Rien n’échappe à la queue de Patrick

La rédaction 26 août 2022

MAlgré ses 56 ans, rien ne résiste à Patrick, pas même le cul de la belle Monique… Dont il va s’en n’occuper sans sourciller…

Moi, c’est Patrick, 56 ans, bien bâti, belle tignasse poivre et sel, yeux bleus, sourire enjôleur… Je vous vois venir, vous devez vous dire que je me vante ! Et bien figurez-vous que pas tant que ça, et j’en ai eu la preuve tout récemment grâce à cette histoire de sexe. En plein mois de décembre, je suis parti en randonnée de ski de fond avec ma femme Leila et un groupe de skieurs comme nous. Nous étions une belle brochette, un petit groupe de six, à nous dandiner sur les pistes de glisse, une deux, une deux, et je dois dire que certaines de ces dames avaient malgré leurs combinaisons de beaux fessiers que le mouvement de glissade mettait en valeur. Je ne pouvais pas en détourner le regard, notamment de celui de Monique, la femme de Pierre. Un couple de quinquas comme nous, très sportifs et aventureux.

Rien n’échappe à Patrick…

J’ai remarqué que Monique se retournait parfois pour me faire un petit clin d’œil tandis qu’elle avançait dans la neige. Il ne m’en fallait pas plus pour en être tout perturbé ! Nous partagions avec ce couple le même chalet et, la nuit venue, nous nous adonnions à des parties de jeux de société. Un soir, nous avons joué à nous donner des gages. J’ai envoyé Monique chercher de la neige pour en mettre dans son verre pour la boire. Comme jouer avec la neige nous faisait rire comme des gamins, j’ai continué. J’ai pris une petite motte de flocons pour la glisser dans le cou de ma femme, Leila, qui a frémi. Elle a glissé sur sa jolie peau mate et j’ai léché la traînée tandis qu’elle sursautait.

Le couple s’est mis à nous regarder avec plus d’intensité encore. Au prochain pari, j’ai dit à Pierre de mettre de la neige dans le décolleté de sa douce. Il l’a fait et elle a gloussé de plaisir . Pierre était encore plus mal intentionné que moi car quand ce fut son tour de donner un gage, il a dit à Monique, belle femme brune aux seins affolants, de passer un peu de neige sur ses tétons.

Elle nous a jeté un regard curieux : allions-nous nous offusquer ? Comme Leila et moi la regardions en souriant (nous avions la même idée en tête !), elle a fait jaillir deux grosses tétines de son chemisier de soie et a passé un peu de la neige récupérée par son mari sur ses seins et ses tétons. La neige blanche traçait de fines rigoles d’eau sur ses deux collines. J’ai regardé ce joli tableau en sentant ma queue se dresser inexorablement. Ma femme m’a souri . Toujours devant nous qui les observions de l’autre côté de la table, Pierre a penché le visage pour lécher les résidus de glace sur les tétons de son épouse. Celle-ci a renversé la tête en arrière tout en passant les mains dans ses cheveux, dans une caresse sensuelle. Ses mains se refermaient sur son crâne, crispées par la tension sexuelle qui la traversait. Je me suis tourné vers Leila à mon tour qui m’a tendu sa bouche.

Pas même le cul de Monique !

Nos lèvres brûlantes se sont baisées les unes les autres et, bien vite, ma femme est venue à califourchon sur ma chaise pour frictionner sa minette contre mon bâton. Elle me sucait les lobes d’oreilles et s’excitait contre ma trique. Comme elle ne voulait pas que Monique prenne toute la lumière, elle a enlevé son chandail pour dévoiler ses seins ambrés aux tétons plus sombres que ceux de sa comparse, eux aussi magiques.

Je les ai dégustés amoureusement, puis elle s’est détachée de moi pour aller vers Pierre et lui tendre ses deux pièges à hommes rebondis. Il y est tombé tête la première et l’a prise tout contre lui pour la peloter et mettre sa main dans son jean pour la doigter, debout. Ma femme s’est tortillée en me jetant des regards de feu. Pendant ce temps, Monique s’était mise à genoux pour me sucer la bite avec frénésie.

Mon pieu glissait agréablement contre son palais, sa salive facilitant l’opération. Ma femme gémissait sous les caresses de Pierre. Il l’a fait s’appuyer contre le dossier du canapé, ils ont retiré leurs pantalons prestement et il l’a enfilée, toujours debout, contre le canapé, se plaquant dans son dos et la fourrant avec une queue qui, d’après les cris de Leila, semblait satisfaisante. J’ai fait de même avec Monique, en levrette sur le sol. Les deux femmes couinaient de concert.

Je baisais Monique, mais c’était Leila que je regardais, Leila qui tournait son visage de profil pour me le montrer et je pouvais admirer sa luxure dans ses traits et bander plus dur en la voyant prendre son pied. J’ai calqué mon orgasme sur le sien comme si c’était elle que je baisais et quand j’ai vu sa bouche s’ouvrir grand pour laisser passer son hululement de jouissance, j’ai arrosé Monique de mon jus. Nous n’étions plus que peaux rougies par la neige et les caresses, sexes repus et yeux brillants. Monique et Pierre avaient su capter notre vraie nature et nous les remercions pour cette chaude aventure au cœur de l’hiver.

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