Con en location

La rédaction 18 mai 2021

Rachida, 30 ans, a hériter de 3 appartements qu’elle loue. Son petit plaisir ? S’envoyer en l’air avec ses locataires.

Je m’appelle Rachida, j’ai 30 ans et j’ai un boulot génial : je suis héritière. Il y a 5 ans, mon grand-père m’a laissée trois appartements qu’il possédait dans Lyon. Ça a grave foutu la merde avec mes parents, mais je m’en foutais, vu que je ne me suis jamais entendue avec eux. Ils sont hyper tradi, alors que je suis une femme libre. Depuis ce cadeau du ciel, je m’éclate encore plus. Je vous raconte dans ce récit porno. 

Je loue principalement mes appart’ à des touristes. Mais mes clients préférés, ce sont les businessmen de passage. Une fois que je leur ai fait faire le tour du propriétaire, je leur tiens compagnie… pour leur plus grand plaisir.

Ma dernière rencontre sexy ? Au mois de juin, j’ai flashé sur Kevin, jeune cadre dynamique venu de Marseille. Je lui ai montré l’appart’ qu’il avait booké, puis je lui ai proposé qu’on boive un verre, avant de le laisser « profiter de sa soirée ».En réalité, le verre s’est transformé en apéro. Puis la soirée, en partie de sexe…

C’est lui qui a déclenché les hostilités. Pendant qu’on buvait, il m’a proposée de jouer à « Je n’ai jamais ». Pour commencer, on s’est racontés des bêtises sur nos vies : « Je n’ai jamais été amoureux » pour lui, « Je n’ai jamais dragué de mecs plus jeunes » pour moi… Puis c’est devenu plus chaud quand Kevin a lâché : « Je n’ai jamais demandé à une fille de me faire de strip-tease. » J’ai rigolé et j’ai commencé à jouer avec la fermeture de mon short. C’est alors que le beau brun s’est penché vers moi et m’a embrassée. Une minute après, nous étions nus et on se galochait comme des « oufs ».

Quand sa bite est sortie de son caleçon, j’ai eu envie de le pomper comme aucun mec auparavant… « Hum, tu as la plus belle queue que je n’ai jamais vu… », ai-je dit en me mettant à genoux. Pas le temps d’en dire plus : déjà, Kevin empoignait son chibre et me le mettait dans la bouche. Je l’ai sucé pendant de longues minutes, avant que Monsieur ne me demande :

« On peut aller dans la chambre ? Il me semble que j’ai payé pour cet appart’… ». Cette phrase m’a trop excitée. On aurait dit qu’il m’avait payée, comme une vulgaire pute, et que je devais lui obéir. Je me suis relevée et j’ai continué sur le même ton : « OK, Monsieur. Et vous voulez que je fasse quoi ensuite ? » Kevin m’a plaquée contre lui, pour me murmurer à l’oreille : « Je vais te souiller, salope. » Mon cœur a fait un looping.

Dans la chambre, le beau gosse m’a mise à quatre pattes. Ses paroles me rendaient tellement chaude que je lui ai fait la fellation du siècle. À chaque fois qu’il s’enfonçait en moi, je m’accrochais à ses genoux pour en avaler encore plus. À chaque minute qui passait, je le sentais monter en pression. Ses couilles étaient dures comme du bois, quand ses grognements se sont transformées en nouvelles phrase salaces : « Petite garce, je vais te jouir dessus si tu continues… Vas-y, avale ! Putain, ça vient. » Là, j’ai cru qu’il allait jouir, mais Kevin m’a prise par les avant-bras pour me relever et m’a assise sur le lit.

Je l’ai vu choper sa grosse verge et effectuer quelques mouvements du poignet… À peine ai-je eu le temps de fermer les yeux que j’ai été inondée. Ma bouche, mon menton, mon cou, mes seins… J’étais repeinte au sperme.

Mon locataire a adoré m’admirer dans cette posture de soumission. Puis il m’a dit : « Va prendre une douche, j’ai un petit cadeau à te donner ensuite. » Je me suis rincée en m’interrogeant sur ce fameux « cadeau ». En sortant de la salle de bain, je l’ai entendu m’appeler depuis la chambre d’ami. Je l’ai rejoint et je l’ai trouvé rhabillé, un gode à la main. « Mais qui se trimballe en voyage avec ce genre de truc ? », ai-je rigolé. Il a souri et a répondu : « Les mecs qui aiment remercier les bonnes suceuses dans ton genre. »

Cette fois, c’est moi qui me suis fait plaisir. Le fait que Kevin soit là, en costard, à me mater, à réactivé le fantasme de la séquence précédente : j’étais sa chienne, lui, mon client, et je devais faire ce qui lui plaisait. Je me suis masturbée avec le jouet sous son objectif coquin et ses mots crus m’ont accompagnée jusqu’au bouquet final : un bel orgasme vaginal, qu’il a immortalisé avec son smartphone.

Deux jours après, quand j’ai récupéré les clés, Kevin m’a jurée de revenir. D’ici là, j’ai d’autres projet : louer à des groupes et voir s’il y a moyen de s’amuser à plusieurs.

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