Triangle érotique avec un couple

La rédaction 28 août 2022

Maud a eu la surprise de réaliser l’un de ses fantasmes… Baiser avec un couple et jouir d’un triple orgasme entre branlette et levrette…

Moi c’est Maud et ça c’est mon histoire de sexe. Je suis une femme de 54 ans et je vais vous raconter un épisode de ma vie sexuelle qui était assez inattendu…

C’était en plein Covid, évidemment, et je devais boire un verre avec un ami trentenaire, Lucien, sur le trottoir, devant un bar, avant le couvre-feu. On a papoté et puis, il était déjà 20 heures et il m’a proposé de le suivre chez lui pour dîner. En fait, il avait invité plusieurs voisins pour picoler.

Soirée bandante

Nous avons bu du vin rouge, il nous a préparé des croque-monsieurs, et puis nous avons dansé sur de la musique pop. J’oubliais tout gestes barrières et je me laissais aller aux vibrations de la musique.

Je me sentais tellement vivante, entourée de ces corps plus jeunes que le mien ! J’étais attirée par tout le monde, hommes et femmes, indifféremment, mais cela restait au stade du fantasme.

C’est alors que la nouvelle copine de Lucien est arrivée, Cassandre. Une brune comme moi, mais avec vingt ans de moins, un petit nez retroussé et un sourire malicieux.

Elle m’a tout de suite tapé dans l’œil. Une complicité s’est installée entre nous de manière spontanée, comme une évidence, et nous nous sommes mises à danser comme des copines de toujours sur de la soupe pop, en prenant des chaises pour s’en servir comme d’un support de lap dance, à onduler dessus de manière ultra chaude.

Nous étions déchaînées, à tel point que certains convives, gênés, sont partis. Lucien, lui, nous regardait, probablement en bandant à fond.

Nous sommes aussi très complices tous les deux et quand il nous a prises toutes les deux par la main pour nous faire danser, nous nous sommes retrouvés tous les trois tous serrés, à nous trémousser sur la musique, alors que l’appartement se vidait de ses invités.

Portée par mon élan, j’ai embrassé Cassandre, puis Lucien. Nos bouches virevoltaient de l’un à l’autre et leurs deux langues étaient différemment douces, parfois vigoureuses, toujours très sensuelles.

C’est devenu de plus en plus chaud alors que Cassandre et moi dansions comme des petites folles en nous roulant des pelles, à se frotter chacune sur la cuisse de l’autre, endiablées. Tout est allé très vite. Lucien s’est installé dans le canapé et Cassandre est venue entre ses cuisses.

Il l’a déshabillée et j’ai vu son corps magnifique, sa peau lactée, ses seins qui tenaient tous seuls, sa chatte épilée, ses fesses charnues. Elle est descendue entre ses jambes pour se mettre à le sucer en le regardant droit dans les yeux, puis en me jetant à moi des œillades à tomber par terre. Ils adoraient que je les regarde.

Ils ont échangé de place et Cassandre s’est retrouvée cambrée contre le dossier du canapé, nue, jambes grandes ouvertes, la tête de Lucien entre elles deux pendant que, d’une main, le jeune homme cherchait à me caresser les seins ou l’entrecuisse.

Un cunni pour mieux aller

J’étais assise à la droite de Cassandre qui se faisait lécher et j’assistais, ravie et en même temps décontenancée par la tournure des choses, à ce cunni en direct.

Désormais, tous deux nus, elle est venue s’empaler à califourchon sur lui, son corps fier le chevauchant avec sa longue chevelure brune qui dégoulinait sur ses épaules et son torse. Ils m’ont incitée à la toucher et j’ai avancé mes mains pour les poser sur sa poitrine, son clito, son ventre.

Lucien, en train de se faire dominer par elle, a tendu une main vers moi pour la glisser dans ma culotte et me faire du bien pendant que je les regardais et que je touchais sa compagne dont le corps allait à la rencontre de mes doigts dans ses ondulations.

Comme un triangle amoureux, formé par nos mains qui chacune touchait l’autre, lui qui nous caressait elle et moi, moi qui la caressais elle, liés par cette sensorialité triple, comme augmentée.

Elle rebondissait sur sa queue et lui m’enfonçait des doigts en frottant agréablement l’intérieur de mon vagin.

Je sentais que je ruisselais de désir. Cassandre s’est aussi mise à caresser mes seins dans mon décolleté pendant que je me faisais doigter et mon corps de cinquantenaire m’avait rarement paru aussi désirable que ce soir-là, au contact de ces corps fougueux et bestiaux dans la sexualité.

Il la baisait et ils me baisaient aussi en même temps, nous étions une seule et même créature. L’orgasme m’a prise de court, alors que je voyais leurs deux corps s’accoupler désormais dans une autre posture, elle en levrette le visage contre le dossier et lui derrière elle à la prendre en pétrissant son cul, et eux deux qui tendaient une main vers moi pour continuer de me toucher en même temps qu’ils s’exhibaient et m’offraient la découverte du voyeurisme.

L’orgasme fut triple, quasi simultané, Cassandre se branlant pendant qu’elle me branlait, et lui finissant en elle.

En rentrant chez moi, hébétée, je n’en revenais toujours pas que pareilles gens m’aient choisie pour partager leur intimité, et j’en sortais amusée, détendue et pleine de nouveaux désirs.

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