Un plaisir coupable

La rédaction 10 juillet 2020

Sophie, 36 ans, vit sa première expérience candauliste sous les yeux de son mari très excité. L’expérience ne sera pas pour lui déplaire.

Bonjour à tous et à toutes ! J’ai un peu honte de vous raconter cette histoire de sexe, mais, quelque part, je ne peux plus la garder pour moi. Avec Thierry, mon mari, on a eu une idée un peu folle. Il avait envie de me voir baiser avec un inconnu, et je dois avouer que ce fantasme me plaisait énormément à moi aussi ! Alors un soir, on s’est connecté sur un site de rencontres libertines et on a cliqué sur le premier profil potable qu’on a vu. Il y avait écrit « TBM » dans sa description, j’ai demandé à Philippe ce que ça voulait dire et il m’a regardé en souriant : « Ça veut dire “très bien membré” ma chérie, on prend celui-là, c’est pile ce qu’il nous faut ! » Nous l’avons donc invité à passer une soirée sympa à la maison.

Thierry était confortablement installé dans un fauteuil, au coin du salon, et m’a assurée qu’il ne bougerait pas de là de la soirée. Pas un mot. Pas un souffle. Pas un raclement de gorge. Il était un spectateur et s’il nous interrompait, cela mettrait immédiatement fin à la soirée. En tout cas, c’est ce dont nous avions convenu tous les trois.

J’avais préparé un dîner au top : un lapin, des pommes au four et des petits champignons que j’avais accompagnés d’une très bonne bouteille de bourgogne. Le dressage de la table m’avait occupée tout l’après-midi et j’étais encore en train de disposer les serviettes sur les assiettes quand j’ai entendu sonner à la porte. Je me suis brusquement retournée vers Thierry : « C’est lui ! » J’étais surexcitée ! Surtout j’avais peur, extrêmement peur. Mon ventre se serra lorsque je tournais la poignée. À quoi allait-il ressembler ? J’ai poussé un soupir de soulagement lorsque j’ai vu un bel homme, la quarantaine tout au plus, passer le pas de la porte, bien habiller. « Mmmh ça sent bon chez vous. Je ne sais si c’est la cuisine ou votre parfum… » Il est venu m’embrasser du bout des lèvres dans le cou, comme pour faire connaissance.

Le repas s’est très bien passé et j’en avais même totalement oublié Thierry. Mon inconnu s’avérait être un homme charmant avec un sens de la conversation très développé. Quand je suis sortie de table pour débarrasser les assiettes, il m’a attrapée au passage par la taille et m’a dit en rigolant : « Hop là ! Où est-ce que tu t’enfuis, toi ? » Il a déposé les assiettes sur la table et a lentement dégrafé ma robe. Ses gestes étaient extrêmement sensuels, j’avais la chatte en feu. J’ai jeté un regard à Thierry pour voir comment il prenait la chose. J’aurais pu tout arrêter à ce moment si j’avais senti la moindre inquiétude dans son regard. Il m’a lancé un grand sourire, et j’ai cru deviner une petite bosse se dessiner à travers son pantalon. Ouf, c’était le feu vert.

Mon bel étranger m’a plaquée contre la table et m’a enfoncé un doigt humide dans la chatte. J’étais bien ouverte, j’avais tellement envie de lui. Ses mouvements étaient très habiles et il a tout de suite trouvé la zone qui me faisait décoller. Je n’ai pu contenir mes gémissements face à mon mari. Ça m’a fait un peu rougir de honte, mais en même temps j’aimais ça. L’inconnu m’a passé sa cravate autour du cou et m’a demandé où nous pouvions trouver un endroit plus confortable. Je lui ai donc indiqué notre chambre conjugale, ce n’était pas prévu dans le scénario mais je préférais aussi me donner corps et âme sur un lit.

J’entendais le pas lourd de Thierry qui nous suivait, il conservait une distance raisonnable pour ne pas nous interrompre dans nos jeux. Une fois sur le lit, l’inconnu a sorti sa bite de son pantalon. Il était en effet TBM, pas de doute ! J’avais face à moi une queue de la taille d’une belle banane bien mûre. Miam ! Le dessert était servi. Je lui ai fait une pipe bien profonde, comme celles que je réservais à Thierry les soirs de fête. Celui-ci avait d’ailleurs sorti son engin (d’un diamètre bien plus raisonnable) et commençait à se palucher en silence.

J’étais assez contente de savoir que ça lui plaisait, moi j’en retirais un vrai plaisir coupable. Notre invité est venu me prendre en levrette avec un naturel déconcertant. Sa bite bien grosse n’a pas vraiment eu de mal à se trouver un chemin dans mon trou bien ouvert.
J’ai sorti un sextoy pour m’aider à jouir, sans ça j’avais un peu du mal à atteindre l’orgasme.
Quand j’ai joui, j’ai regardé Thierry droit dans les yeux. Il était en train de s’asperger les mains de son propre foutre. À ce moment-là, j’ai su que nous n’en resterions pas à notre premier essai.

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