai collé mon dos contre la portière et je me suis figée. Paul a tendu une main vers mon chemisier puis s’est arrêté en me regardant. Il cherchait mon assentiment. J’ai souri, les paupières mi-closes. J’ai rendu les armes, je n’avais plus aucune volonté de rester gentille ou fidèle, j’avais envie de sentir à nouveau cette main sur moi. Il a déboutonné mon haut et a dégagé mes seins de mon soutien-gorge. Paul et son ami en ont chacun caressé un du bout des doigts. D’un même mouvement, ils se sont penchés pour en prendre les pointes dans leurs bouches. Ils ont léché mes tétons, tout en relevant ma jupe et en baissant ma culotte. Ils ont découvert mon trouble et mon sexe inondé.

Paul s’est agenouillé et a commencé à lécher ce sexe plein de désir, pendant que son ami continuait à s’occuper de mes seins. J’avais l’impression que ces deux langues étaient connectées entre elles par une onde de plaisir qui allait d’un bout à l’autre de mon corps en fonction des pressions. Les deux caresses se mêlaient en une même montée de plaisir. L’ami de Paul a baissé son pantalon et sorti son sexe. Paul m’a allongée sur le capot de la voiture et a relevé mes jambes pour que je pose les pieds sur le rebord. Son ami m’a prise et m’a violemment baisée en se tenant à mes cuisses pour mieux me pénétrer. Pendant ce temps, Paul regardait mon visage défiguré par le plaisir.

Je n’étais plus la fille droite que je croyais être, j’étais tordue d’excitation, dépassée par ce que j’étais en train de vivre. L’homme sur moi a laissé la place à Paul qui, enfin, m’a prise dans la chatte tout en continuant à soutenir mon regard. Je sentais sa bite chaude et douce qui glissait en moi. L’autre a continué à agacer la pointe de mes seins et mon clitoris. Tout mon corps était tendu comme un arc. J’ai senti un frisson délicieux naître entre mes cuisses sous les coups de reins de Paul, et monter jusqu’à mes seins. J’ai joui violemment. Mes deux amis ont éjaculé en même temps sur mon ventre et ma poitrine. Je me sentais libérée, j’avais enfin baissé la garde. On a ri tous les trois, ils m’ont aidée à me rhabiller et à essuyer le sperme sur mon corps. On n’en a jamais reparlé avec Paul, mais il m’arrive encore de le laisser me tripoter près de la machine à café. Ça rend mes journées au bureau moins studieuses mais autrement plus stimulantes…

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  • Dehoux

    Mouais,et elle est fière…chapeau, c’est même pas un adultère puisque c’est suivi ni une infidélité non plus d’ailleurs.
    Et pour quelqu’un de rangé,se faire sauter du premier coup c’est être une salope,puisque partagé par son collègue à un inconnu.
    Personnellement a sa place je quitterais mon mari,car il y a un jour ou elle lui brisera le cœur cette pute.

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