Les vacances, ça requinque !

La rédaction 11 mars 2020

José, 42 ans

J’ai toujours détesté les fêtes de Noël. Célibataire depuis quelques temps, nous avions convenu avec mon ex, qu’elle aurait les gosses chaque année la semaine du 25 au 31 décembre. Je les garde souvent en période scolaire, nous étions tous les deux tombés d’accord. Du coup, pour ne pas déprimer à faire les 400 pas chez moi lors de cette période festive et chaleureuse, je réserve toujours quelques jours pour partir au soleil. Cette année, c’est l’Afrique du Nord qui a remporté mes faveurs. Je me suis inscrit dans un club de vacances all inclusive, afin de ne pas me retrouver seul.

Une fois arrivé au centre et après avoir déposé mes valises dans ma chambre, j’ai jeté un œil au mobilier autour de moi et j’ai su immédiatement que j’allais passer un bon moment. J’en avais l’intuition, ma bite se tenait au garde-à-vous dans mon shorty rouge, flairant la partie de jambes en l’air mémorable. Et ma bite, c’est comme une baguette de sourcier, elle ne se trompe jamais. Une fois posé à la piscine, point de repère incontournable de tout le club, je savourais l’idée d’être à demi-nu quand, mes collègues au bureau devaient se les geler au dîner avec belle-maman. Une voix douce m’extirpa de mes pensées. « Une autre Piňa colada ? » La jeune « GO » (comme il y avait marqué sur son tee-shirt) me regardait avec de grands yeux à tomber par terre, le plateau encombré qu’elle tenait sur sa main gauche la faisait se cambrer doucement en avant. Je perdais pieds.« Non… euh. Oui ! Oui, oui ! » Elle m’a jeté un regard d’un air de dire «encore un qui est resté trop longtemps sous le soleil… ».

Quand elle est revenue, j’ai osé lui proposer de prendre un verre au bar, après son service. Elle a semblé hésiter un long moment, puis m’a finalement lâché un « oui » pour une raison que je n’explique toujours pas aujourd’hui. Trop content de moi, je me pointe quelques heures plus tard, habillé cette fois-ci, et l’air un peu plus assuré. Elle m’a accueilli avec un grand sourire, elle avait l’air heureuse de me voir. Ouf, cela m’a redonné un semblant de courage. Nous avons discuté de tout et de rien, de sa vie professionnelle, de ses études, de ma vie un peu aussi. Elle m’a confié à demi-mot qu’elle aimait beaucoup ce club car le patron n’était pas très regardant sur les aventures sexuelles de ses employés… et qu’elle adorait en connaître avec des clients ! Encore une fois, ma bite ne m’avait pas trompé.

Après ces révélations, impossible de faire machine arrière, il fallait que nous baisions. Comme une conclusion logique à cette énième Piña colada. Nous sommes montés dans ma chambre, je voyais bien qu’elle jetait des regards partout de peur de se faire repérer. Cela devait faire partie de son fantasme, j’imagine. Elle est arrivée dans ma chambre et s’est jetée sur mon pantalon. Heureusement je bandais déjà bien dur, même si je préfère dans l’absolu commencer par quelques préliminaires sensuels.

Inspectant du bout des doigts ma queue, elle l’a immédiatement gobée, m’arrachant un « aaah » au passage assez aigu. Elle était venue pour pomper du client, c’est fait. Elle se débrouillait bien la petite, elle avait dû en voir passer des bonshommes dans mon genre. Un bruit derrière la porte a retenu son attention l’espace d’un instant. Il n’y avait personne, mais elle a quand même jeté un coup d’œil à sa montre. « 20 h ? Fais chier, il faut que j’y retourne » s’est-elle exclamée en bondissant hors de ma piaule.Je suis resté, en plan, ma bite dans le vent, le pantalon sur les chevilles, en me demandant quoi faire. J’aurais bien voulu la revoir, moi, et surtout conclure quelque chose! Heureusement, j’ai pris quelques photos sur mon portable qui, depuis, alimentent mes fantasmes à chaque soirée passée seule en voyage exotique.

(Image à la une : Getty Images)

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