La grosse saucisse

La rédaction 19 décembre 2024

Tara, 24 ans deToulon raconte son aventure avec un charcutier sexy lors d’un voyage en Allemagne. Son amant bien équipé s’adonne même à la pratique BDSM.

Il y a deux mois je suis partie en Allemagne sans trop d’argent, mais bien décidée à trouver des petits jobs de-ci, de-là. Bonne pioche, dès mon arrivée j’ai trouvé une charcuterie dont le patron, Karl, un beau mec châtain aux yeux bleus, recherchait une vendeuse à temps partiel. Ayant travaillé dans une boulangerie, peser et emballer des saucisses et du jambon ou des croissants, il n’y a pas une grande différence. Voici mon histoire de sexe amateur.

Fellation, masturbation & anulingus

Au bout d’une semaine, le sexy charcutier me tournait autour, je l’ai fait mariner encore quelques jours et je lui ai fait la surprise de venir sans culotte avec la plus courte de mes mini-jupes. Il a failli se trancher un doigt la première fois qu’il a vu ma minette alors que je me baissais outrageusement pour ramasser un feutre que j’avais délibérément laissé tomber par terre. Dès la fermeture du rideau, le soir venu, Karl me serra fort contre lui, soudant ses lèvres aux miennes et soulevant mes volants pour me peloter les fesses sans retenue et envoyer ses phalanges en reconnaissance vers tous mes orifices.

De mon côté, je ne me suis pas gênée pour aller fureter du côté de sa braguette et ce que j’y ai découvert m’a fait frissonner de peur et de désir. Le sexe de cet homme était tout simplement dément, le saucisson que je tâtais était hors norme, long, déjà dur et d’un volume XXL ! Quelques minutes plus tard, dans son appartement juste au-dessus de la boutique, nous nous sommes déshabillés et j’ai pu constater de visu les dimensions de l’engin. Revers de la médaille, j’ai eu un mal fou à le sucer, c’était tellement gros dans ma bouche… et plus je le branlais et plus je l’aspirais, plus la queue gonflait !

Karl, qui me prenait copieusement en photo, a vu mes difficultés à poursuivre ma fellation – il devait avoir l’habitude avec les autres filles qu’il baise – il m’a libérée et allongée pour me lécher la chatte et l’anus. Il me tenait les jambes relevées très haut par les chevilles, écartelant mon entrecuisse afin de faire s’entrouvrir mon sexe et bâiller mon petit trou. Sa langue valsait entre les deux, papillonnant sur mon clito, rentrant dans les cavités. J’ai joui très vite en le saisissant par les cheveux, sa bouche tout contre ma perle.

Une baise qui flirte avec le BDSM

Nous sommes alors entrés dans le vif du sujet si j’ose dire. Enfin, Karl, qui avait entre-temps repris son portable, s’est introduit dans mon vagin. Entre la salive qu’il avait fourrée partout pendant son cunnilingus et la mouille qui découlait de mon excitation, il n’a eu aucun mal à loger son énorme rosette au fond de moi. Loin d’être douloureux comme je le craignais, la sensation de plénitude était très agréable, sa bite prenait tout le volume disponible dans la cavité de mon sexe. J’avais le sentiment d’être distendue et, tout à la fois, d’enserrer vraiment un membre viril à fond, pour la première fois.

Après m’avoir bien baisée en missionnaire, Karl m’a retournée en me claquant les fesses, les Allemands adorent les trucs qui flirtent un peu avec le BDSM soft et je dois avouer que j’aime bien cela aussi. Quoi de meilleur qu’un bon « doggy-style », une bonne levrette en français. Ayant bien compris que monsieur était un voyeur invétéré, je me suis efforcée de bien épanouir mon sillon afin qu’il ait tout loisir de regarder mon anatomie la plus intime ! Il en a bien profité, tandis que j’avais la tête enfouie dans les coussins, tentant d’étouffer mes cris de plaisir, et que l’énorme braquemart me forait à un rythme de machine-outil. Il tapait dur, sans jamais relâcher la pression, une main sur mon cul, lâchant ses coups de reins à en faire avancer le clic-clac sur lequel nous étions en train de nous envoyer en l’air.

J’ai eu un orgasme surpuissant lorsque ce petit cochon, à mon invite, m’a enfoncé son pouce dans la rondelle. J’adore cette sensation d’être remplie par les deux trous à la fois. Mon corps s’est mis à trembler, je ne tenais plus sur mes cuisses et me suis écroulée à plat ventre. Karl a suivi le mouvement. Dans cette position, son corps appuyait sur le mien de tout son poids et sa queue est entrée encore un peu plus profondément. J’ai eu un second orgasme, encore plus fort que le précédent. Je n’en pouvais plus, cet homme athlétique était arrivé au bout de mes forces. Je suis restée allongée et passive, lâchant des « Ya ! » de plaisir pour l’encourager à jouir en moi.

Quelques va-et-vient dans mon fourreau serré et ma main lui emprisonnant les couilles ont eu raison de son endurance. Il s’est cabré comme un cheval et a tout balancé dans ma chatte qui a débordé de son sperme crémeux.

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